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Une nouvelle solution logistique destinée aux professionnels de la cosmétique

Dachser, prestataire international de solutions transports et logistiques, sera présent du 5 au 7 avril au salon « in-cosmetics Global », à Paris, pour présenter sa nouvelle solution industrielle, Dachser Cosmetics Logistics, adaptée aux besoins des clients du secteur des cosmétiques.

Premier pays exportateur de produits cosmétiques, la France est au cœur de ce marché mondial avec 16 milliards de produits exportés par an. Selon Dachser, le pays offre le périmètre idéal pour le lancement de sa nouvelle solution pour l’industrie cosmétique. Le déploiement de Dachser Cosmetics Logistics se poursuivra en Allemagne au second semestre 2022, puis sur les marchés stratégiques par la suite.

Quelque 50 % des exportations françaises de cosmétiques sont réalisées vers l’Allemagne, le Royaume-Uni, l’Espagne et l’Italie. Entre 2019 et 2021, le chiffre d’affaires du secteur cosmétique dans les activités de Dachser France et Maghreb a augmenté de 25 %.

Une réponse adaptée et personnalisée aux défis du secteur

Pour accompagner cette croissance, Dachser a mis en place une solution de transport et de logistique adaptée et personnalisée. « Grâce à son expertise en matière de logistique, combinée à un solide réseau mondial, Dachser Cosmetics Logistics est le partenaire idéal pour la distribution de produits cosmétiques sur tous les marchés européens et les principaux marchés mondiaux, en fonction des besoins de chaque entreprise », déclare Bruno Guillard, Corporate Business Development Manager Dachser Cosmetics Logistics.

S’appuyant sur une démarche durable solidement ancrée et une politique de sûreté et de sécurité de premier ordre, évaluée par Ecovadis et certifiée Full OEA, Dachser Cosmetics Logistics propose également des services d’entreposage complets et des services à valeur ajoutée sur mesure tels que le défilmage de palettes, la gestion des retours et des invendus, l’installation et la recharge de présentoirs, la création et la récupération de coffrets, etc.

Dachser Cosmetics Logistics permet de répondre aux attentes des fabricants de parfums et produits de toilette, grossistes et commerces détaillants en parfumerie et produits de beauté, adhérant ou non à une association telles que Cosmetic Valley, Cosmed ou Innov Alliance en France.

La solution Dachser Cosmetics Logistics sera présentée en détail aux professionnels du secteur lors du salon in-cosmetics Global.

Deux lauréats pour l’édition 2022 du concours international « The Cosmetic Victories »

Concours de dimension mondiale et de référence pour l’innovation, The Cosmetic Victories a pour objectif de mettre en lumière, au sein de la filière cosmétique, les travaux de recherche les plus prometteurs qu’ils soient issus de jeunes pousses, de PMEs ou de laboratoires « académiques », français ou étrangers. 

Plusieurs collèges d’experts internationaux ont d’abord examiné quelque 80 projets, enregistrés par Cosmetic Valley, issus de 18 pays.

Puis les six équipes encore en lice pour la finale de la 7e édition ont été entendues par un jury placé sous la présidence de Marc-Antoine Jamet, président du pôle de compétitivité, qui a dévoilé le 22 mars les noms des lauréats du palmarès 2022 lors d’une cérémonie diffusée sur Cosmetic Valley TV.

Dr Sami Halila, chercheur au sein du centre de recherches sur les macromolécules végétales (CNRS Grenoble, France) est lauréat du Prix Académique pour son projet Carbogel, « a Simple and Eco-Friendly Carbohydrate-Based Gelling Agent for Oily Phase. »

Le projet porte sur la gélification supramoléculaire de liquides organiques, comme des huiles, solvants ou esters gras, par des dérivés de monosaccharides qui s’auto-assemblent en un réseau 3D. Les gélateurs « sucrés » sont synthétisés selon une méthode éco-compatible et efficace (réaction dans l’eau). La gélification est effectuée par sonication, ou par chauffage/refroidissement, ou par dilution. Le gel peut servir de matrice stimuli-sensible pour la délivrance contrôlée d’agents cosmétiques. Carbogel contribue à la cosmétique « verte » et durable en limitant notre impact environnemental et social.

