- publicité -
Accueil Blog Page 111

Beiersdorf obtient la mention Triple A du CDP, pour ses progrès en matière de durabilité

Le CDP salue le leadership de Beiersdorf pour ses engagements environnementaux, en lui attribuant des notes remarquables pour sa définition d’objectifs, sa performance et sa transparence sur les domaines de la lutte contre changement climatique, de la préservation des forêts et de la gestion de l’eau.

Cette récompense vient valider l’ambitieux programme de développement durable mis en place par le Groupe : Care beyond skin

Le CDP l’inscrit ainsi dans sa prestigieuse « liste A » pour les trois volets. Pour l’entreprise hambourgeoise du Dax, ce Triple « A » représente une étape clé, ainsi qu’une formidable reconnaissance des avancées réalisées ces dernières années vers la réalisation d’engagements ambitieux en matière de développement durable.

« Nous sommes fiers et honorés d’avoir obtenu un Triple « A » de la part du CDP, cette année, » s’est enthousiasmé le PDG Vincent Warnery à l’annonce des résultats pour 2022. « Nous avons beaucoup travaillé au cours de ces dernières années pour opérer une transformation profonde de l’ensemble de nos activités, partout dans le monde. Ce triple « A » du CDP vient récompenser nos efforts pour s’imposer en leader du secteur, sur les enjeux environnementaux majeurs, non seulement par la définition d’objectifs ambitieux, mais aussi par la mise en place de mesures concrètes et la transparence de notre démarche. Je remercie l’ensemble des collaborateurs et partenaires, à toutes les étapes de la chaîne de valeur, pour leur important soutien dans la mise en place de notre programme de développement durable : Care beyond skin. »

IFF nomme Sabrya Meflah Présidente, Fine Fragrance

IFF a nommé Sabrya Meflah Présidente de sa business unit Parfumerie Fine, avec effet immédiat. Madame Meflah, actuellement Vice- Présidente, Directrice Générale régionale pour l’Europe, le Moyen-Orient et l’Afrique, succède à Dionisio Ferenc. Dans ce nouveau rôle, elle aura la responsabilité de la stratégie et de la croissance de la business unit parfumerie fine d’IFF.

« Je suis très enthousiaste à la perspective de nos avancées, avec Sabrya aux commandes du futur de notre business unit parfumerie fine, particulièrement en matière de croissance, d’innovation, et de différenciation « , dit Frank Clyburn, CEO d’IFF.

C’est en 1995 que Sabrya Meflah a rejoint IFF pour un stage au marketing de la société. Depuis, le périmètre de ses responsabilités n’a cessé de s’étendre. Ces huit dernières années, au poste de Vice Présidente, Directrice Générale Régionale de la région étendue Emea, elle a obtenu une croissance du chiffre d’affaires sous sa responsabilité supérieure à celle du marché ; et a installé IFF dans une position de leader indiscutable auprès de marques mondiales de parfumerie de luxe.
En 2019, Sabrya Meflah a ouvert l’Atelier du Parfumeur, à Grasse, en réponse aux besoins spécifiques du secteur du grand luxe, le segment en plus forte croissance de la parfumerie. Cet Atelier grassois a donné à IFF accès à un lieu unique de création et de production pour la haute-parfumerie. Sabrya Meflah a aussi contribué à l’essor de l’équipe d’IFF au Moyen-Orient et en Afrique, permettant à IFF d’y devenir un leader.
« Je suis ravi de la nomination de Sabrya Meflah à ce rôle de leadership, à l’envergure mondiale », dit Christophe de Villeplée, Président, Scent, IFF. « Sa vision stratégique a été essentielle pour positionner IFF en leader de la parfumerie fine. Son expérience, son expertise, sa réputation, sa passion, et ses talents managériaux seront autant d’atouts pour poursuivre la croissance de la parfumerie fine, et accélérer l’innovation, le développement régional, et l’ouverture vers de nouveaux segments ».
Sabrya Meflah est titulaire d’un Mastère en Marketing et Communication de l’Idrac Business School, et du programme « Mastering Business Agility » de l’IFF/Insead. Elle sera basée dans le centre créatif de Paris.

Le Groupe GM relance la ligne de produits d’accueil Pascal Morabito

Les deux entreprises ont travaillé ensemble pour repenser la célèbre ligne hôtel, renforçant leur engagement en faveur du développement durable.

 Groupe GM, leader mondial du secteur du produit d’accueil, annonce la relance de la ligne hôtel emblématique Contemporary de Pascal Morabito. Repensée pour refléter les objectifs de développement durable de Groupe GM, cette gamme de produits sur mesure sera disponible dans le monde entier grâce au vaste réseau de distribution du groupe. 

Artiste visionnaire depuis près de 50 ans, Pascal Morabito crée des bijoux et des sculptures avant-gardistes depuis 1970.  Il est notamment connu pour ses nombreux chefs-d’œuvre, et les lignes hôtel ne font pas exception. En 2000, Pascal Morabito s’est lancé dans une toute nouvelle aventure en créant sa première ligne de produits d’accueil avec Groupe GM. En imaginant ses collections, Pascal Morabito a cherché à créer quelque chose d’unique et de contemporain.

