Deinde est une marque de soins de la peau préventifs qui ciblent l’inflammation. Elle est formulée à partir de la naringine, l’ingrédient actif de la biotech américaine Debut, entreprise qui dispose de capacités d’intégration verticale complètes, incluant la découverte d’ingrédients, la culture cellulaire, la biofermentation, la formulation, les ingrédients finis évolutifs évalués cliniquement et la création de marques.
Deinde a adopté le Baby Roller de Cosmogen pour accompagner sa crème lissante contour des yeux.
Après avoir appliqué quelques gouttes de la formule sur le contour de l’œil, le roller yeux ultra-rafraîchissant permet de masser la zone orbitale. Il peut également être utilisé à tout moment de la journée pour décongestionner et apaiser le contour de l’œil.
Baby Roller est le roller de poche par excellence pour masser les zones sensibles du visage. Il est conçu avec une bille en acier inoxydable – 316 L ; ⌀15 mm – et un corps est en PP, également disponible en PP-PCR.
Le certificat de vente libre (CVL) est un document officiel exigé par les autorités de 69 pays hors de l’Union européenne comme condition à l’importation sur leur marché de produits cosmétiques finis. Le CVL délivré par Cosmed, association professionnelle représentative des entreprises cosmétiques françaises fédérant 1030 adhérents, certifie que les produits cosmétiques mentionnés sont conformes au réglement (CE) n°1223/2009 et peuvent ainsi être commercialisés dans l’Union européenne.
Afin de répondre aux enjeux croissants de transparence et de sécurité, Cosmed adopte un nouveau système qui renforce la traçabilité des CVL et leur inviolabilité.
« Avec cette technologie innovante, intégrant la blockchain, chaque certificat peut être authentifié instantanément, sur un smartphone, sans aucune application mobile à télécharger, limitant ainsi les risques de fraude et assurant l’intégrité des documents tout au long de la chaîne d’exportation », indique-t-on chez Cosmed.
Authentifiés instantanément par les autorités, les CVL de Cosmed sont infalsifiables.
Le processus est simplifié pour les autorités douanières et sanitaires qui pourront vérifier instantanément avec un QR code que le document présenté correspond bien à l’original émis par Cosmed.
En outre, cette innovation qui s’appuie sur Sorga, une technologie blockchain basse consommation développée par MAP Emulsion, s’inscrit dans une démarche écoresponsable. Contrairement aux technologies blockchain traditionnelles, elle présente un impact environnemental réduit, en accord avec les engagements durables de Cosmed.
« Cette innovation majeure représente une garantie supplémentaire pour nos entreprises exportatrices, leurs partenaires internationaux et les autorités locales, déclare Jean-Marc Giroux, président de Cosmed. En choisissant Sorga, une solution française, nous affirmons notre engagement pour la souveraineté numérique tout en répondant aux exigences de traçabilité du marché mondial. »
Medicos fait partie des ces PME industrielles françaises qui se portent bien et qui n’hésitent pas à investir pour moderniser leurs équipements et étoffer leur offre. Grâce à ses quatre sites spécialisés, l’entreprise est en mesure de répondre aux besoins des acteurs de la cosmétique en matière de packaging et d’être force de proposition, en particulier pour aider les marques à être conformes à la nouvelle réglementation PPWR.
« En ce début d’année 2025, un hasard (heureux !) nous permet, en cumulant l’âge des quatre entités industrielles qui composent Medicos, de fêter nos 300 ans ! 100 ans pour l’usine située Izernore (anciennement Mino Gaillard), 100 ans pour l’usine située à Chassal (anciennement Janvier), 60 ans pour l’usine de Milan (anciennement CO.VE) et 40 ans pour l’usine Rombach située en Alsace (anciennement Dinamic Emballages) », relève Cédric Marmonier, président de Medicos.
Dinamic Emballages, plasturgiste spécialisé dans la production de pièces injectées mono et bi-matière pour les secteurs de la beauté, de l’agroalimentaire, de la pharmacie, de pièces techniques et doté de process hautement automatisés, est l’acquisition la plus récente du groupe lyonnais. Ce rachat, formalisé en 2024, permet à l’entreprise d’enrichir son savoir-faire et de consolider son pôle dédié à la beauté.
Un groupe industriel
Créé en 2002 avec l’acquisition de la société d’injection plastique RR Plastiques, Medicos n’a cessé d’enchaîner les acquisitions pour devenir un groupe industriel reconnu dans le domaine des packagings. Cédant, en 2018, ses actifs dans la santé, il se concentre désormais sur ses activités dédiées à la beauté et à l’agroalimentaire, se positionnant comme un acteur important dans les domaines de l’injection plastique et du verre étiré.