Le Prix Industriel a été attribué à Stefan Mazy, président-fondateur de la société Derma Health Solutions Pty Ltd (Australie) pour son projet SkinRNA Micro-cell Test. Première mondiale, ce test de diagnostic épigénétique est susceptible d’être répété en patch et en laboratoire qui quantifie l’efficacité des soins de la peau grâce à l’activité de l’expression génétique en temps réel. Le dispositif recueille plus de 15 000 gènes, tandis que ses algorithmes fournissent des scores d’activité d’expression génétique pour les fonctions de la peau, notamment la production de collagène et d’élastine ainsi que l’inflammation cutanée. Après l’intervention du produit, un deuxième test est effectué pour mesurer la nouvelle activité des gènes par rapport aux repères initiaux. Les consommateurs peuvent ensuite répéter les tests à intervalles réguliers pour suivre l’amélioration de la peau au niveau génétique sans attendre de signes visibles.

Photo : à gauche, Dr Sami Halila ; à droite : Stefan Mazy.

Expanscience lance un nouvel actif et annonce la certification FairWild de sa filière Schisandra en Chine

Expanscience, entreprise française et familiale indépendante, société à mission et certifiée B Corp, lance Calybiota Bio, un nouvel actif certifié Cosmos. Par ailleurs, engagé pour des filières responsables, Expanscience a accompagné financièrement et techniquement la coopérative chinoise qui cueille les baies de Schisandra dans le Sichuan (actif Sweetone Bio) pour la certification FairWild. C’est la première fois qu’une coopérative obtient cette certification en Chine. Expanscience avait par ailleurs obtenu le label Fair for Life pour ses actifs Macaline et Skinhairgium Bio, issus de la filière maca au Pérou, (2019) et pour son beurre d’illipé bio sourcé en Indonésie (2021).

Calybiota Bio, un actif 100% naturel qui rééquilibre le microbiote de la peau

Extrait riche en polysaccharides de calices de Kapokier rouge, un arbre sourcé en Afrique, Calybiota Bio est certifié Cosmos par Ecocert.

Particulièrement recommandé dans les produits cosmétiques de soin et d’hygiène intime, une étude clinique* a démontré son rôle protecteur de la flore vaginale. Cette étude a révélé un effet prébiotique au niveau de cette flore, une réduction de l’inflammation et des sensations d’inconfort, une hydratation de la zone intime et une amélioration du confort sexuel.

Calybiota Bio est également recommandé pour les peaux à tendance acnéique, atopique/eczémateuse ou hypersensibles, ainsi que pour les formules déodorantes. Cet actif permet de protéger et de maintenir l’équilibre du microbiote cutané.

FairWild, une certification qui garantit la durabilité de la ressource sauvage et le respect des communautés locales

Dans la continuité de sa démarche RSE « impACT », Expanscience a par ailleurs soutenu la certification FairWild de sa filière de cueillette de baies sauvages de Schisandra à partir desquelles est extrait l’actif anti-imperfection Sweetone Bio.

L’un des principaux enjeux de cette certification est la garantie de durabilité de la gestion des ressources non cultivées. Schisandra sphenanthera est une plante grimpante sauvage, originaire du centre et de l’ouest de la Chine, également présente en Corée et au Japon. Elle est référencée dans la médecine traditionnelle chinoise.

Ressources courantes des ingrédients cosmétiques, les plantes non-cultivées doivent être soumises à une gestion très prudente pour garantir le respect de pratiques rigoureuses, raisonnées et respectueuses de la ressource et de son habitat. Cette gestion permet de s’assurer que les quantités prélevées sont en adéquation avec les quantités disponibles et que les pratiques de cueillette garantissent le renouvellement et la préservation de la ressource et de son environnement.

