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Robertet : chiffre d’affaires en hausse au 1er semestre 2025

Robertet

Robertet, spécialiste mondial des matières premières naturelles pour les parfums et les arômes, a publié son chiffre d’affaires pour le 1er semestre 2025. Celui-ci s’élève à 446,3 millions d’euros, en hausse de +7,7 %, dont +7,1 % à périmètre constant. À taux de change et périmètre comparable, la croissance organique de Robertet atteint +9,2 %.

Au 1er trimestre 2025, le chiffre d’affaires affichait une hausse de +5,5% par rapport au 1er trimestre 2024. Cette croissance s’est accélérée au 2e trimestre, avec un chiffre d’affaires en hausse de +10,0% par rapport à la même période de l’exercice précédent.

Selon Robertet, la bonne performance du 1er semestre s’explique principalement par la forte croissance des divisions Arômes et Matières premières, ainsi que par un démarrage d’année favorable en Europe, en Amérique Latine et en Asie, tandis que l’Amérique du Nord est stable.

L’ensemble des divisions de Robertet sont en croissance au cours du 1er semestre 2025. Les Matières premières (26,3 % du CA) affichent une progression de +14,4 %, portée par la dynamique du marché de la parfumerie fine et la demande des clients européens et asiatiques.

La Parfumerie (35,8 % du CA) enregistre une croissance de +0,5 %, soutenue par une légère progression en Europe et une forte croissance en Amérique du Sud, au Moyen-Orient et en Asie. Cette dynamique est freinée par un ralentissement en Amérique du Nord dû à des effets de stock chez l’un des principaux clients.

La division Arômes représente (35,3 % du CA) progresse de +10,7 %, tirant parti d’une demande soutenue pour le naturel de la part de clients de toutes tailles.

La division Health & Beauty (2,6 % du CA), enregistre une hausse de +9,1 %.

Image extraite du site internet de Robertet.

La silver beauty au cœur du 25e congrès scientifique de Cosmed

Congrès Cosmed

L’association professionnelle Cosmed, représentant les entreprises cosmétiques en France, organise la 25e édition de son congrès scientifique le 23 septembre 2025, à Montpellier et en streaming. Le thème de cette édition : « La beauté n’a pas d’âge. Impact hormonal et formulation cosmétique. »

Une thématique en phase avec les enjeux démographiques et sociétaux

Cosmed rappelle qu’à l’heure où les Nations Unies prévoient un doublement de la population des plus de 60 ans d’ici 2050, le marché de la « Silver Beauty » s’impose comme un territoire d’innovation majeur. Évalué à 1,5 milliard d’euros en France, ce segment affiche une croissance de 6%, dépassant largement la moyenne du secteur cosmétique (3%).

Cette dynamique s’explique par l’émergence d’une « Silver Generation » moderne, active et influente, dont l’âge psychologique défie constamment l’âge biologique. Comprendre les mécanismes hormonaux du vieillissement pour développer des formulations adaptées constitue un des axes de recherche les plus prometteurs de l’industrie cosmétique.

Un programme dense

Près de 120 experts de premier plan – directeurs scientifiques, chercheurs, formulateurs, dermatologues et spécialistes marketing – partageront leurs découvertes les plus récentes et leurs visions prospectives sur la longévité cutanée avec une présentation des dernières solutions cosmétiques innovantes pour maintenir une peau saine et jeune face au vieillissement naturel et aux agressions extérieures

La révolution de l’esthétique sur-mesure pour les femmes ménopausées qui explorent les combinaisons instrumentales efficaces pour revitaliser les fonctions cutanées et corporelles à un moment crucial du vieillissement féminin fera également l’objet de présentations.

Parmi les autres sujets : la carbonylation, comme première cause du vieillissement et les derniers actifs permettant de protéger le protéome cutané.

Un événement hybride

Afin de répondre aux attentes des professionnels du secteur, le congrès sera accessible à la fois en présentiel à Montpellier et en streaming.