Il a conçu deux lignes hôtel avec Groupe GM : la ligne Contemporary et la ligne Collection Première, qui se distinguent toutes les deux par leur souci du détail et leur conception impeccable. Comme son nom l’indique, la ligne Contemporary apporte une touche de modernité aux produits d’accueil traditionnels, grâce à ses parfums frais et revitalisants et à son design élégant. La ligne Collection Première offre aux hôtes un mélange subtil de luxe et de raffinement.

Pascal Morabito a sublimé la ligne de produits hôteliers traditionnelle en plaçant l’opulence entre les mains des hôtes à travers le monde. Il partage avec Groupe GM un même dévouement pour le luxe, le style et la qualité, un engagement commun sur lequel repose la réussite de cette collaboration depuis 20 ans.

Aujourd’hui, la ligne Contemporary s’inscrit pleinement dans la démarche du programme « Care About Earth » et reflète les objectifs de développement durable de Groupe GM.

La ligne hôtel éco-responsable Contemporary de Pascal Morabito comprend des produits en petits et grands formats. La gamme propose des produits au parfum frais sublimé par des notes de citron, géranium, bois de santal, menthe, lavande, tonka, thym, cèdre, orange et vétiver.

Les nouveaux petits flacons de 20 et 30 ml sont fabriqués à 100 % à partir de plastique recyclé. La ligne comprend également des sels de bain de 25 et 35 g. Des savons certifiés RSPO (« Roundtable on Sustainable Palm Oil ») de 20 et 40 g complètent la collection.

La ligne est également disponible dans des distributeurs de grande contenance. L’Ecopump est un distributeur de 300 ml fabriqué à 100 % à partir de plastique recyclé provenant des circuits de recyclage post-consommation, et de pompes scellées en résine biosourcée.

Ecosource airless dispenser est le premier distributeur cosmétique aux formules garanties sans conservateur, aussi douces pour la peau que pour l’environnement. Grâce à une technologie brevetée exclusive, les produits sont conditionnés à chaud sous vide dans des poches stériles de 375 ml, contenant seulement 11,7 g de plastique. Ecosource offre une combinaison unique de qualité, d’écologie, d’innovation et de sécurité. L’Ecosource est certifié par le label écologique européen Nordic Swan Ecolabel.

Le Ghost est un distributeur de 400 ml. Il s’accroche à un rail invisible, donnant l’impression que le produit est en lévitation. Ce distributeur grand format au design écologique et ingénieux est fabriqué à partir de canne à sucre. Le système est à la fois sûr et facile à utiliser. La quantité de produit restant est visible grâce à une petite fenêtre discrète.

Enfin, le distributeur Ecofill viendra compléter la ligne. Actuellement en instance de brevet, ce distributeur innovant conçu par Groupe GM est éco-responsable, rechargeable et traçable. Il constitue une solution propre, sûre, rapide et facile avec un impact environnemental réduit. Ses poches de recharges scellées d’une capacité de 400 ml proposent un packaging à faible impact avec seulement 8 g de plastique recyclable, et sont faciles à retirer et à remplacer.  

Éco-conçus et proposés en grand format, de nombreux produits d’accueil de la gamme Pascal Morabito s’inscrivent désormais pleinement dans la démarche du programme « Care About Earth » de Groupe GM. Lancé en 2018, le programme Care About Earth vise à renforcer les actions environnementales et sociales de Groupe GM. Ce programme a pour objectif de réduire l’impact du secteur hôtelier sur l’environnement. Il affirme l’engagement de Groupe GM et les efforts déployés par la société pour développer des produits durables et réduire son impact sur l’environnement. 

Laurent Marchand, président de Groupe GM, déclare :« Nous sommes ravis de renouveler cette ligne de produits populaire avec notre partenaire Pascal Morabito, afin de mieux adhérer aux normes et aux convictions fortes qui animent le groupe en matière de développement durable. Cette collection de produits d’accueil est davantage en accord avec notre programme Care About Earth, et nous sommes convaincus qu’elle répondra à toutes les attentes de nos clients. Nous avons hâte de lancer cette nouvelle ligne de produits d’accueil dans les hôtels du monde entier ! »  

[podcast] Paris Packaging Week 2023 se prépare

À quelques semaines de l’ouverture de la nouvelle édition de Paris Packaging Week, Josh Brooks, directeur, et Christelle Anya qui gère tout le contenu du salon, se montrent confiants. Les voyants sont au vert. L’innovation sera visible dans les allées. Les conférences proposeront une vision globale du marché et ne s’interdiront pas de réfléchir aux sujets de société…

Le Ministre en charge de l’Industrie, Roland Lescure, a réuni le Comité de filière « cosmétiques » à Bercy

Présidé – pour la première fois – par Roland Lescure, Ministre délégué à 1 ’Industrie, le « Comité de filière cosmétiques » s ’est réuni le 28 novembre, en présentiel, à Bercy, pour une troisième séance de travail depuis sa création en 2021, à la suite des « Etats Généraux de la Cosmétique ». Organisée par le pôle de compétitivité Cosmetic Valley et la Febea, en présence d’une vingtaine de représentants de la filière, cette réunion a permis d’échanger avec le Ministre sur les défis rencontrés par les différents maillons de la chaîne de valeur – fournisseurs, fabricants, distributeurs -, et de soumettre au ministre des projets concrets de coopération entre les entreprises, les associations professionnelles et les pouvoirs publics. A l’issue de la réunion, Cosmetic Valley, la Febea et le Médiateur des entreprises ont signé la « Charte sur les achats responsables », premier aboutissement du processus lancé début 2021 avec l’adoption, par les plus grands donneurs d’ordre du secteur, de la « Déclaration de solidarité des entreprises cosmétiques avec le secteur verrier ». Elle formalise dix engagements entre donneurs d’ordre et fournisseurs.