Premier laboratoire pharmaceutique et dermo-cosmétique et premier fournisseur d’ingrédients cosmétiques à avoir été certifié B Corp en 2018, Expanscience est membre de l’Union pour le BioCommerce Ethique (UEBT) depuis 2011. Aujourd’hui « société à mission », l’entreprise s’engage à œuvrer pour le bien commun au travers de sa raison d’être « aider les individus à façonner leur bien-être » et s’est fixé une série d’objectifs sociaux et environnementaux tels que la contribution « à l’atteinte des objectifs climatiques planétaires » et « la protection et la régénération de la biodiversité ». L’accompagnement des partenaires pour la certification de ses filières d’approvisionnement s’inscrit dans cette démarche.

Expanscience en bref :

  • 4 activités : Dermo-Cosmétique, Rhumatologie, Dermatologie, Actifs Cosmétiques
  • CA 2021 : 287,2 M€ dont 74 % réalisés à l’international
  • 1098 collaborateurs et 14 filiales
  • 3,2% du CA investis en recherche et développement

À propos de la certification FairWild

La demande croissante en plantes sauvages – pour l’alimentation, les cosmétiques, le bien-être et les médicaments – peut être néfaste pour les espèces végétales potentiellement vulnérables. La norme FairWild et son système de certification fournissent un cadre mondial pour la collecte durable et le commerce équitable des ingrédients issus des plantes sauvages. Les entreprises participant à FairWild peuvent apporter une contribution positive à la conservation et à la gestion des espèces et des paysages sauvages, ainsi qu’aux moyens de subsistance des communautés rurales qui en dépendent.
En savoir plus : www.fairwild.org


* Etude clinique réalisée avec Calybiota Bio formulé à 1,25% dans un gel nettoyant et une crème et utilisés en combinaison tous les jours pendant 28 jours sur 4 groupes de femmes (post-vaginose, post-mycose, irritation et post-ménopause ; n=48).

Les effets du soleil sur la peau sous-estimés

La protection solaire est aujourd’hui un vrai enjeu de santé publique : chaque année dans le monde, de nombreux cancers de la peau sont détectés du fait d’expositions excessives aux rayonnements solaires. Par ailleurs, l’exposition solaire est reconnue comme un facteur de vieillissement prématuré de la peau ainsi que d’autres pathologies dermatologiques. Afin de mieux comprendre les habitudes solaires de la population, La Roche-Posay vient de mener avec Ipsos une étude épidémiologique de grande ampleur auprès de 17 000 personnes, dans 17 pays.

L’étude a été présentée en avant-première à Boston dans la session « late breaking news » du Congrès Annuel de Dermatologie de l’AAD (American Academy of Dermatology) 2022.

De mauvaises habitudes et idées reçues qui ont la peau dure

Quelque 88 % des répondants n’utilisent pas systématiquement de mesures de protection lors de leur exposition au soleil, et 15 % n’utilisent jamais de crème solaire. Près de la moitié des répondants ne pensent pas que les crèmes solaires protègent efficacement du cancer de la peau (50 %) et même des coups de soleil (40 %).

Cette protection insuffisante serait en grande partie liée à des idées reçues ou une méconnaissance des rayonnements du soleil, selon lesquelles :

  • Il ne serait pas utile de se protéger par temps nuageux ou pendant l’hiver. Ainsi, 77 % des répondants à l’échelle mondiale ont déclaré ne pas se protéger du soleil tout au long de l’année, mais seulement lors des journées chaudes et/ou leurs vacances ;
  • Les personnes déjà bronzées auraient moins voire plus du tout besoin de se protéger (selon 44 % des répondants) ;
  • Il ne serait pas indispensable de renouveler l’application d’une protection solaire. Seuls 26 % des répondants l’appliqueraient régulièrement, c’est-à-dire a minima toutes les deux heures.