Medicos Beauty propose ainsi aux marques françaises et internationales une gamme complète de produits full-service pour les segments de la cosmétique, de la parfumerie et du maquillage (pots, compte-gouttes, roll-on, bouchons de parfum, etc.). Le groupe maîtrise l’ensemble de la chaîne de valeur, de la conception à la décoration des produits. La synergie de ses entités lui permet de proposer des solutions personnalisées. Le secteur de la beauté représente 68 % de son activité.
Points forts du groupe : son parc industriel. « Nous concevons des machines spéciales sur mesure pour nos produits propres ainsi que pour des produits spécifiques de nos clients. Nous développons des machines d’assemblage et de décoration en ligne. Nous avons un projet d’extension du site de Medicos Chassal afin d’y développer nos machines pour l’ensemble du groupe. Il s’agit d’un programme d’agrandissement de plus de 800 m2 sur 2025 afin de poursuivre nos développements internes de machines spéciales et apporter des solutions d’industrialisation au plus près des besoins de nos clients », souligne Elodie Perrot, directrice de site.
Innovations process et produits
Au cœur de la démarche de Medicos : l’innovation process inscrite dans une démarche RSE. Le groupe a établi un vaste programme de développement de ses machines automatisées réalisées en interne et intègre des équipements dernière génération comme la vision industrielle. Sa consommation d’énergie est contrôlée afin d’éviter tout gaspillage et les rebuts sont réintégrés dans les process.
Médicos innove également côté produits. À son actif, par exemple, les compte-gouttes roll-on La Roche Posay. L’industriel a mis son expertise du dosage au service de la marque pour concevoir une gestuelle innovante, l’embout roll-on apportant un confort d’utilisation avec le massage effet froid intégré.
Le groupe, qui produit 40 % de packagings standard et 60 % de packagings spécifiques, n’a en outre pas attendu l’application du réglement européen PPWR (Packaging and Packaging Waste Regulation) sur la gestion des emballages et déchets d’emballages pour agir et établir une feuille de route autour de l’économie circulaire. « Nous créons et cherchons à créer des emballages au poids allégé, rechargeables, contenant du recyclé et recyclables. À titre d’exemple, nous développons depuis 2020 une gamme de pots standard rechargeables ou réutilisables, allégés, pouvant contenir des matières recyclées et recyclables. Aujourd’hui, 85 % des produits de cette gamme-ci sont en matière recyclée, recyclable. Et notre objectif est d’atteindre les 100 %. Cela représente de nombreuses qualifications, des modifications de nos outillages, des revues de procédés ainsi que la mobilisation des équipes. Aussi, nous œuvrons auprès de nos clients pour leur expliquer qu’il faut parfois accepter une qualité perçue un peu moindre », indique Denis Moiraud, directeur de site.
Concevoir des packagings écoresponsables est également le fruit de partenariats avec les fournisseurs : « nous leur ouvrons nos portes, ils viennent essayer et assistent aux essais. Actuellement, nous travaillons, par exemple, avec un producteur de matière première, sur un PET recyclé, 100 % mécanique, développé en France. Cela demande des concessions et du travail, beaucoup de temps, d’énergie et d’investissement, poursuit Denis Moiraud. Concernant l’injection plastique, nous travaillons sur différentes typologies de matières : des matières pétrosourcées. des matières recyclées mécaniquement (technologie de broyage), des matières recyclées chimiquement (recyclage moléculaire) ainsi que des matières issues de la biomasse. »
Parmi les derniers développements produits : une recharge innovante Re-CliCK (un brevet Medicos) adoptée par Melvita du groupe L’Occitane. Medicos a, par ailleurs, récemment annoncé une collaboration entre Medicos Beauty, IMCD Group (distributeur responsable de produits chimiques et d’ingrédients spécialisés) et Eastman (qui développe des matériaux spécialisés) pour proposer Cristal One Renew IM812, un matériau recyclable avec jusqu’à 100 % de contenu recyclé certifié ISCC. Parfait pour les pots à paroi épaisse, ce matériau – compatible avec le flux de recyclage RIC-1 et est fabriqué avec jusqu’à 100 % de contenu recyclé moléculaire – offre, selon le fabricant de solutions packaging, une clarté semblable à celle du verre.