Inscriptions et programme détaillé disponibles sur www.cosmed.fr.

Silab obtient le statut Platinum d’EcoVadis pour la 5e fois

SILAB EcoVadis 2025

Silab se voit attribuer le statut Platinum par EcoVadis pour la 5e fois. Cette année, le spécialiste des ingrédients actifs naturels affiche une nouvelle fois un score EcoVadis supérieur à l’année précédente. Silab confirme ainsi sa position dans le top 1 % des entreprises les mieux notées au monde, en matière de performance sociale et environnementale des chaînes d’approvisionnement mondiales.

EcoVadis évalue également le « score carbone » des entreprises, qui mesure la performance du système de gestion des gaz à effet de serre. Silab se voit attribuer le rang de leader en matière de décarbonation.

« Cette nouvelle médaille Platinum EcoVadis est le fruit de nos engagements responsables et des initiatives de nos équipes. Chacune d’entre elles a une saveur particulière et s’intègre à notre trajectoire d’amélioration », commente Jean-Philippe Cosson, directeur général de Silab en charge de la RSE.

Silab indique que la stratégie définissant son programme RSE ainsi que toutes ses actions (en termes de stratégie durable, de développement du potentiel humain, d’approvisionnement responsable, de préservation de l’environnement et de soutien des communautés) sont disponibles sur le site internet éco-conçu Actively Caring.

Expanscience veut devenir une “entreprise à visée régénérative”

Nature

« Trois ans après notre engagement comme entreprise à mission, nous avons la conviction que concilier santé économique et redirection écologique est non seulement indispensable, mais à présent possible. Cette transformation est une course de fond », souligne Jean-Paul Berthomé, président d’Expanscience.

« Dans un moment où les ambitions écologiques reculent, nous faisons le choix de tenir le cap. Mais pour répondre à l’urgence des crises à venir, il faudra une mobilisation collective, soutenue par un cadre politique clair, exigeant et porteur d’innovation pour les entreprises à mission », complète Sophie Robert-Velut, directrice générale d’Expanscience.

Portée par sa trajectoire validée par la Science Based Targets initiative depuis 2023, l’entreprise a atteint son objectif de réduction de son empreinte carbone (-3%[1] en valeur absolue entre 2023 et 2024) tout en augmentant son chiffre d’affaires, un résultat encourageant, selon Karen Lemasson, directrice RSE et Open Innovation d’Expanscience. Ce résulte « d’actions structurantes, initiées au cours des deux dernières années, et qui portent leurs fruits pour atteindre notre objectif de -35% d’émissions de GES d’ici 2030 », indique-t-elle.

Ces actions comportent, entre autres :

  • L’arrêt des livraisons par voie aérienne pour l’Amérique du Sud, la Malaisie et le Vietnam, en complément de la réduction globale de l’aérien amorcée depuis plusieurs années pour les flux logistiques ;
  • L’intégration d’une comptabilité carbone, qui attribue un budget en teqCO₂ à ne pas dépasser, afin de mieux piloter les émissions liées aux flux logistiques et aux déplacements professionnels ;
  • Pour la première fois, la mesure de l’empreinte biodiversité de l’entreprise et la mise en place de plans d’action : une décision stratégique majeure alors que 99% du chiffre d’affaires d’Expanscience dépend de la biodiversité.

En parallèle, Expanscience a prévu d’investir plus de 30 millions d’euros sur la période 2025-2027, pour décarboner l’activité de son usine à Epernon (réduction du besoin en gaz de 49% et baisse de 32% des GES par rapport à 2019) et augmenter ses capacités de production. Autre défi pour l’entreprise : la gestion du stress hydrique. Expanscience vise une réduction absolue de 25 % de sa consommation d’eau d’ici 2027, toujours sur son site d’Epernon.