Les participants du Comité de filière ont tenu à inscrire cette réunion dans un contexte marqué par la double crise énergétique – qui frappe l’industrie cosmétique, notamment ses fournisseurs, et bouleverse les équilibres et la chaîne d’approvisionnement mondiale-, et environnementale – dont les enjeux restent immenses, urgents, mais représentent aussi un « aggiomamento » porteur de croissance pour la filière.


D’entrée de jeu, le ministre en charge de l’Industrie s’est réjoui de cet échange avec l’ensemble de l’écosystème cosmétique, sa chaîne de valeur, ses fournisseurs et ses partenaires qu’il avait déjà longuement rencontrés lors de l’inauguration du salon, Cosmetic 360, organisé par la filière en octobre dernier, à Paris. Il a souligné l’importance économique de ce secteur industriel, essentiel et exemplaire qui fait de la France un leader par l’investissement réalisé, les emplois créés dans les territoires, son apport décisif à la balance commerciale de la France et les initiatives remarquables qu’elle porte pour réussir sa transition écologique, saluant, en d’autres termes, une industrie d’avenir.

Énergie et décarbonation : poursuivre la transition énergétique, malgré la crise

L’inflation et les risques qui pèsent sur les approvisionnements en gaz ne détournent pas l’industrie cosmétique de sa feuille de route. Elle s’engage résolument dans la poursuite de sa transition énergétique.
Plusieurs des participants à la réunion ont alerté le Ministre sur les conséquences de la crise énergétique, notamment sur les entreprises de taille intermédiaire (Eti) souvent non éligibles aux différentes aides mises en place. Philippe d’Ornano, président de Sisley et vice-président du METI, a ainsi souligné que les Eti qui avaient investi pour réduire la part de l’énergie en dessous de 3% de leur chiffre d’affaires, échappaient de ce fait aux aides publiques, tandis que le président du groupe Pochet, Xavier Gagey, insistait sur le caractère indispensable d’un soutien public pour réussir, sans fragiliser cette activité, le tournant écologique majeur que représente l’électrification des fours verriers.

L’engagement de la filière en faveur de la sobriété énergétique a été rappelé par Emmanuel Guichard. délégué général de la Febea, qui a évoqué la signature des chartes EcoWatt et EcoGaz ainsi que la campagne de sensibilisation sur les « écogestes dans la salle de bains », lancée par la Febea dans le prolongement de la campagne gouvernementale « Chaque geste compte ».
Évoquant la décarbonation, Laurent Kleitman, Président de Parfums Christian Dior, a présenté la feuille de route de Parfums Christian Dior, les nombreux domaines identifiés par France Nation Verte auxquels contribuent ainsi la Maison, et la démarche, marquée par le volontarisme et l’interdépendance avec ses fournisseurs, dans laquelle il souhaite résolument s’inscrire.
Le Ministre a salué les engagements pris par la filière. Tout en rappelant les efforts importants déployés par le gouvernement pour aider les entreprises, il a reconnu quelques « effets pervers » dans ses dispositifs d’aide et assuré que des rectificatifs seraient introduits, à partir de janvier 2023. à travers, notamment, des appels à projet décarbonation adaptés aux PMEs et Eti dans le cadre de France2030.

Biodiversité en cosmétique : un catalyseur de recherche, d’innovation et d’attractivité des territoires de métropole et d’Outre mer


Les ingrédients naturels constituent à la fois l’origine et l’avenir de l’industrie cosmétique qui s’affirme comme un levier de préservation et de consolidation de la biodiversité. Après que Emmanuel Quiblier, Directeur des opérations chez Greentech, a rappelé l’engagement des fournisseurs de matières premières dans la préservation de la biodiversité, et alors que Philippe Massé, président de Prodarom, a exprimé les inquiétudes des producteurs d’ingrédients face aux réglementations à venir, le Président de Cosmetic Valley Marc-Antoine Jamet a présenté les ambitions de la filière pour défendre la biodiversité en promouvant la « cosmétopée ». Véritable conservatoire du patrimoine des ressources naturelles utilisées en cosmétique, elle constitue un élément clé dans la défense de la biodiversité par notre industrie, participe à son caractère innovant à travers l’apparition ou la redécouverte de certains ingrédients et devient une priorité de plus en plus stratégique de sa recherche. C’est également un catalyseur du développement pour les territoires en métropole naturellement, mais surtout en Outre-Mer. où le pôle de compétitivité conclut de nombreux partenariats, le prochain devant se construire en février en Martinique. Le Président de la Cosmetic Valley a souhaité que ces initiatives s’insèrent davantage à l’avenir dans les programmes et réseaux initiés par les autorités publiques, soulignant l’importance de leur donner une plus grande visibilité dans les grands événements internationaux dédiés à la biodiversité et les politiques menées au sein des collectivités locales d’Outre-mer.
Le Ministre a jugé ces axes d’action « très stimulants », mobilisant des acteurs locaux et s’est montré très ouvert au soutien de cette démarche.