De plus, seuls 12 % des répondants au total, et 19 % des personnes de phototype 1 (peau très blanche et très sensible, cheveux et yeux clairs), utilisent toutes les protections nécessaires lors de leur exposition au soleil. Outre la crème solaire, cela concerne : le fait d’essayer de rester à l’ombre (77 % des répondants), d’éviter de s’exposer entre midi et 16h (66 %), de porter des lunettes de soleil avec filtres UV (56 %), de se couvrir la tête (55 %) ou encore de porter des vêtements protecteurs (44 %).

Selon le Pr Thierry Passeron, dermatologue à Nice, France : « Cette grande étude épidémiologique menée à l’échelle internationale était indispensable pour mieux comprendre les habitudes de photoprotection des populations. Elle démontre un vrai besoin d’éducation, tant au sein de la population générale que des populations dites « à risque », qui même si elles se protègent mieux, ont des connaissances limitées sur les risques du rayonnement solaire. Cette étude menée par La Roche-Posay démontre notamment que 61 % des répondants méconnaissent les différences entre les UVA et UVB ! »

Une protection solaire insuffisante renforcée par des standards de beauté et une certaine addiction au soleil

Le retour des beaux jours signe aussi le retour des mauvaises habitudes en matière de protection solaire. Celles-ci ont pu être favorisées par les nombreuses communications sur les risques de carence en vitamine D. En effet, 87 % des répondants affirment que l’exposition au soleil leur permet de synthétiser de la vitamine D et 82 % d’entre eux que l’exposition solaire leur donne de l’énergie.

En cause également, les standards de beauté : 72 % de la population mondiale revendique le fait qu’une peau bronzée est attrayante, 64 % qu’elle donne l’impression d’être en bonne santé, et 49 % qu’il est inenvisageable de rentrer de vacances sans être bronzé.

Une population mondiale qui sous-estime souvent l’importance de la prévention

Si 88 % des répondants se disent conscients du fait que le soleil peut provoquer des problèmes cutanés et 81 % qu’il accélère le vieillissement de la peau, ils sont pourtant loin d’agir en conséquence.

Alors que l’auto-surveillance de la peau permet la détection précoce d’éventuelles lésions cutanées suspectes, le grand public dispose souvent de connaissances limitées en la matière et ne sait souvent pas dans quel cas consulter un dermatologue. De plus, 76 % des répondants ont déclaré ne pas régulièrement – voire jamais – consulter de dermatologue pour surveiller leurs grains de beauté.

Enfin, 57 % des personnes interrogées disent regretter de ne pas s’être davantage protégées du soleil par le passé, mais de profondes disparités sont à noter :

  • Entre les hommes et les femmes (respectivement 49 % et 65 %) ;
  • Entre les nouvelles et les anciennes générations (62 % des 18-24 ans, 65 % des 25-34 ans contre 47 % pour les plus de 60 ans) ;
  • Entre les profils à risque (présentant un mélanome, des lésions pré-cancéreuses, une allergie au soleil ou un système immunitaire affaibli) et le reste de la population (79 % versus 54 %).

Un enjeu de santé publique croissant

Alors que de nombreux scientifiques alertent sur l’augmentation des cancers d’ici à 2050, persistent de mauvaises habitudes. La Roche Posay estime qu’il faut sensibiliser la population mondiale aux outils de prévention, aux méthodes de protection, et à l’importance de la détection précoce.

« En tant que marque n°1 de dermocosmétiques recommandée par les dermatologues dans le monde, il est de notre devoir de sensibiliser le grand public à la prévention des cancers de la peau et plus largement aux effets néfastes du soleil. Depuis plus de 10 ans, nous menons des études avec des scientifiques du monde entier, contribuons à la formation des professionnels, et proposons des dépistages gratuits dans plus de 30 pays du monde. Cette étude mondiale prouve que notre travail de sensibilisation est loin d’être fini, et nous allons poursuivre nos efforts pour faire reconnaître la protection solaire comme un enjeu majeur de santé publique », a commenté Laetitia Toupet, présidente de La Roche-Posay international.