Un équipement industriel réparti sur quatre sites Injection plastique • Parc machines de 92 presses • Modules performants intégrés + IML • Moules multi-empreintes Verre étiré • 8 Machines verticales rotatives • Alimentation automatisée • Caméras de contrôle Décoration • Décors intégrés sur plastique et sur verre • MAC, Sérigraphie (sur plastique et sur verre), tampographie, laser, laquage Parachèvement • 35 Machines automatisées • 10 machines d’impression 3D
Du 4 au 5 juin 2025, Munich sera à nouveau le lieu de rencontre des décideurs de l’industrie cosmétique lorsque le secteur se réunira pour la 20e édition de CosmeticBusiness.
De 40 exposants, en 2005, à 400 aujourd’hui : CosmeticBusiness célèbre 20 années de succès. « Depuis 2005, CosmeticBusiness impressionne les visiteurs par son concept clair et sa focalisation sur l’industrie cosmétique. En cette année anniversaire, nous voulons rendre un hommage particulier à cette recette du succès, à la ‘formule éprouvée’ de CosmeticBusiness – tout ce qui concerne la production et l’emballage des produits cosmétiques en un seul endroit, des ingrédients à la fabrication et à la production de marques privées, en passant par la variété des matériaux d’emballage. Fidèles à la devise ‘Where Beauty Starts’, nous nous réjouissons de donner à la communauté CosmeticBusiness de Munich un nouvel élan pour le développement de produits et de célébrer ensemble les 20 ans de CosmeticBusiness », souligne Ivonne Simons, directrice du projet.
Au-delà de l’espace exposants qui réunira formulateurs, fournisseurs de matières premières et d’instituts d’essai, et fabricants de packaging, la zone d’exposition des nouveautés Spotlight ainsi que les présentations et les tables rondes avec des experts de l’industrie dans l’Innovation Corner seront également une source d’inspiration, tout comme l’espace Startup.
Concernant les conférences, Le programme de présentation sera encore plus interactif cette année grâce à de nouvelles tables rondes, et les marques de cosmétiques se verront accorder plus d’espace. Le programme définitif avec tous les détails sera publié sur le site CosmeticBusiness en avril.
Cette année, seront également remis, pour la première fois, les CosmeticBusiness Community Awards.
Répondant à la tendance « cloud skin », Schwan Cosmetics, fabricant allemand de cosmétiques couleur et fournisseur de nombreuses grandes marques de beauté, à dévoilé une collection de six nouvelles formules conçues pour offrir un fini flou. La nouvelle collection Cloud Touch Finish a été lancée à MakeUp in LA les 12 et 13 février 2025. La gamme répond aux tendances de la « peau nuageuse » et du « maquillage flou », offrant aux marques de beauté un accès à des solutions clés en main, prêtes à être commercialisées.
La gamme Cloud Touch Finish associe des finitions mates à un éclat flou. Elle répond également aux routines de beauté minimalistes privilégiées par de nombreuses personnes aujourd’hui, en donnant un aspect discret, sans brillance et un fini semblable à un filtre qui lisse les imperfections de la peau tout en conservant une texture naturelle, semblable à celle de la peau.
« Sur le marché américain, qui évolue rapidement, les marques de produits de beauté, en particulier les nouveaux labels innovants qui cherchent à se développer, doivent répondre rapidement aux tendances émergentes tout en préservant leur identité unique. Notre rôle est d’anticiper et d’identifier rapidement les tendances et de les traduire en produits polyvalents qui permettent à nos clients de se démarquer, explique Anke Krasser, SVP Global Sales Americas. La collection Cloud Touch Finish illustre cette approche. La gamme offre des solutions qui permettent aux marques de capitaliser sur la tendance des finitions mates à effet de flou et de filtre avec des solutions haute performance et des concepts multifonctionnels dans de multiples catégories de produits. Les options personnalisables, telles que les formats d’emballage, aident également les marques individuelles à maintenir leur positionnement unique sur le marché tout en satisfaisant étroitement les demandes en évolution rapide des clients avec des lancements de produits rapidement mis en œuvre. »
La collection Cloud Touch Finish comprend un eye blush liquide, un fard à joues liquide, un fard à lèvres liquide, un eye cushion liquide, un stick liner pour les lèvres et un crayon flou pour le rouge à lèvres en forme de nuage. Chaque produit intègre une technologie avancée qui transforme les formules légères en finis soyeux et durables. En incorporant des technologies telles que les structures élastomères 3D, les infusions d’huiles nourrissantes et les transformations de gel en crème, la collection Cloud Touch Finish offre une facilité de mélange, une performance longue durée et un attrait sensoriel.