Emballages plastiques : souveraineté industrielle et économie circulaire

A l’occasion de la réunion du deuxième comité de filière en mars 2021, il avait été rappelé, avec la présentation d’une étude solide réalisée par le cabinet PWC, que, si le secteur était déjà champion du « Fabriqué en France », sa volonté était de poursuivre davantage encore ses efforts de relocalisation qu’il s’agisse des ingrédients, des emballages, des productions des différents fournisseurs, pour sécuriser et renforcer ses achats dans l’hexagone – 83% de ses approvisionnements étant déjà franco-européens et massivement français.
Christian Thery, président d’Elipso et Nicolas Yatzimirsky, président de Albea tubes, ont rappelé le rôle clé de l’emballage dans la chaîne de valeur et témoigné de l’engagement du secteur à travers 7 axes développés dans le cadre de la médiation des entreprises avec Cosmetic Valley et Febea. initiative qui avait été lancée dans le prolongement de la première réunion du Comité de filière.
Deux priorités se dégagent : d’une part, rapatrier la fabrication des moules d’emballage en France, enjeu majeur pour relocaliser la production, réduire les temps de lancement de nouveaux produits, augmenter la flexibilité et la réactivité de nos entreprises ; d’autre part, s’engager dans l’éco-conception des produits et le développement de l’économie circulaire.
Confiants dans les techniques de recyclage qui évoluent rapidement, les professionnels ont davantage souligné l’enjeu de la collecte des déchets d’emballages et de l’accès à la matière. Le ministre s’est félicité du travail réalisé dans le cadre de la médiation des entreprises et a renouvelé son soutien au secteur de l’emballage qui doit investir massivement sur des transformations rapides.

Emploi et formation : une industrie d’avenir

Quelques jours après la clôture de la « Semaine de l’Industrie » cette année intitulée « Agir pour une industrie d’avenir », la filière cosmétique a fait la preuve tant de sa force en matière d’offre de formations et d’emplois, que du besoin d’aller plus loin, avec les pouvoirs publics, pour rendre cette offre visible et attractive.
Les enjeux d’emploi et de fonnation ont été illustrés par Régine Ferrère, présidente de la CNEP. qui a rappelé le vivier d’emplois que représentent les métiers de l’esthétique-parfumerie et souligné les difficultés de recrutement rencontrées par les entreprises en rappelant les performances de la filière en matière d’apprentissage : après s’être engagée, dans le cadre de la convention « 1 jeune, 1 solution », à fournir une solution à 12 000 jeunes, ce sont finalement 19 000 contrats d’apprentissages, emplois ou stages qui ont été pourvus dans les métiers de la distribution et de la fabrication en 2022.
Après la présentation par Christophe Masson, directeur général de la Cosmetic Valley, des outils et de la campagne de communication qui sera mise en œuvre par le pôle en 2023 pour renforcer l’attractivité de l’industrie cosmétique auprès des jeunes, le Ministre a assuré que la filière pouvait compter sur son soutien pour faire connaître les métiers de l’industrie et confirmé que le soutien public à l’apprentissage, qui a permis de doubler le nombre de contrats pendant le dernier quinquennat, serait renouvelé sur l’ensemble des postes, non-qualifiés comme plus qualifiés.

Relations avec la grande distribution : résoudre les difficultés du rayon hvgiène/beauté dans un contexte d’inflation

Sur le sujet des relations avec la grande distribution dans un contexte d’inflation du coût des matières premières et de l’énergie et de pression sur les prix, le Ministre a assuré être conscient des difficultés qui pèsent sur les fournisseurs de produits d’hygiène-beauté. Il a notamment souligné l’importance du travail mené par le Médiateur des entreprises pour aboutir à une charte de bonnes pratiques entre distributeurs et fournisseurs.

International : retrouver le soft power français par un front uni et offensif de la filière et de la puissance publique

Les intervenant comme le ministre se sont accordés sur la nécessité de promouvoir les atouts de l’industrie cosmétique française, face à une concurrence toujours plus forte, organisée et qui n’hésite pas. à l’instar de la K-Beauty coréenne, à s’unir à d’autres industries créatives pour conforter son pouvoir prescripteur et conquérir de nouveaux marchés.
L’importance capitale de soutenir la cosmétique française face à la concurrence internationale a été rappelée par plusieurs intervenants, dont Marie-France Zumofen, directrice de l’Isipca, qui a souligné la nécessité de soutenir le « soft power » des industries créatives. Le Ministre, qui a évoqué le projet porté par la filière d’une « marque de filière » adossée à Choose France, a aussi annoncé sa décision, à la demande du « Comité de filière cosmétiques », de lancer une étude sur les politiques publiques de soutien à l’industrie cosmétique menées par les grands compétiteurs internationaux de la cosmétique française, afin de pouvoir identifier les meilleurs leviers d’action que la France devrait adopter. Cette initiative doit être complétée par d’autres : création d’une semaine de la cosmétique à l’étranger soutenu par notre réseau d’ambassades et constitution d’un réseau de VIE là où les marchés doivent être suivis.