[podcast] Luc Gabriel relance Cherigan

Luc Gabriel, déjà connu pour The Different Company, a racheté la marque Cherigan créée en 1929. Il nourrit de grandes ambitions pour ces parfums artistiques et mélange créations d’origine et nouvelles propositions. Avec cette marque, Luc Gabriel entend faire partager ses découvertes. Interview à écouter en intégralité ici et à retrouver en partie dans le numéro 33 de la revue Industries Cosmétiques.

Pourquoi la vidéo d’un hydravion vintage ? La réponse à écouter par Luc Gabriel…

Un nouvel outil pour aider les consommateurs à personnaliser leurs choix de parfums

À l’occasion de la Journée mondiale du parfum, le 21 mars, le groupe L’Oréal, et Emotiv, spécialiste des neurotechnologies, ont annoncé un partenariat stratégique en matière de beauté, afin d’aider les consommateurs à faire des choix précis et personnalisés quant à leurs désirs de parfum. Ce partenariat associe un outil de neurotechnologie Emotiv à des senteurs et algorithmes propriétés de L’Oréal.

« Nous développons constamment des expériences personnalisées et innovantes pour nos consommateurs, explique Guive Balooch, directeur du Tech Incubateur de L’Oréal. Le croisement de la neurotechnologie, de l’intelligence artificielle et de la science offre des perspectives passionnantes. Le choix d’un parfum est une science très complexe. Ce partenariat promet de l’innovation pour l’ensemble de l’industrie de la beauté, car c’est véritablement la première fois que les consommateurs auront accès en point de vente à une expérience de pointe utilisant les neurosciences pour leur apporter un conseil de parfumerie précis et personnalisé. »

Créée par le Tech Incubateur de L’Oréal, la marque de luxe Yves Saint Laurent et une équipe d’experts en matière de fragrance, en collaboration avec Emotiv, cette expérience de conseil en parfumerie relie les réponses neurologiques aux préférences de parfum grâce à un casque multi-capteur basé sur la technologie de l’EEG. Ce casque utilise des algorithmes d’apprentissage automatique qui interprètent l’EEG, pendant que les consommateurs explorent des familles de senteurs exclusives, afin de permettre de détecter et d’analyser finement le comportement, les préférences, le stress et l’attention, en contexte réel. Cette expérience inédite aide les consommateurs à déterminer les senteurs qui répondent le mieux à leurs émotions.

« Avec L’Oréal, nous espérons que ce partenariat offrira un éclairage unique sur le ressenti des consommateurs vis-à-vis des parfums et sur les émotions que les senteurs déclenchent chez eux de façon objective, déclare Tan Le, directrice générale d’Emotiv. Nous simplifions le processus de décision en reliant émotion et senteur grâce à la technologie, comme nul ne l’a jamais fait auparavant. Fondée sur la science et la puissance des données, cette révolution technologique aidera les consommateurs à décrypter quelles senteurs sont les plus adaptées à leurs besoins. »

Plus des trois quarts (77 %) des consommateurs veulent un parfum qui leur procure des émotions. À l’aune d’un test à l’aveugle, L’Oréal a également découvert que les personnes associent différentes émotions et sensations, dont la joie et la relaxation, à leur préférence olfactive. Plus de la moitié des consommateurs âgés de 12 à 34 ans déclarent choisir un parfum en fonction de leur humeur.

