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Givaudan dévoile House of Naturals pour renforcer son expertise en matière d’ingrédients naturels

Givaudan - House of Naturals

Givaudan, spécialiste mondial de la parfumerie fine, a créé House of Naturals, une entité dédiée au développement d’ingrédients exclusifs. L’ambition affichée : renforcer son expertise en matière d’ingrédients naturels, du champ au parfum, en mettant l’accent sur une qualité constante, un savoir-faire artisanal et des processus durables afin de répondre aux normes les plus strictes.

« House of Naturals reflète l’ambition de Givaudan de dépasser les limites de la maîtrise des ingrédients. Avec notre futur centre d’excellence, le Campus 52, qui sera basé au cœur de Grasse, nous nous ancrons dans ce territoire où convergent l’histoire et l’expertise de la parfumerie. Ce nouvel espace d’innovation créative est une étape importante de notre stratégie, pour répondre et anticiper la recherche de parfums d’exception de nos clients », explique Xavier Renard, Global Head of Fine Fragrances de Givaudan.

« Notre objectif est d’atteindre un niveau inégalé d’unicité et de qualité en ce qui concerne nos parfums, en combinant l’expertise et la créativité de nos équipes. House of Naturals s’inspirera des technologies pionnières utilisées dans divers secteurs, ouvrant ainsi la voie à des opportunités illimitées », souligne Maxence Billas, responsable de House of Naturals..

House of Natural repose sur quatre piliers : l’agronomie (approvisionnement responsable et partage d’expertise), l’innovation (quant aux méthodes d’extraction), les opérations (un pont entre l’innovation, l’ingénierie et la tradition) et les parfumeurs.

Givaudan indique que House of Naturals montre la voie en mettant en œuvre des améliorations structurelles et opérationnelles, du champ au parfum. « House of Naturals jouera sans aucun doute un rôle essentiel dans l’élaboration de l’avenir de la création de parfums, en repoussant les limites de ce qu’il est possible de faire avec des ingrédients naturels », indique l’entreprise.

Cosmogen et Boiron s’associent pour un effet réparateur et relaxant

Boiron - Cosmogen

Le gel roll-on CBD by Boiron est proposé pour contribuer à apaiser et à détendre les tensions du quotidien, ainsi qu’à relaxer les muscles. Squeeze’n Roll de Cosmogen, son roller massant en acier inoxydable, amovible, permet un auto-massage facile sur les zones difficiles à atteindre.

Squeeze’n Roll appartient à la gamme Squeeze’n proposée par Cosmogen, fabricant de solutions d’application innovantes. Celle-ci dispose d’un embout applicateur à fermeture rotative on/off brevetée, permettant de distribuer (on) puis d’appliquer la formule et de laver l’applicateur (off).

La gamme Squeeze’n, disponible en formats micro, mini, régulier et maxi, est conçue avec des éléments séparables pour le tri et le recyclage. Son applicateur est notamment réutilisable sur un nouveau tube. Cette gamme peut être fabriquée avec du plastique recyclé.

Des solutions de conditionnement adaptées aux besoins de l’industrie cosmétique

K-Line-S - CDA

CDA s’est spécialisée dans la conception et la fabrication de solutions de conditionnement de haute performance. 

Au sein de son offre, la K-Line S est une remplisseuse automatique qui permet un dosage précis de produits liquides et visqueux, tels que les crèmes, huiles et gels, grâce à une pompe spécifique ajustée à la viscosité du produit. 

Optionnellement équipée d’une cuve pressurisée auto-nettoyante, la K-Line S assure un environnement de travail hygiénique. Avec deux à huit becs de remplissage, dont un bec plongeant pour les produits moussants, et un bâti en acier inoxydable 304 L, elle garantit, selon ses concepteurs, durabilité et fiabilité, répondant aux exigences rigoureuses de l’industrie cosmétique.

De nombreuses machines conçues par CDA intègrent des technologies de dosage adaptées à la viscosité des produits (crèmes, pommades, huiles corporelles, savons, huiles essentielles, etc.). Les systèmes de vissage, par exemple, peuvent automatiser le guidage d’une pipette en verre dans un contenant. En outre, les étiqueteuses de CDA sont spécialement adaptées pour appliquer des étiquettes sur des produits coniques, courants en cosmétique, ainsi que pour poser des étiquettes livrets sur les côtés ou sous les contenants.