En tant qu’entreprise à mission et certifiée B Corp, Expanscience s’engage en premier lieu vis-à-vis de ses équipes en bâtissant un cadre de travail inclusif et solidaire, pour devenir une entreprise leader sur des enjeux essentiels comme la parentalité, et la mise en place des mesures pionnières en matière de parentalité et de santé au travail.

[1] De 60 894 tonnes en 2024 équivalent CO2 contre 66 661 en 2022.

G.pivaudran : des emballages aluminium bas carbone

g.pivaudran

Créateur d’emballages en aluminium destinés au marché mondial du luxe, g.pivaudran a présenté, à l’occasion du salon Édition Spéciale by Luxe Pack (Carrousel du Louvre, à Paris les 1er et 2 juillet 2025), une nouvelle opportunité écoresponsable à destination des maisons premium et luxe grâce à sa maîtrise de l’aluminium bas carbone.

Après avoir développé des produits en aluminium recyclé, g.pivaudran poursuit sa dynamique RSE ambitieuse. Fidèle à son engagement en faveur d’une industrie plus vertueuse, l’entreprise a annoncé que l’ensemble de sa gamme de produits pourra désormais être proposé en aluminium bas carbone, une matière première qui concilie impact environnemental réduit, pour une qualité de finition et une pureté identique à l’aluminium standard.

« C’est une évolution naturelle pour nous. Nos clients veulent conjuguer luxe et durabilité : nous leur apportons une solution concrète, sans compromis sur l’esthétique ou la performance », souligne Marc Pivaudran, président de g.pivaudran.

Aluminium recyclé et bas carbone : deux voies durables

 Il l’a démontré à travers des projets premium ou luxe, à l’instar des réalisations pour Chanel : jusqu’à présent, l’aluminium recyclé proposé par g.pivaudran offrait (et continue d’offrir) de très belles perspectives. Pour les effets mats, l’aluminium recyclé est parfait en tous points. Toutefois, les rendus d’ultra brillance – possibles – demeurent plus complexes. L’aluminium bas carbone pallie ces limites et ouvre une nouvelle voie vertueuse, sans limite technique.

Grâce à la complémentarité des offres aluminium recyclé et aluminium bas carbone , les marques peuvent désormais opter pour l’une ou l’autre des solutions.

L’aluminium bas carbone qu’utilise g.pivaudran – provenant d’une production européenne – est issu d’énergies renouvelables, notamment hydroélectriques, ainsi que de procédés de production optimisés. Ces deux caractéristiques réunies réduisent significativement son empreinte carbone : moins de 5 tonnes de CO2 générées par tonne d’aluminium pour la version bas carbone (contre 6,4 pour la version standard).

Il bénéficie d’une traçabilité renforcée des matières premières ainsi que d’un partenariat avec des fournisseurs engagés. L’entreprise g.pivaudran se montre particulièrement attentive aux certifications et scores de durabilité obtenus par ses partenaires et au-delà, aux modes de calcul et à la qualité des audits. 

« Nous voulons être un acteur de la transformation responsable de notre industrie. Proposer l’aluminium bas carbone sur toute notre gamme, c’est une étape concrète, visible et mesurable », indique Marc Pivaudran.

« Un premier projet intégrant l’aluminium bas carbone, d’un ensemble tout aluminium qui sera anodisé sur notre nouvelle ligne décarbonnée, est en cours avec un nouveau client. Les équipes de g.pivaudran sont à pied d’œuvre pour relever ce défi qui concrétisera le nouvel engagement écoresponsable de l’entreprise au service des marques et du luxe à la française », annonce Hervé Delaigue, directeur commercial.

Albéa renforce sa présence en Amérique latine

François_Tassart - Albéa

Albéa, spécialiste mondial de l’emballage cosmétique durable, a annoncé la signature d’un accord en vue de l’acquisition d’Amfora Packaging, entreprise innovante dans le domaine de l’emballage basée à Bogotá (Colombie) et opérant en Colombie et au Pérou. Cette opération permettra au groupe d’accroître sa présence en Amérique latine.