« Les senteurs se comptent par centaines de milliers, et nous savons qu’il peut s’avérer difficile, pour les consommateurs, d’explorer ce vaste nombre d’options et de choisir la bonne fragrance pour eux, précise Stephan Bezy, directeur général international d’Yves Saint Laurent Beauté. Grâce à ce système immersif, nous avons été capables de proposer à 95 % des utilisateurs la bonne fragrance, personnalisée en fonction de leurs attentes et désirs, un résultat bien plus élevé qu’en l’absence de cette technologie. Il s’agit d’un immense premier pas dans cette catégorie. Une fois que nous savons quelles senteurs procurent de la joie, de l’énergie, ou d’autres émotions, nous pouvons aller encore plus loin dans la personnalisation des parfums – le potentiel est infini. »

L’expérience sera disponible dans le monde entier dans les flagships Yves Saint Laurent, dans plusieurs pays d’ici à la fin de l’année et tout au long de 2023.

La Prairie Group annonce la nomination de Philippe Lamy en tant que nouveau PDG, succédant ainsi à Patrick Rasquinet

La Prairie Group AG, leader des soins de luxe appartenant au groupe Beiersdorf, a nommé Philippe Lamy au poste de PDG, succédant à Patrick Rasquinet qui dirigeait la maison de luxe depuis 2010.
Philippe Lamy rejoindra La Prairie le 2 avril 2022 et dirigera le comité de direction de La Prairie, basé au siège de la société à Zurich, en Suisse. Patrick Rasquinet se concentrera désormais sur son rôle plus large au sein du conseil d’administration de Beiersdorf où il est responsable de l’ensemble de la division Pharmacie & Sélective (Eucerin, Hansaplast, La Prairie, Chantecaille).
Philippe Lamy rejoint La Prairie après 8 ans chez Loro Piana, l’entreprise familiale italienne de tissus et de vêtements de luxe de près de 150 ans qui a rejoint le groupe LVMH en 2014. Il était auparavant directeur général de Shang Xia, une marque de luxe chinoise, créée et détenue par Hermès, et avant cela, a passé plus de 13 ans chez L’Oréal où il a occupé plusieurs postes dans les divisions luxe et Travel Retail en Asie-Pacifique et aux Amériques. Philippe Lamy est un expert du commerce de détail de luxe, avec une expérience dans des start-ups innovantes ainsi que dans de grandes maisons établies, et un parcours international et multiculturel sur tous les principaux marchés. Dans ses nouvelles fonctions, Philippe Lamy rapportera directement à Patrick Rasquinet.
Patrick Rasquinet, membre du conseil d’administration de Beiersdorf, a déclaré : « Nous avons trouvé en Philippe un leader fort, un stratège avant-gardiste et un initié de l’industrie de la distribution de luxe. Il a toutes les références pour faire avancer La Prairie au cours des prochaines années et aider l’entreprise à réaliser son potentiel de devenir le genre de maison de luxe légendaire que nous envisageons. Je suis ravi de l’accueillir au sein du groupe Beiersdorf et de laisser La Prairie entre ses mains très compétentes. J’ai hâte de travailler en étroite collaboration avec lui pour concrétiser notre visio« .
Philippe Lamy, nouveau PDG de La Prairie, a ajouté : « C’est un grand honneur pour moi d’assumer ce rôle chez La Prairie et je suis très enthousiasmé par les opportunités à venir. La Maison La Prairie est magnifique et l’entreprise a construit sans relâche son positionnement de marque au cours des dernières années. Je me sens vraiment privilégiée de faire partie du prochain chapitre d’une maison aussi luxueuse et leader que La Prairie. Ça fait du bien d’être de retour dans l’industrie des soins de la peau après plus de 10 ans d’absence. Je suis impatient de commencer à travailler avec Patrick et le comité de direction dès que possible. »

Symrise renforce sa division Fine Fragrance

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Symrise s’est prononcé sur une offre ferme pour acquérir 100 % de R. Romani – Société Française d’Aromatiques (SFA Romani), une maison de parfums haut de gamme. En outre, Symrise s’est également positionné pour acquérir entièrement Neroli Invest DL (groupe Neroli). Les deux sociétés sont basées dans la région de Grasse en France. Avec ces acquisitions, Symrise entend renforcer sa présence en parfumerie fine dans le sud de la France, ainsi que sa compétitivité dans la création de compositions parfumées et étendre sa présence dans les pays clés d’Europe, d’Afrique et du Moyen-Orient. Les ventes annuelles combinées de SFA Romani et du groupe Neroli s’élèvent à plus de 40 millions d’euros. La clôture des transactions est attendue au deuxième trimestre 2022, sous réserve de l’approbation des organes respectifs et des consultations des CSE. Les parties ont convenu de garder le prix d’achat confidentiel. 