Signature de la charte « Relations fournisseurs / achats responsables »

A l’issue de la réunion, le Médiateur des entreprises Pierre Pelouzet, la Febea et Cosmetic Valley ont signé la « Charte relations fournisseurs / achats responsables ». Cette charte s’inscrit dans le processus de médiation initié à l’occasion de la réunion du premier comité de filière en mars 2021, et qui avait été mis en place dans le prolongement de l’adoption, en janvier 2021, de la « Déclaration de solidarité des entreprises cosmétiques avec le secteur verrier » – initiative portée par Cosmetic Valley et la Febea, et document signé par les plus grands donneurs d’ordre du secteur. Elle permettra de renforcer la confiance des relations et à maintenir des relations équilibrées et durables entre fournisseurs, notamment d’emballages, et donneurs d’ordre. Elle comporte 10 engagements :
o Assurer une relation financière responsable vis-à-vis des fournisseurs
o Entretenir une relation respectueuse avec l’ensemble des fournisseurs, favorable au développement de relations collaboratives
o Identifier et gérer les situations de dépendances réciproques avec les fournisseurs
o Impliquer les organisations signataires dans leur filière
o Apprécier l’ensemble des coûts et impacts du cycle de vie
o Intégrer les problématiques de responsabilité environnementale et sociétale
o Veiller à la responsabilité territoriale de son organisation
o Le professionnalisme et l’éthique de la fonction achats
o Une fonction Achat chargée de piloter globalement la relation fournisseurs
o Une fonction de médiateur « relations fournisseurs », chargé de fluidifier les rapports internes et externes à l’entreprise
Pour Marc-Antoine Jamet, président de Cosmetic Valley : « Le Ministre en charge de I ’Industrie a pu constater que notre industrie, unie, était à la fois une force de propositions et un atout gagnant pour que la France devienne, selon ses vœux, une nation verte et souveraine. Nous lui avons confirmé que nos activités n ‘étaient ni futiles ni périphériques, mais, au même titre que l’aéronautique, essentielles à la croissance et aux emplois de notre pays. Industrie fondée sur la richesse de notre patrimoine et nos terroirs, elle est aussi une industrie d’avenir, pour peu que la norme française et européenne continue de permettre son excellence et son exemplarité. Il est indispensable que nous consolidions, avec l’appui de la puissance publique, le rayonnement de son « soft power ». Cette troisième réunion du Comité de filière a permis de mettre sur la table des mesures concrètes qui contribueront à relever ces défis ».
Pour Emmanuel Guichard, délégué général de la Febea : « Roland Lescure a pu échanger avec une filière unie, mobilisée sur les enjeux de transition écologique, d’industrialisation et de défense du Mode in France. Le Ministre a apporté des réponses encourageantes sur de nombreux sujets importants pour notre compétitivité. Cette troisième réunion montre que l’importance stratégique du secteur cosmétique est désormais reconnue et installée à plus haut niveau. »

U’Cosmetics: 13 formations représentées au concours étudiants en innovation et formulation cosmétique

La 14ème édition d’U’Cosmetics, organisée par l’Uco Bretagne Nord, aura lieu le 16 mars 2023 sur le thème de la « Cosmétique & Sport : innovons autour de la beauté du sport ! ».
Notre Université bénéficie d’un véritable pôle d’expertise en cosmétique en proposant un cursus de formation tourné vers le monde professionnel. C’est dans cette optique que l’Uco Bretagne Nord, véritable pionnière, a créé il y a maintenant 14 ans le premier concours étudiants et colloque professionnel tourné vers l’innovation cosmétique.
Il permet de réunir les acteurs majeurs de l’industrie, de l’université et du monde institutionnel au niveau international pour progresser autour d’un thème évolutif chaque année. L’objectif est de développer une dynamique d’innovation collective au sein de la filière cosmétique.
Pour accompagner les consommateurs dans leur quête de bonne santé, de bien-être et de beauté, les marques de cosmétique se doivent en effet de proposer des produits répondant aux problématiques des sportifs tout en s’adaptant aux contraintes d’utilisation : un vrai terrain de jeu pour l’innovation.

Concours étudiants : un tremplin pour les futurs professionnels de demain

U’Cosmetics est le premier concours étudiants d’innovation en formulation cosmétique. Il est ouvert à toute équipe de 1 à 5 étudiants inscrits dans une formation (Licence, Licence pro, Master, École d’ingénieur, École de commerce/marketing…) concernée par la formulation, le marketing et la cosmétologie.
L’édition 2023 est centrée sur la thématique « cosmétique & sport ». Des équipes issues de toute la France et même européennes sont appelées à concourir dans deux catégories récompensées par 4 prix :
• 1er Prix Innovation Formulation
• 2eme Prix Innovation Formulation
• Prix Concept Innovant
• Prix spécial Philippe Collas (décerné par les internautes)


Les inscriptions à la 14ème édition de notre concours étudiants se sont clôturées le lundi 12
décembre 2022 avec :

29 équipes inscrites
113 étudiants participants
13 formations représentées :