Basée à Narbonne, en Occitanie, CDA connaît une croissance continue. Fondée en 1991, l’entreprise emploie actuellement près de 150 collaborateurs. Son offre inclut des remplisseuses, visseuses, étiqueteuses ainsi que des monoblocs (solutions de conditionnement 3-en-1). Ces équipements permettent à l’entreprise de fournir des solutions complètes et adaptées à des problématiques variées.

Amoéba : des résultats probants pour une utilisation du lysat d’amibe en cosmétique

Amoéba - Willaertia magna C2c Maky

Amoéba est une greentech industrielle spécialisée dans le traitement du risque microbiologique, développant un agent de biocontrôle pour la protection des plantes en agriculture ainsi qu’une gamme d’ingrédients cosmétiques. L’entreprise annonce avoir obtenu les résultats de l’étude clinique confirmant l’intérêt de l’usage de son ingrédient en cosmétique pour le soin de la peau.

En parallèle du développement de ses applications biocide et biocontrôle, Amoéba a découvert l’intérêt du lysat d’amibe Willaertia magna C2c Maky pour des applications cosmétiques. Cette amibe a été isolée de l’environnement et possède de nombreux atouts.

Une première étude clinique a été réalisée par l’Institut d’expertise clinique portant sur 30 volontaires en hémi-visage (n=60) en mars et avril 2024. Selon Amoéba, cette étude confirme l’intérêt de l’usage de son ingrédient en cosmétique pour le soin de la peau avec des résultats mesurés « statistiquement significatifs » justifiant les allégations suivantes : 

  • « amélioration de l’épaisseur du derme »
  • « effet réparateur sur le derme superficiel » 
  • « amélioration de la densité de la peau »
  • « amélioration de la texture du derme »

Amoéba a également obtenu l’inscription de cet ingrédient actif sur la liste Inci, ouvrant ainsi la voie, sans autre autorisation nécessaire, à la commercialisation et à la recherche de partenariats commerciaux. 

Le marché du soin de la peau est estimé à 200 milliards de dollars en 2023, avec une croissance annuelle attendue de de 6% par an jusqu’en 2030 (source Mc Kinsey – The beauty market in 2023).

Photo extraite du site internet d’Amoéba.

FaiveleyTech et Sulapac : une collaboration durable

FaiveleyTech-Sulapac-marble

FaiveleyTech, groupe international d’origine française, spécialiste du moulage par injection de plastique à haute valeur ajoutée, dévoile une nouvelle finition marbrée pour les emballages cosmétiques à partir de matériaux biosourcés Sulapac. Il s’agit de l’un des nombreux projets résultant de la collaboration initiée dès 2018 entre les deux entreprises.

Un emballage respectueux de l’environnement 

Spécialisée dans l’injection plastique pour les secteurs de l’industrie, de la santé et de la beauté, FaiveleyTech s’est associée à Sulapac, une société pionnière en innovation des matériaux, pour aider ses clients du secteur cosmétique à développer des emballages plus durables. 

Basée à Helsinki, Sulapac a été fondée par des scientifiques en 2016 et compte des clients dans divers secteurs d’activité à travers le monde. Son innovation brevetée, baptisée Sulapac, a reçu le soutien d’investisseurs de renom tels que Chanel et Sky Ocean Ventures. Esthétiques et fonctionnels, ses matériaux biosourcés ont, selon FaiveleyTech, une faible empreinte carbone et ne laissent derrière eux aucun microplastique permanent ni charge toxique. 

En tant qu’expert reconnu dans la fabrication de produits à base de matériaux Sulapac, l’entreprise française est le premier fournisseur à créer des emballages cosmétiques Sulapac avec un effet marbré. 

Les bouchons de parfum produits dans différentes nuances ont été créés avec Sulapac Luxe Flex, un matériau biosourcé hautement fonctionnel conçu pour remplacer les plastiques fossiles techniques dans les emballages du secteur de la beauté. Grâce au procédé de transformation, le motif est répétable mais chaque pièce reste unique.