«Ces deux acquisitions représentent une nouvelle avancée pour l’activité Fine Fragrance de Symrise et s’inscrivent pleinement dans notre objectif stratégique d’accélérer notre croissance dans ce domaine d’activité » a déclaré Ricardo Omori, Global Senior Vice Président Fine Fragrance de Symrise AG. «Avec ces transactions, nous augmentons notre accès à des ingrédients naturels de haute qualité, élargissons notre clientèle et renforçons notre compétitivité grâce à une plus grande agilité ainsi qu’à une équipe de parfumerie fine considérablement élargie dans le berceau historique de la parfumerie en Europe, le Pays de Grasse.» 
La combinaison de ces deux acteurs reconnus avec la division Fine Fragrance de Symrise offre des opportunités uniques pour les clients ainsi que les employés de SFA Romani et du groupe Neroli. Symrise entend devenir un acteur fort sur le bassin grassois avec une nouvelle plateforme de croissance comprenant des centres de création, des équipes commerciales et marketing et des capacités de production de parfums pour le marché. 
SFA Romani, fondée en 1963 à Grasse, est reconnue internationalement pour son choix des matières premières naturelles les plus nobles, son savoir-faire dans la création de parfums et la qualité de ses compositions. 
En près de 60 ans, l’entreprise a développé un savoir-faire inégalé dans les compositions parfumées haut de gamme. La forte notoriété de l’entreprise repose sur une excellente connaissance des marchés et sur la proximité avec ses clients. SFA Romani exploite un site mixte de développement et de production à Saint- Cézaire, Pays de Grasse. Symrise rachèterait SFA Romani à ses propriétaires actuels, la famille Romani-Caruso, Keensight Capital et Sofipaca. 

“Nous sommes très fiers de tout ce que SFA Romani a réalisé en 60 ans en tant qu’entreprise indépendante. Nous incarnons un savoir-faire et une qualité inégalés dans les composés parfumés haut de gamme de Grasse. Nous sommes convaincus que l’entreprise et notre marque continueront de prospérer au sein de la famille Symrise » ont déclaré Viviane et Charles Romani- Caruso, fondateurs de SFA Romani. « Rejoindre Symrise est une opportunité unique pour SFA Romani de porter notre entreprise vers de nouveaux sommets. Nous nous complétons très bien et les deux entreprises bénéficieront l’une de l’autre pour atteindre un objectif commun, celui de créer les parfums à succès de demain ». 

Le groupe Néroli est composé des sociétés Créations & Parfums et Floressence, toutes deux fondées au milieu des années 1980 à Saint-Cézaire dans le Pays de Grasse. Floressence a été acquise en 2017 et a fusionné avec Créations & Parfums en 2021. Pour construire une position forte dans les ingrédients naturels de parfumerie, le groupe Neroli a établi des partenariats à long terme avec des agriculteurs locaux pour la culture durable des fleurs dans la région de Grasse. En novembre dernier, Symrise avait déjà annoncé une joint-venture avec Groupe Neroli. Maintenant, la société a décidé d’acquérir la totalité des actions. 

« Nous sommes très heureux de l’offre de rejoindre un groupe aussi important que Symrise. Les clients et les employés de Neroli seront entre de très bonnes mains, ce qui est, le plus important pour moi », a déclaré Christian Dussoullier, PDG du groupe Neroli. 