  • Licence Professionnelle Chimie Formulation parcours Cosmétiques et Dermopharmaceutique – Université de Montpellier, Faculté de Pharmacie
  • Master Biotechnologies parcours Ingénierie des Produits et Process Cosmétiques – Uco Bretagne Nord
  • Master Chimie Icap Ingénierie des Cosmétiques – Université de Montpellier
  • Master Sciences du Médicament et des Produits de Santé, Aging et Stratégies Anti-âge – Université de Montpellier, Faculté de Pharmacie
  • Master Chimie Bioactifs et Cosmétiques – Université d’Orléans
  • Master MAE parcours Biologie Gestion – Université Rennes 1
  • Cycle Ingénieur – Ebi (Cergy)
  • Cycle Ingénieur Chimiste – Escom (Compiègne)
  • Cycle Ingénieur spécialité Chimie des Formulations – Itech de Lyon
  • Cycle Ingénieur, Génie Biologique et Santé – Polytech d’Angers
  • Ingénieur Chimiste – ENSCM (Montpellier)
  • Ingénieur Chimiste – ENSCMu (Mulhouse)
  • Ingénieur en Chimie des Formulations – Itech de Lyon

Cette année deux nouvelles formations ont intégré le concours, le Master Chimie Icap (Ingénierie des Cosmétiques) de l’Université de Montpellier et le Master Chimie Bioactifs et Cosmétiques de l’Université d’Orléans.
Les étudiants inscrits au concours pourront assister à un atelier sur la propriété intellectuelle
animé par l’Inpi et une sensibilisation à la création d’entreprise animé par la technopole Anticipa.


Sélection des 10 équipes finalistes

En février 2023, un jury composé de 12 professionnels du secteur sélectionnera les 10 projets les plus pertinents et innovants lors d’un pré-jury.
Les finalistes se retrouveront ensuite lors de la finale, le jeudi 16 mars prochain à l’Uco Bretagne Nord, où ils devront pitcher, devant le public, leur projet en 4 min et le faire tester autour d’une présentation sur stand.
Suite à la délibération du jury, les 4 projets gagnants recevront de la part de U’Cosmetics et de nos partenaires : une dotation financière, une visibilité sur les réseaux sociaux, l’accès à un réseau d’experts, des lots de produits cosmétiques ainsi que des abonnements à des magazines professionnels spécialisés.

Clariant annonce de nouveaux investissements pour améliorer son usine d’éthoxylation chinoise

Clariant s’apprête à agrandir son usine de produits chimiques de soins de Daya Bay, à Huizhou, en Chine, afin de renforcer son soutien aux clients des secteurs de la pharmacie, des soins personnels, des soins à domicile et des applications industrielles.
L’investissement de 80 millions de francs suisses permettra d’augmenter la capacité des produits existants et d’introduire de nouveaux produits d’ici à la fin de 2024. En obtenant avec succès le certificat BPF pour les médicaments, le site de fabrication Clariant de Daya Bay est devenu le premier fabricant d’API en Chine avec du polyéthylène glycol certifié (Polyglykol 3350). Le site deviendra également un nouveau centre mondial pour le soutien commercial de Clariant dans le domaine des soins de santé, accélérant la fourniture d’ingrédients de haute qualité pour des médicaments qui changent la vie.


« Le succès de la production et de l’enregistrement de la qualité pharmaceutique des PEG illustre parfaitement la capacité de Clariant à se développer dans le cadre de son segment d’activité dédié à la stratégie et à soutenir ses clients« , a déclaré Zhigang Miao, responsable des applications industrielles de Clariant Care Chemical.


Clariant va également augmenter la capacité de production existante pour ses dérivés d’oxyde d’éthylène (EOD) et un portefeuille plus large de produits chimiques à Daya Bay. En conséquence, elle va intensifier sa production d’ingrédients plus durables qui peuvent aider les clients à atteindre leurs objectifs environnementaux et à créer des solutions différenciées et plus durables pour répondre aux demandes du secteur. Le tensioactif doux Hostapon à base de plantes, labellisé EcoTain, aide par exemple les marques et les formulateurs de produits de soins personnels à développer des produits de beauté plus doux et plus propres dans des applications telles que les barres de beauté solides, les gels douche et les shampooings de type crème.


« Les nombreux segments de marché que nous servons à partir de Daya Bay évoluent pour refléter les changements des objectifs de durabilité et des besoins de performance des produits finis, et nous voulons apporter notre propre innovation et notre expertise doser à ces clients pour les aider à faire avancer leurs développements« , commente Christian Vang, responsable de Clariant Care Chemicals. « Daya Bay a accueilli la première usine d’éthoxylation de Clariant en Asie et, grâce à ces investissements, nous allons faire évoluer ce site vers une usine polyvalente intégrée / un site de dérivés d’oxyde d’éthylène, à proximité des principaux sites de production. Cela souligne notre engagement à apporter plus de chimie dans la région pour soutenir la réussite de nos clients.« 

L’investissement de l’activité Care Chemicals pour améliorer l’usine d’éthoxylation chinoise fait suite à plusieurs investissements récents de Clariant à Daya Bay. En octobre 2022, Clariant a annoncé l’ajout d’une deuxième ligne de production dans sa future usine d’additifs pour retardateurs de flamme sans halogène, actuellement en cours de construction sur le site. La première ligne de la nouvelle usine devrait ouvrir à la mi-2023, la deuxième ligne entrant en service au cours de l’année 2024.

Anne Flipo, Maître Parfumeur chez IFF, a reçu le prix d’honneur François Coty 2022

Anne Flipo a été nommée Maître parfumeur en 2019, rejoignant ainsi les plus grands noms de la parfumerie.

Elle a reçu le lundi 28 novembre le Prix d’Honneur François Coty qui récompense un parfumeur pour sa carrière. Depuis 2000, l’Association François Coty a récompensé les plus grands noms de la parfumerie française. 