Amfora Packaging apporte à Albéa son savoir-faire en conception, développement et fabrication d’emballages plastiques destinés aux secteurs de la parfumerie, de la cosmétique, des soins personnels et de la pharmacie. Fondée par Acon en 2015, l’entreprise sud-américaine est née de la fusion de deux entreprises familiales, Intecplast à Bogotá et Pieriplast à Lima (Pérou). Cette acquisition représente pour Albéa une étape stratégique importante sur un marché en forte croissance pour les produits de beauté et de soins personnels. Grâce à la complémentarité de leurs expertises, Albéa entend élargir son offre dans les segments du maquillage, des soins de la peau, de l’hygiène et de la parfumerie.

« Albéa franchit une nouvelle étape pour consolider son empreinte mondiale et soutenir ses opérations déjà présentes aux États-Unis et au Mexique, a déclaré François Tassart, CEO du groupe. La forte proximité client d’Amfora Packaging nous permettra de bénéficier d’un accès direct aux acteurs clés de l’industrie de la beauté et du soin. Nous pourrons continuer à accompagner au mieux nos clients internationaux et répondre à la demande croissante de sourcing local. »

« Cette acquisition représente une avancée majeure dans notre ambition de devenir un leader de l’emballage beauté à l’échelle mondiale. Nous n’aurions pu trouver un meilleur partenaire : nos deux entreprises partagent la même passion du client, un engagement constant en faveur de l’innovation et une culture commune ancrée dans une vision entrepreneuriale responsable », a ajouté Bertrand de la Tour d’Artaise, directeur général adjoint stratégie et M&A du groupe Albéa.

Photo : François Tassart, CEO du groupe Albéa.

Bonnes vacances !

Vacances IC

L’équipe d’Industries Cosmétiques se met au repos pour revenir en pleine forme dès le 18 août.

Nous vous souhaitons un très bel été !

Quel avenir pour le secteur chinois des produits de beauté et des soins personnels ?

Marché de la beauté - Chine

Par PCHi, Reed Sinopharm Exhibitions

Le discours sur la beauté en Chine est en pleine mutation. L’efficacité, les allégations scientifiquement fondées et la transparence des ingrédients occupent désormais le devant de la scène. Alors que les attentes des consommateurs continuent d’évoluer, les entreprises qui offrent plus que de simples produits, celles qui apportent un savoir-faire avancé, de l’innovation et de la crédibilité, sont bien placées pour exploiter un marché qui entre dans sa prochaine phase de croissance.

Même si les gros titres ne font plus état d’une expansion explosive, la Chine reste l’un des marchés les plus dynamiques au monde dans le domaine de la beauté et des soins personnels. Selon les statistiques de l’Association chinoise de l’industrie des arômes et des parfums cosmétiques (Caffci), le marché chinois des cosmétiques a enregistré un volume total de transactions de 1 070 milliards de yuans (147,6 milliards de dollars) en 2024, soit une augmentation constante de 2,8 % par rapport à l’année précédente. Derrière ces chiffres, une transformation plus profonde est en cours.

Le secteur passe d’un modèle axé sur le volume à un modèle défini par la création de valeur, où la confiance dans la marque, l’efficacité des produits et les capacités techniques sont des facteurs clés de différenciation. Cela signifie que pour les entreprises qui cherchent à se développer sur ce marché, l’opportunité ne réside pas seulement dans l’échelle, mais aussi dans la possibilité de s’aligner sur un écosystème de plus en plus sophistiqué.

De l’engouement à la substance

Alors que le secteur chinois de la beauté dépasse les cycles de tendance et les allégations superficielles sur les produits, la performance devient le nouveau champ de bataille, définie par des résultats vérifiables, des formulations scientifiques et des ingrédients de haute qualité. Les marques nationales renforcent leurs capacités techniques, tandis que les multinationales sont mises au défi de montrer plus qu’une simple image de marque mondiale. Elles doivent désormais démontrer la véritable supériorité de leurs produits et leur pertinence locale.