« Sulapac est le premier matériau biosourcé qui répond aux exigences fonctionnelles, esthétiques et de qualité, définies par nos services opérationnels et nos clients du secteur de la beauté, déclare Béryl Tomaschett, directrice commerciale chez FaiveleyTech Orgelet. Le fait d’avoir démontré qu’on peut obtenir ce superbe effet marbré ainsi que de fortes épaisseurs ouvre encore plus de possibilités aux marques pour utiliser Sulapac à la place des plastiques conventionnels. »

Une recherche conjointe de l’excellence 

Fabricant des couvercles Sulapac pour une partie de la gamme de produits de beauté N°1 de Chanel, FaiveleyTech et Sulapac ont également collaboré pour produire les coiffes de toute la ligne Ulé de Shiseido, ainsi que les bouchons de parfum des flacons Chanel Les Eaux 125 ml.

« Nous sommes reconnaissants de notre collaboration avec FaiveleyTech. Ils ont fait preuve d’un engagement sans faille pour faire avancer l’industrie vers un avenir plus propre en présentant Sulapac à leurs clients et en investissant dans le développement conjoint de produits », déclare Colin Strobant, directeur commercial, Cosmétiques chez Sulapac.

FaiveleyTech a acquis de l’expérience avec neuf grades différents de matériaux Sulapac, comprenant le Sulapac Premium avec de gros copeaux de bois, le Sulapac Barrier utilisé pour les pièces en contact avec la formule, le Sulapac Solid avec son aspect céramique, ainsi que la recette spécifique développée pour incorporer des déchets végétaux de la formulation. Plus de 100 tonnes de matériaux Sulapac ont déjà été transformées par FaiveleyTech.

Unis par la recherche de l’excellence, les deux sociétés continuent à servir certaines des marques de luxe les plus emblématiques du secteur. Les prochains lancements seront dévoilés en fin d’année.

Dsm-firmenich se concentre sur ses activités en croissance et mise sur l’innovation

Dimitri de Vreeze, PDG de dsm-firmenich

Dsm-firmenich, spécialiste mondial de l’innovation en matière de nutrition, de santé et de beauté, a tenu son Capital Markets Day (CMD) à Paris, le 3 juin 2024. Lors de cet événement, la société a présenté sa stratégie aux investisseurs et aux analystes, ainsi que ses capacités en matière de science, d’innovation et de création.

Le CMD a abordé la manière dont l’entreprise met en œuvre sa stratégie. Ont notamment été mises en avant la fusion, la concentration de l’entreprise sur les activités à forte marge et à forte croissance, et l’accélération de son développement.

« Notre voyage a commencé par un rêve audacieux et une vision qui consistait à donner vie au progrès en combinant l’essentiel, le souhaitable et le durable. Nous avons combiné les forces de deux entreprises emblématiques pour créer dsm-firmenich, un leader mondial de la nutrition, de la santé et de la beauté, capable d’aider les clients à fournir ce que les consommateurs veulent, ce dont nous avons collectivement besoin et ce que notre planète exige. Dans le contexte d’une année 2023 difficile, (…) nous avons décidé de ne plus donner la priorité à certains secteurs d’activité, et notre voie à suivre est guidée par une stratégie finement ajustée, qui donne la priorité aux segments à forte croissance et à marge élevée dans les domaines de la nutrition, de la santé et de la beauté », a commenté Dimitri de Vreeze, PDG de dsm-firmenich.

Dsm-firmenich investit dans la science et la recherche pour innover, en mettant l’accent sur le développement durable. Les quatre axes de recherche sont : la biotech, le microbiome, la biologie des récepteurs et les sciences sensorielles ainsi que la data science et l’intelligence artificielle. 

Dans la nouvelle configuration de l’entreprise, dsm-firmenich sera composée de trois unités commerciales complémentaires : “Perfumery & Beauty”, “Taste, Texture & Health” et “Health, Nutrition & Care”.

Parmi les objectifs à moyen terme énoncés : une progression de 5 à 7 % des ventes.

Photo : copie d’écran de la conférence, intervention de Dimitri de Vreeze, PDG de dsm-firmenich.