Anne Flipo a été formée par les grands noms de la parfumerie avant de développer un style et une approche très personnelle. Depuis qu’elle a rejoint IFF en 2004, la liste de ses succès internationaux n’a cessé de s’allonger. Ses créations ont plusieurs fois été lauréates des prix de la Fragrance Foundation en Europe et aux Etats-Unis.  En 2014, Anne Flipo a reçu le prix de parfumeuse de l’année remis par Cosmétique Magazine et le prix de ‘l’Achiever Award » par Cosmetic Executive Women France (CEW) en 2016.

Aujourd’hui, avec ce prix d’Honneur François Coty, c’est une nouvelle distinction prestigieuse qui vient récompenser la carrière d’Anne Flipo. « J’ai instantanément ressenti une immense fierté, car ce prix est la reconnaissance de mes pairs. C’est une consécration.« 

Christophe de Villeplée, Président de la division Scent d’IFF, dit d’elle : “Anne a un talent remarquable : celui de la création, bien sûr, mais aussi celui de la transmission, et sa capacité à fédérer autour d’elle les talents des parfumeurs auprès de qui elle joue un véritable rôle de mentor. C’est cela, un grand maître parfumeur. Ce prix d’honneur François Coty récompense aujourd’hui cette capacité à créer des signatures olfactives qui donnent du plaisir, innovantes, et singulières « .
Le moteur d’Anne Flipo, c’est le plaisir : “Le plaisir, est au cœur de tout ce que je fais : le plaisir de créer, de découvrir de nouvelles matières premières, de redécouvrir des facettes de ces matières premières qu’on pensait connaître depuis toujours et qui nous révèlent sans arrêt leurs mystères. Le plaisir qu’on offre à tous ceux qui portent nos parfums« .
En tant que Maître parfumeur, Anne Flipo a une mission fondamentale : la transmission. « L’avenir de la parfumerie, ce sont les jeunes parfumeurs, qui viennent aujourd’hui du monde entier, d’Asie, d’Afrique, et plus seulement de France ou d’Amérique. Depuis 10 ans, j’ai la chance de former ces futurs talents. Ils m’épatent, m’impressionnent, me nourrissent et me font réfléchir chaque jour / »Avec de tels mentors, l’avenir de la parfumerie a de belles années devant elle !


La fiche signalétique d’Anne Flipo :
Source de création : La liberté, le décloisonnement, la mise en espaces, la création de passages entre les multiples idées ou impressions.
Clé : « L’Introspection permanente, cette mise à nu crue qui donne accès à la maîtrise de l’écriture, qui permet de provoquer un face à face avec la formule en éliminant les
paramètres extérieurs. Seule cette maîtrise de l’écriture donne le plaisir et une forme d’atemporalité. »
Mission : « Ma plus grande ambition, la transmission. »
Passion : « Le Parfum, je reste à la poursuite de mon chef d’œuvre »

Franc succès pour les Aromadays

Aurélie PERRICHET– IFRA, Jean-François GOURSOT - PRODAROM, Cristina ARREGUI- IFRA, Sylvain BINTEIN - COMISSION EUROPEENNE, Véronique SCAILTEUR - CHANEL, Jean-Marc GIROUX - COSMED, Philippe MASSE – PRODAROM)

Les discussions entre autorités et metteurs sur le marché prennent une nouvelle dimension

C’est un échange constructif entre autorités, experts et metteurs sur le marché, alimenté par les dernières avancées scientifiques, qui a marqué cette 4ème édition du congrès Aromadays.

Durant 2 jours, 150 congressistes, acteurs de la filière des huiles essentielles, ont assisté à la présentation des résultats des dernières études scientifiques venues « bousculer » le projet de la Commission européenne d’introduire, dans la révision du règlement CLP, le principe de Mocs (More than One Constituent Substances) pour la classification et l’étiquetage des substances de plus d’un constituant, considérant que les substances complexes ont le même « comportement » que les mélanges.

La question centrale des échanges étant de savoir si le principal constituant a le même profil toxicologique que l’ensemble de l’huile ?

Dans ce contexte, le nouveau test h-Placentox, inventé par l’équipe du CNRS du Professeur et chercheur Patrice Rat, pour évaluer les effets perturbateurs endocriniens des substances, est robuste, novateur et prédictif.

Il réhabilite tout d’abord l’huile essentielle de lavande, sujette à une forte controverse médiatique ces dernières années en lui attribuant des effets modulateurs hormonaux mais sans observer d’effets délétères sur le placenta à la différence de tous les perturbateurs endocriniens avérés (bisphénol A, phtalates…) testés en parallèle et qui induisent des altérations placentaires. De plus les travaux démontrent que « certains constituants quantifiés à plus de 80% dans certaines huiles essentielles n’ont pas le même profil toxicologique quand ils sont évalués seuls ou s’ils sont étudiés dans l’huile essentielle globale à la même concentration ».

Ce test, a été classé 1er sur 256 tests internationaux par la plateforme européenne Pepper pour l’évaluation des perturbateurs endocriniens et est en cours de validation internationale OCDE.