Le groupe Rocher a annoncé son adhésion au Pacte sur l’IA, initiative de l’Union européenne visant à promouvoir une utilisation éthique et responsable de l’intelligence artificielle. Il est l’une des premières entreprises françaises du retail, et le premier groupe cosmétique, à s’engager dans ce cadre.
Pionnier dans la construction d’une gouvernance de conformité de l’intelligence artificielle, le groupe a été distingué lors du Sommet du Droit en Entreprise 2024 dans la catégorie « Data & IA » pour sa volonté de placer l’éthique et la conformité au cœur de ses initiatives. Il a notamment lancé, dès 2022, un système d’audit pour recenser tous les systèmes d’IA utilisés, quel que soit leur niveau de risque, et mener si nécessaire des analyses plus approfondies pour une évaluation stricte de leur conformité.
Un comité « Oversight Board IA » réunissant 11 métiers a par ailleurs été créé en 2023 pour adopter une approche encore plus inclusive et raisonnée de l’intelligence artificielle. « Ce comité collabore étroitement avec la direction des systèmes d’information, à travers un partenariat visant à garantir une transformation technologique à la fois frugale, éthique et conforme, plaçant les collaborateurs et les clients au cœur de l’innovation », indique-t-on au sein du groupe qui a parallèlement créé un Observatoire Consommateur Privacy & IA. Quelque 1 000 Français ont été interrogés dans ce cadre, notamment sur la démocratisation de l’IA par les entreprises, enquête qui a révélé une forte attente des consommateurs en matière de responsabilité et de gouvernance autour de l’IA.
Depuis 2023, le groupe Rocher a également noué un partenariat avec la start-up Mendo pour former ses collaborateurs aux enjeux, fonctionnalités et risques associés à l’IA générative, dans une démarche proactive de prévention et de sensibilisation.
Cet accord s’inscrit dans le programme de capital-risque d’entreprise du Groupe, qui vise à identifier des start-ups de pointe afin d’accélérer leur processus d’innovation, de les aider à acquérir de nouvelles technologies et d’aider leurs clients dans leur transition vers la durabilité.
Papkot a mis au point et breveté une technologie d’enduction du papier à base de fibres. Ce revêtement hautement protecteur est entièrement recyclable et biodégradable à l’échelle industrielle. Son approche innovante en science des matériaux assure une compatibilité avec les processus de fabrication du papier et des emballages. Cette application constitue une alternative aux revêtements plastiques conventionnels et aux barrières à base de biopolymères. Elle vise à éliminer le plastique des emballages à usage unique.
Le groupe italien Fedrigoni est une référence mondiale dans la fabrication de papiers spéciaux pour l’emballage et autres applications créatives, d’étiquettes auto-adhésives, de supports graphiques pour la communication visuelle et de technologies RFID.
SurfactGreen formule, produit et commercialise des tensioactifs biosourcés, sans solvant et facilement biodégradables. La jeune entreprise rennaise étoffe sa gamme de solutions en cosmétique avec le lancement du CosmeGreen PC50. Ce nouveau tensioactif, plus concentré en matière active, s’inscrit dans la continuité des premières solutions de synthèse, notamment utilisées dans les soins capillaires.
Selon SurfactGreen, « les critères de naturalité sont toujours présents, mais la performance technique associée à un impact moindre sur le coût formule restent l’objectif des marques. Notre CosmeGreen PC50 permet de concilier ces trois éléments. »
Le CosmeGreen PC50, fabriqué en France et labellisé Cosmos, garantit une composition 100 % d’origine naturelle et sans huile de palme. Sa synthèse repose sur des procédés de chimie verte, respectueux de l’environnement, sans utilisation de solvants, et élaborés à partir d’extraits de betterave et de colza.
L’autre avantage majeur du CosmeGreen PC50, selon SurfactGreen, est donc son moindre impact sur le coût de la formule, avec un pourcentage de matière active à 50 %.
« L’objectif du cost-in-use était le point de départ de notre recherche. On observe en parallèle une performance technique supérieure sur le cheveu, explique-t-on chez SurfactGreen. Les soins capillaires sont de plus en plus prisés par les consommateurs et la gamme CosmeGreen offre désormais de nombreuses solutions pour des après-shampooing, des masques,… avec ou sans rinçage. »
Des formules prêtes à l’emploi sont déjà disponibles pour stimuler la créativité et faciliter les futurs développements des marques.