Projet de loi sur les PFAS : Cosmed souhaite un calendrier en deux étapes

Photo produits cosmétiques

Le projet européen de restriction universelle de toutes les substances per- et polyfluoroalkylées (PFAS) devrait être soumis par la Commission européenne aux États membres d’ici à 2025. La France prépare, pour sa part, en avance de phase vis-à-vis de l’Europe, un projet de loi visant à interdire la mise sur le marché des produits cosmétiques contenant des PFAS au 1er janvier 2026.

Cosmed, association professionnelle représentant 1030 entreprises cosmétiques, a lancé un groupe de travail PFAS pour accompagner le secteur industriel de la beauté dans la maîtrise de ce sujet avec, en particulier, une étude d’impact de l’utilisation de cette famille de 4 000 composés chimiques, dont une quarantaine concerneraient les produits cosmétiques.

Si l’association soutient et encourage la suppression des PFAS dans les produits cosmétiques, elle défend un alignement du cadre réglementaire et la définition des critères au niveau européen, garantissant la libre circulation des produits par la mise en place d’un marché unique, et dans un calendrier à double échéance.

1- Une interdiction des ajouts intentionnels et directs de substances PFAS dans la formule – la définition d’un seuil

L’industrie cosmétique a rapidement réagi à la problématique des PFAS en adoptant très tôt des alternatives pour remplacer ces substances dans les produits de beauté. Des solutions de substitution sont d’ores et déjà disponibles pour les formulateurs, et le secteur demeure engagé à éliminer les PFAS des formules cosmétiques.

Cependant, selon Cosmed, cette interdiction ne peut s’appliquer, dans une première étape, qu’à l’ajout intentionnel de PFAS dans les formulations. Ainsi, il est crucial de définir un seuil rationnel, implémentable et vérifiable pour la teneur en PFAS, afin de cibler ces ajouts intentionnels. Cela permettra une interprétation claire de cette intentionnalité et facilitera les contrôles des autorités.

2- PFAS à l’état de trace : une indispensable collecte des données

L’utilisation étendue des PFAS dans de nombreux secteurs industriels, entraîne leur présence potentielle à l’état de traces dans les produits du fait des emballages ou de l’eau.

L’eau représente souvent l’ingrédient principal, à savoir entre 60 % et 95 % de nombreuses crèmes, lotions, gels douche et shampooings.

S’agissant des emballages, Cosmed rappelle que la collecte d’une présence potentielle ne peut se faire que sur la base d’un échange d’informations avec les fournisseurs. Or, toute collecte d’information non régie par une obligation règlementaire reste, selon l’organisation, très délicate, voire pratiquement impossible pour des PMEs. Cette incertitude dans la collecte ne peut se lever qu’avec une règle européenne.

L’évaluation des différentes sources possibles de contamination et des teneurs en traces associées nécessite une collecte de données à toutes les étapes de la chaîne de fabrication. Cosmed souligne l’importance de définir un calendrier d’application réaliste et échelonné pour permettre une communication efficace de l’information et une mise en œuvre progressive de la restriction à tous les niveaux de la chaîne de fabrication, jusqu’au produit cosmétique fini.

Photo : uluer servet yüce / Pixabay

Une installation IA sur la skincare coréenne, à Paris

Amore Pacific - Exposition ⓒ Centre Culturel Coréen

À l’occasion de « Noli : jeux coréens », une grande exposition dédiée à l’histoire du divertissement en Corée visible au Centre culturel Coréen, à Paris, un espace interactif entièrement consacré à l’expérimentation futuriste est présenté. Le public peut notamment y découvrir des œuvres liées aux nouvelles technologies. Parmi celles-ci figure « The Authentic Color Play » du géant sud-coréen de la beauté Amore Pacific.

The Authentic Color Play présente une cabine d’analyse couleur qui s’appuie sur l’intelligence artificielle (IA). Cet équipement permet d’analyser les traits physiques des visiteurs, tels que la couleur de leur peau, de leurs cheveux et de leurs lèvres, pour découvrir la palette de couleurs qui leur correspond le mieux et trouver les couleurs de maquillage les mieux adaptées à chacun : The Authentic Color Play offre la possibilité de découvrir de manière ludique, et selon les caractéristiques physiques de chaque personne, un univers cosmétique personnel.

Les visiteurs peuvent découvrir cet appareil et repartir avec un QR code permettant d’acheter en ligne le produit issu du résultat obtenu.