BLH dévoile sa nouvelle identité qui réunit les valeurs fondamentales et les aspirations futures de l’entreprise

BLH, entreprise familiale et distributeur de matières premières aromatiques, présente la nouvelle identité de sa marque portée par un logo réinventé. BLH célèbre plus de 38 ans d’histoire et d’expérience en tant que fournisseur d’ingrédients, souvent emblématiques, dédiés à la parfumerie, aux arômes et à l’aromathérapie. Ce nouveau logo porte les valeurs de la responsabilité sociétale d’entreprise de BLH et son engagement renouvelé dans les processus de durabilité dans un but ultime : toujours mieux répondre aux besoins exigeants de leurs clients et partenaires.

Les nuances de blanc et de vert représentent à la fois les fondements de l’entreprise et ses deux principaux domaines d’expertise. Le blanc incarne les molécules, leur chimie verte et leur potentiel renouvelable, tandis que les nuances de vert symbolisent les matières premières naturelles et l’innovation qu’elles engagent.

« Par notre métier de distributeur et notre équipe engagée, cette nouvelle identité nous permet de signifier l’évolution de l’entreprise et souligner sa mission de toujours répondre aux plus hauts standards d’agilité mais aussi de durabilité, d’éthique et de traçabilité », commente Nicolas Bécot, représentant du président de BLH.

Tout en soulignant la croissance de son portefeuille de produits naturels, BLH reste déterminé à répondre aux niveaux de service les plus élevés pour les ingrédients que l’entreprise distribue.

Toujours dans la transparence, BLH s’engage à représenter au mieux ses partenaires par le partage de son expertise et de ses valeurs.

Photo : Nicolas Bécot, représentant du président de BLH

TechnicoFlor poursuit son engagement pour la planète 

TechnicoFlor, maison française de compositions parfumée rejoint le collectif 1 % For The Planet, au profit de la fondation Pure Ocean, à travers sa gamme NatFlor,

Très investie dans une démarche de développement durable, TechnicoFlor, entreprend de nombreuses actions pour tendre vers une parfumerie plus responsable et préserver la biodiversité : politique d’achat engagée, privilégiant le sourcing de matières premières naturelles écoresponsables (BetterTomorrow) ; création de gammes 100 % naturelles conformes aux exigences Cosmos Organic par Ecocert (Parfums NatFlor) ; compositions à faibles impacts environnementaux ; suppression des pesticides des matières premières de la parfumerie ; outil de mesure de la biodégradabilité des parfums (BioD-Scent) ; ou encore, création d’un jardin aromatique avec plantes endémiques à son nouveau siège social à Allauch.

Aujourd’hui, c’est une nouvelle étape que franchit l’entreprise. À travers sa gamme NatFlor, TechnicoFlor rejoint les quelque 1 000 entreprises en France membres de 1% For the Planet, et s’engage à reverser 1 % du chiffre d’affaires de cette gamme à des causes environnementales. 

Par cet engagement, TechnicoFlor a choisi de soutenir Pure Ocean, dont la mission est de porter des projets innovants contribuant à la protection de la biodiversité marine et des écosystèmes marins fragiles. 

« Nous avons décidé de donner 1 % du chiffre d’affaires réalisé avec nos parfums NatFlor, notre gamme de parfums 100 % d’origine naturelle, parce qu’elle est la meilleure illustration de ce que doit être la parfumerie de demain : naturelle et responsable », précise Maxime Gransart, directeur général adjoint. 

Pure Ocean favorise les échanges entre les experts, les entreprises et le grand public pour alerter sur la situation des écosystèmes marins en danger et mettre en lumière les solutions pour les protéger. Une cause qui tient particulièrement à cœur de François-Patrick Sabater, fondateur et président du groupe TechnicoFlor et grand passionné de la mer : « Ce n’est pas juste une belle fondation : c’est une magnifique équipe qui œuvre sans cesse pour la protection de la planète et cela correspond parfaitement à nos valeurs et à notre volonté de laisser une belle planète aux futures générations. »

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