Les consommateurs posent de plus en plus de questions pointues et exigent une plus grande transparence. Ils examinent attentivement la liste des ingrédients et attendent que chaque allégation soit étayée par des preuves. En conséquence, les marques qui ne parviennent pas à justifier leurs promesses perdent progressivement du terrain au profit de celles qui le peuvent.

Un environnement réglementaire en pleine mutation

À mesure que les attentes des consommateurs augmentent, les normes réglementaires évoluent en parallèle. Les réformes récentes ont renforcé les exigences en matière de sécurité, d’efficacité et de transparence, rapprochant ainsi le cadre réglementaire chinois des normes internationales. Cette évolution crée des conditions plus équitables et incite l’industrie à adopter une innovation plus responsable et durable. Au début de l’année, l’Administration nationale des produits médicaux (NMPA) de Chine a publié son règlement sur le soutien à l’innovation dans le domaine des matières premières cosmétiques. Ces mesures rationalisent le système de classification et les exigences techniques pour l’enregistrement et le dépôt de nouvelles matières premières. Elles encouragent également la soumission simultanée de nouvelles matières premières et de produits connexes, une initiative visant à favoriser une plus grande innovation dans le secteur des ingrédients cosmétiques en Chine.

Alors que la rapidité de mise sur le marché était autrefois synonyme de succès, l’accent est désormais mis sur la résilience à long terme. Les marques qui perdureront seront celles qui intègrent la conformité dans leur stratégie d’innovation et considèrent la rigueur réglementaire non pas comme un obstacle, mais comme un tremplin pour renforcer leur crédibilité.

Rester compétitif dans un environnement en mutation

La Chine reste un acteur clé dans la chaîne d’approvisionnement mondiale des produits de beauté. Des matières premières et ingrédients actifs à la formulation et au conditionnement, le pays joue un rôle essentiel dans la rapidité, l’efficacité et la diversité des produits.

Les entreprises doivent donc renforcer leurs capacités techniques et leur connaissance du marché afin de rester compétitives dans ce contexte en constante évolution. Les entreprises les plus performantes seront celles qui sauront anticiper les changements, s’adapter rapidement et développer conjointement des solutions qui répondent aux attentes d’une clientèle plus exigeante et diversifiée.

Dans ce contexte, les salons professionnels tels que Personal Care and Homecare Ingredients (PCHi) revêtent une importance stratégique croissante. Les visiteurs y viennent non seulement pour s’approvisionner, mais aussi pour trouver l’inspiration en matière de formulation, s’informer des dernières évolutions réglementaires et nouer des collaborations transfrontalières. Axé sur l’échange de connaissances et l’innovation, le salon PCHi offre des opportunités inégalées de rencontrer les leaders du secteur et de rester à la pointe des nouvelles tendances, ce qui en fait un rendez-vous incontournable pour anticiper les changements.

La prochaine édition du PCHi se tiendra du 18 au 20 mars 2026 au Grand Centre de congrès et d’exposition de Hangzhou. Pour plus d’informations : www.pchi-china.com/en.

PCHi, Reed Sinopharm Exhibitions

L’Oréal ouvre le premier appel à candidatures de son nouvel “accélérateur d’innovation durable”

Cosmétiques

Doté de 100 millions d’euros sur cinq ans, l’accélérateur d’innovation durable du groupe L’Oréal vise à identifier des solutions durables et accélérer leur mise en œuvre. Plusieurs domaines clés sont concernés : solutions bas carbone adaptées aux enjeux climatiques, solutions pour une gestion durable de l’eau, solutions fondées sur la nature, ingrédients et matériaux alternatifs, élimination des plastiques fossiles et des déchets plastiques, circularité et gestion des ressources, et modèles économiques durables et inclusifs.