Depuis 2018, l’entreprise coréenne de produits cosmétiques Amore Pacific et l’Institut supérieur coréen des sciences et des technologies Kaist mènent en partenariat des études sur les couleurs dans le domaine de la beauté afin de comprendre les teintes uniques de chaque individu. C’est le fruit de ces recherches communes qui est présenté au cours de cette exposition, révélant ainsi le futur de la cosmétologie personnalisée. La technologie de diagnostic des couleurs authentiques et la confection des produits de maquillage sur mesure leur ont permis de remporter le Prix de l’innovation robotique au CES 2023 à Las Vegas.

Cosmetic Valley œuvre en faveur de la cosmétopée des territoires ultramarins

Cosmetic Valley œuvre en faveur de la cosmétopée des territoires ultramarins

Le terme « cosmétopée », créé et déposé par le pôle de compétitivité Cosmetic Valley en 2010, désigne l’inventaire des ressources naturelles et de leurs usages traditionnels pour le soin et le bien-être de la peau.

Les 30 et 31 mai 2024 s’est tenue, à La Réunion, la seconde édition de l’« Atelier Cosmétopée ultramarine » organisé par le réseau Cosmétopée ultramarine.

Cette manifestation destinée aux acteurs de la recherche et du monde économique, a pour objectif de fédérer, de structurer une dynamique commune et d’impulser des initiatives pour explorer, valoriser et préserver la biodiversité, dans le contexte domien autour de la cosmétopée.

Organisé par le Cirad en partenariat avec les pôles de compétitivité Cosmetic Valley et Qualitropic – le pôle de compétitivité de la bioéconomie des Outremers, et soutenu par le ministère des Outre-Mer, cet « Atelier Cosmétopée ultramarine » a réuni des experts, des chercheurs et des entreprises du secteur de la cosmétique ultramarine pour échanger sur les dernières avancées, les innovations et les défis liés à la cosmétopée des territoires ultra-marins. 

Le réseau « Cosmétopée ultramarine » a pour objectif de valoriser les connaissances liées aux plantes et à leurs usages traditionnels destinés à des fins cosmétiques et à favoriser les échanges entre les territoires d’Outre-mer français. Il a pour ambition de mutualiser les actions et mettre en réseau les acteurs pour soutenir le développement de filières cosmétiques dans les territoires d’Outre-mer. Le réseau rassemble à la fois des acteurs socio-économiques, institutionnels, de l’enseignement, du monde de la recherche et de l’innovation, soucieux de mettre en lumière et de protéger la biodiversité exceptionnelle des territoires ultramarins.

G.pivaudran investit dans une nouvelle ligne automatique d’anodisation

Ligne automatique d’anodisation -g.pivaudran

Portée par une croissance de son activité, g.pivaudran, implantée à Souillac dans le Lot,  construit une nouvelle ligne automatique d’anodisation dernière génération. 

Spécialisée dans la réalisation de pièces en aluminium pour le marché mondial de la parfumerie, de la cosmétique et des spiritueux, la société doublera ainsi sa capacité actuelle de traitement de surface tout en réduisant d’un tiers les consommations d’eau, d’énergie et de substances chimiques. La continuité d’une démarche RSE en lien avec sa stratégie et celle de ses clients.

D’importants travaux sont en cours depuis un an : g.pivaudran a investi 7,5 millions d’euros pour cette nouvelle ligne d’anodisation qui sera équipée de 80 cuves de 3000 litres. Il s’agit du plus gros investissement jamais réalisé depuis la création de l’entreprise.

Cet investissement est en phase avec des exigences clients toujours plus importantes et qui poussent g.pivaudran à faire évoluer les moyens vers de la haute technicité, accompagnés d’options spécifiques.

« Avec cette nouvelle chaîne d’anodisation et ses installations ultra-modernes, nous souhaitons continuer à servir nos clients mais aussi à conquérir de nouveaux marchés », souligne Marc Pivaudran, président de g.pivaudran.

g.pivaudran, qui a réalisé en 2023 un chiffre d’affaires de 37 M€, est l’un des principaux employeurs locaux. Dans le cadre de cet investissement, l’entreprise prévoit d’embaucher une cinquantaine de salariés au cours des trois prochaines années.

Photo : La future ligne automatique d’anodisation © g.pivaudran

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