Les 3 années de recherche du Dr Sophie Fouyet, Yslab et de Mathilde Hagege, Léa Nature, avec l’équipe du Pr RAT démontrant l’effet TOTUM des Huiles Essentielles, confirment les résultats de modulation hormonale mais sans effets délétères placentaires pour l’ensemble des huiles essentielles testées (Tea Tree, Lavande, Ylang Ylang, Gaulthérie, Niaouli, Orange).

Ces travaux démontrent également que du point de vue toxicologique, un constituant, même majoritaire, n’est pas représentatif de l’huile essentielle dans sa globalité. Par exemple, l’huile

essentielle d’orange contenant 95% de limonène n’a pas les mêmes effets de modulation hormonale que le limonène seul testé aux mêmes concentrations.

La Commission européenne, représentée lors du congrès par le Dr Sylvain Bintein de la DG Environnement, a laissé entrevoir une opportunité : des dérogations, applicables aux substances complexes, pourraient être soumises par l’industrie à la Commission européenne, avec un dossier technique scientifique et robuste, démontrant l’innocuité de l’huile essentielle dans sa globalité. Ce dossier serait transmis au comité d’évaluation des risques de l’Echa. Sur la base d’une opinion positive, une provision spécifique introduite à l’annexe 1 du règlement CLP par le biais d’un acte délégué, permettrait d’obtenir cette dérogation.

Compte tenu des investissements que la production des évidences scientifiques pertinentes pourrait représenter pour les PME, Cosmed, a demandé dans le cadre de cet échange, à ce que les critères d’analyse des dossiers de dérogation soient communiqués au préalable.

Lumson collabore avec Avène

Pour Avène, leader de la beauté, Lumson a développé deux packagings : Re Place pour la nouvelle Crème Cellulaire Renouvelable et une version totalement personnalisée d’Envers Glas pour la Crème de Nuit Multi-Intensive.

Lumson pour Hyaluron active B3

Un autre nom d’excellence vient s’ajouter à la liste des collaborations de Lumson avec des marques de premier plan. Cette fois, c’est Eau Thermale Avène, une marque du Groupe Pierre Fabre, qui pour sa nouvelle ligne Hyaluron Activ B3, a fait confiance à l’expertise et au savoir-faire technologique de Lumson, une entreprise italienne leader dans le secteur de l’emballage cosmétique primaire.

L’Hyaluron Activ B3 se caractérise par son approche révolutionnaire de la lutte contre les signes du vieillissement et par son empreinte écologique. Cette dernière fait suite à la politique de durabilité adoptée par le groupe Pierre Fabre depuis un certain temps déjà et dont la meilleure illustration est la création de la Green Mission en 2019, une unité d’entreprise intégrée qui réunit et coordonne toutes les initiatives RSE et le développement durable du groupe. Une partie importante des objectifs du groupe est consacrée aux nouveaux produits qui, depuis 2020, sont conçus de manière éco-durable tout comme Hyaluron Activ B3, qui ouvre un nouveau chapitre dans la longue histoire d’Avéne.

Re Place pour la crème de renouvellement cellullaire

Pour la crème de renouvellement cellulaire, veloutée, réconfortante et enveloppante, c’est Re Place qui a été choisi, le pot de recharge de 50 ml avec une coupelle intérieure rechargeable. Une solution innovante et écologique qui s’inscrit parfaitement dans la politique de durabilité du Groupe Pierre Fabre. Un an seulement après son lancement sur le marché, grâce à sa polyvalence et à son aspect frais et innovant, Re Place de Lumson s’est fait une place d’honneur dans le monde du soin.

Doté d’une éco-recharge facilement amovible et remplaçable, il représente la solution idéale pour Avène qui allie l’élégance à une approche écologique : la solution de la recharge a en effet un impact environnemental extrêmement positif car, grâce à la réutilisation – l’un des piliers de l’économie circulaire -, elle évite la fabrication et le transport de nouvelles matières et, dans le même temps, promeut des habitudes plus éthiques et vertueuses auprès des consommateurs.

Envers Glas pour la crème de nuit multi -Intensive

Un Envers Glas totalement personnalisé a été choisi pour la crème de nuit multi-intensive qui stimule le renouvellement cellulaire et active la synthèse du collagène. Formulée avec de l’extrait d’Haritaki, qui empêche la dégradation de l’acide hyaluronique et augmente sa durée de vie, et du Retinaldeide, 10x plus actif que le Retinol, cette crème riche et enveloppante contient 97% d’ingrédients d’origine naturelle et promet une peau plus tonique après seulement 15 jours d’utilisation.  

Envers Glas est un système airless à poche qui combine les qualités de l’Envers « classique » – in primis, sécurité et préservation de l’intégrité d’une formule – avec l’aspect prestigieux du verre, un matériau noble et sophistiqué. Envers Glas, avec son nouveau mode de distribution cosmétique, offre une facilité d’utilisation, une sécurité maximale et une haute restitution du produit, parfait pour répondre aux besoins des consommatrices qui sont connues pour préférer les produits en pots pour leurs routines de beauté.  

Avec Envers Glas, l’innovation va bien au-delà : grâce à une technologie avancée, un design unique et une fonctionnalité élevée, le pot airless de Lumson représente la génération d’emballages cosmétiques qui ouvre la voie à un mode de consommation plus conscient et plus respectueux de l’homme et de l’environnement.  

Notre dernier numéro

Écoutez-nous !

Newsletter

fr_FRFrançais