L’Oréal s’associe au Cambridge Institute for Sustainability Leadership (CISL) pour identifier, sélectionner, tester et déployer à grande échelle des solutions de rupture dans l’industrie de la beauté. Fort d’un réseau de plus de 40 000 acteurs engagés et d’une expertise reconnue en matière de développement durable, CISL apportera un accompagnement déterminant aux candidats sélectionnés dans le cadre d’un programme structuré en cohorte et pouvant aller jusqu’à 12 mois. 

« Chez L’Oréal, nous avons toujours encouragé et cultivé l’innovation, en co-créant avec nos partenaires tout au long de notre chaîne de valeur, pour impulser un changement positif dans l’industrie de la beauté, indique Ezgi Barcenas, directrice générale – responsabilité sociétale et environnementale de L’Oréal. Alors que nous travaillons avec notre écosystème à construire un avenir plus durable, nous savons combien il est essentiel de rechercher, développer et déployer des solutions pionnières. Nous sommes impatients de collaborer avec un nombre croissant d’innovateurs et de porteurs de solutions du monde entier. »

« Dans un monde en pleine transformation, la collaboration est plus que jamais essentielle pour créer un impact réel. Nous sommes ravis de nous associer à L’Oréal pour cette initiative majeure. Ensemble, nous mettrons nos expertises en commun pour trouver et amplifier des solutions innovantes, commercialement viables et qui répondent aux défis de l’industrie de la beauté et bien au-delà », explique James Cole, directeur général de l’innovation au CISL et directeur général de Canopy.

L’appel à candidatures est ouvert jusqu’au 30 septembre 2025. Les start-ups, PME et entreprises établies sélectionnées bénéficieront d’un programme d’accélération sur mesure incluant du coaching, du mentorat, ainsi que des opportunités potentielles de projets pilotes et d’investissement pour accompagner le déploiement de leur innovation à grande échelle.

Pour en savoir plus : https://cambridge.smapply.org/prog/_lorals_sustainable_innovation_accelerator/

Michael Friede, président de la division Scent & Care de Symrise

Michael Friede - Symrise

Le conseil de surveillance de Symrise AG a nommé Michael Friede au comité de direction et à la présidence du segment Scent & Care, auparavant dirigé par intérim par Jean-Yves Parisot, PDG de Symrise. Le segment Scent & Care, qui regroupe les activités de Symrise dans les domaines des applications parfumées, des molécules aromatiques et des ingrédients cosmétiques, génère un chiffre d’affaires annuel d’environ 2 milliards d’euros.

« Nous sommes très heureux d’annoncer que Michael Friede rejoindra notre comité de direction. Il apporte de nombreuses années d’expérience et une connaissance approfondie du marché, ainsi qu’un haut niveau d’expertise spécifique à l’industrie dans divers domaines en pleine croissance. De plus, il possède une expérience internationale éprouvée, ce qui fait de lui un excellent choix pour Symrise, une entreprise en pleine croissance et opérant à l’échelle mondiale », a déclaré Michael König, président du conseil de surveillance de Symrise AG.

Michael Friede est membre du comité de direction de Brenntag SE (Essen, Allemagne), depuis 2023, où il a occupé le poste de PDG de Brenntag Specialties, dirigeant les segments des produits chimiques spécialisés dans les sciences de la vie et les sciences des matériaux à l’échelle mondiale. Auparavant, il a été membre du comité exécutif d’Akzo Nobel N.V. Amsterdam, Pays-Bas, vice-président exécutif de Covestro AG, Allemagne, et PDG et président de Covestro Elastomers SAS en France. Il a débuté sa carrière professionnelle chez Bayer AG, où il a occupé divers postes de direction à Leverkusen, en Allemagne, et à Pittsburgh, aux États-Unis. Il est également membre du conseil de surveillance de Pearl Polyurethane Systems LLC, l’un des principaux producteurs de systèmes polyuréthanes, dont le siège social est situé à Dubaï.

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