Fondée en 1863 à Paris par Gaspard Cottance, la maison qui porte son nom revient sur le devant de la scène avec une nouvelle génération de soins biologiques.
Au XIXe siècle, Gaspard Cottance a fait entrer la cosmétique française dans l’ère moderne, en établissant un pont entre l’approche artisanale et les techniques scientifiques. Selon la marque, il a été à l’origine de la première pommade pour le visage à connaître un succès mondial sur cinq continents grâce à une formule codifiée et d’une stabilité inédite.
Fortement affectée par la première guerre mondiale, puis oubliée, la marque – récompensée par quatre médailles d’or lors d’Expositions universelles, de Melbourne à Paris en passant par Bruxelles – est redécouverte en 2018 par un couple d’entrepreneurs français passionnés de beauté naturelle et d’histoire, à l’occasion d’un voyage à Tokyo, au Japon.
Après six années de recherche, Julien et Sue Le Picard relancent la marque et proposent un rituel complet de soins d’exception combinant biotechnologies et méthodes d’officine traditionnelle.
Science naturelle
Les formules s’appuient sur les trois principes fondateurs de la maison, « revisités à l’aune des plus récentes avancées de la cosmétologie : la proportion, garantissant une concentration optimale de chaque ingrédient ; l’harmonie, assurant une parfaite synergie avec la peau ; et l’élévation, sublimant les formules naturelles par la science », expliquent les cofondateurs.
Chaque soin renferme une concentration cliniquement efficace d’actifs régénérants — issus de plantes précieuses cultivées en France ou de biotechnologies avancées (culture cellulaire, biofermentation, catalyse enzymatique). Au cœur de chaque formule, l’eau est remplacée par le complexe exclusif HBC6, une fusion exclusive de plantes officinales et de probiotiques aidant la peau à se protéger des agressions extérieures responsables du vieillissement prématuré, le HBC6 permettant de maximiser l’efficacité des formules, agissant directement sur l’hydratation et la barrière cutanée.
Sensorialité biologique
La sensorialité des formules et l’éco-responsabilité sont aussi au cœur de l’approche Gaspard Cottance. Une traçabilité complète des ingrédients, essentiellement sourcés en France, a été mise en place. Les packagings sont en verre recyclable et carton certifié FSC. La signature olfactive naturelle a été élaborée à Grasse. Et les textures d’exception sont le fruit d’un savoir-faire artisanal et scientifique.
« Cette démarche est auditée chaque année de façon indépendante par Ecocert. Fabriqués en France en petites séries pour optimiser leur fraîcheur et certifiés Cosmos Organic, ces soins d’exception inaugurent un nouveau chapitre dans l’histoire séculaire de la Maison Gaspard Cottance, célébrant une beauté authentique et une élégance intemporelle », indique-t-on au sein de l’entreprise.
Le fabricant britannique de papier et d’emballage DS Smith a récemment finalisé d’importants travaux de modernisation de son site de Contoire-Hamel, dans la Somme. L’objectif de cet investissement de 4,5 M€ : optimiser la consommation d’énergie et limiter les émissions de CO2 de l’usine qui produit des papiers pour ondulé (PPO).
Une nouvelle hotte a été installée dans la sécherie ainsi qu’une tour de récupération d’énergie équipée de trois échangeurs successifs. Ce système permet une baisse de 20 % de la consommation annuelle de gaz (soit 28 GWh par an, l’équivalent de la consommation d’une cartonnerie). Il offre également une réduction des émissions de CO2 de 5 000 tonnes par an.
La tour permettra par ailleurs de récupérer environ 140 m3 d’eau de condensation par jour, contribuant ainsi à la préservation de la ressource en eau.
« Ce projet s’inscrit dans notre stratégie de développement durable “Aujourd’hui et Demain” et nos objectifs de décarbonation pour atteindre zéro émission nette d’ici 2050. Il complète les précédentes initiatives prises sur le site, comme notre station de cogénération et notre chaudière biogaz. Cet investissement contribue également à la pérennité de l’usine et à la préservation des emplois », a déclaré Matthieu Chateau, directeur général du site.
Un chantier d’envergure
Pour mener à bien ce projet, l’usine a dû interrompre son activité du 7 au 23 octobre 2024. Jusqu’à 150 personnes, issus de divers corps de métiers (charpentiers, mécaniciens automaticiens, électroniciens, tuyauteurs, calorifugeurs, chaudronniers, etc.) ont travaillé sur le chantier ouvert 20h / 24.
Photo de une : nouvelle hotte installée dans la sécherie.