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Bormioli Luigi collabore avec Scent of Africa

Bormioli Luigi - Scent of Africa

Scent of Africa est une maison de parfum africaine d’origine ghanéenne. La marque met en valeur son continent à travers sa collection Eternal Legends. Signée de grands parfumeurs tels que Nathalie Cetto, Olivier Pescheux ou Delphine Lebeau, celle-ci exhale les terroirs olfactifs de l’Afrique par des accents féminins et masculins affirmés. 

« À travers Scent of Africa, je voulais honorer l’Afrique et ses peuples, la générosité d’un continent et le sentiment fort d’appartenance de ses habitants », explique Tanal Ghandour, fondateur de la marque. Gingembre du Nigéria, encens de Somalie, géranium et jasmin d’Égypte, feuille de buchu d’Afrique du sud… donnent naissance à des parfums capiteux, chers à la culture africaine. 

La collection s’articule autour de duos féminin-masculin, tels que Rakh et Nefee, Hagé et Laïka, Bellua et Bézi et aujourd’hui Fik et Gleti. Elle exprime la mythologie africaine par un hommage contemporain aux divinités locales. 

Un flacon et un capot complexes à réaliser

Bormioli Luigi a mis son expérience et son expertise industrielle au service d’un développement exigeant. Le flacon, créé initialement dans un format de 50 ml, est le fruit d’une conception spécifique. Le décor aux multiples nuances métalliques, opaques et transparentes est réalisé à l’aide d’un laquage extérieur qui révèle un subtil effet de dégradé. Il est associé à un marquage à chaud en finition nacrée et brillante dont les effets distinguent les fragrances féminines et masculines. L’une des principales difficultés rencontrées au cours du développement a été d’harmoniser les teintes du flacon et du capot en respectant leur équilibre.

L’application d’un marquage à chaud sur le flacon conique a constitué un autre défi. Le capot évoque la forme de l’Afrique et le logo de la marque s’inspire du symbole Sankofa qui, pour le peuple Akan, signifie « revenir à » et symbolise le retour aux racines.

La marque lancera une deuxième gamme s’inspirant des matières et des rituels africains en 2025 ciblant le marché américain et l’Europe.

RSE : Be Cause, une plateforme d’engagement des parties prenantes de l’entreprise

Plateforme Be Cause - RSE

La plateforme Be Cause permet aux entreprises d’intégrer leurs collaborateurs et clients dans leur démarche RSE en tenant compte des valeurs et sensibilités de chacun.

Via la plateforme, les entreprises peuvent inclure divers acteurs dans une démarche collaborative, alignée sur les objectifs communs de responsabilité sociétale. Be Cause propose des solutions personnalisées pour répondre aux besoins spécifiques de chaque entreprise, rendant le don et l’engagement une action collective aux côtés de l’entreprise.

Une approche collective de la RSE 

Be Cause est née d’un constat : la stratégie RSE des entreprises est souvent mal perçue par les salariés. Elle peut être assimilée à du Greenwashing par les employés en raison de leur faible implication dans le processus décisionnel. Le même sentiment peut être observé chez les clients.

Selon une étude d’Odoxa, 92 % des Français considèrent que la RSE est un sujet important pour les entreprises, et 31 % estiment même qu’elle devrait être une priorité. Cependant, seulement 15 % des salariés français se sentent pleinement impliqués dans cette démarche. Par ailleurs, les clients n’ont actuellement aucun pouvoir sur la stratégie RSE de l’entreprise et sont dépendants des décisions internes, sans possibilité de donner leur avis.

Impliquer toutes les parties prenantes 

Be cause se positionne comme un outil offrant la possibilité d’impliquer activement les parties prenantes dans la démarche RSE. La plateforme permet aux clients de s’engager aux côtés de l’entreprise avant, pendant et après l’expérience d’achat, et donne aux collaborateurs le pouvoir d’utiliser une partie du budget RSE selon leurs propres sensibilités. Grâce au système d’achat de bonnes actions, chaque collaborateur et client peut retracer l’impact de ses choix. Leur profil se transforme ainsi en une mesure d’impact positif.

Pour l’entreprise, chaque impact individuel des collaborateurs est consolidé en une fiche d’impact positif collectif. L’entreprise peut ainsi dire : « Grâce à nos collaborateurs, nous avons contribué à planter X arbres, distribuer X repas… ». Ces résultats concrets et tangibles peuvent être intégrés dans le rapport RSE.

« Be Cause transforme la responsabilité sociétale en une démarche partagée, concrète et mesurable, renforçant l’engagement des collaborateurs et des clients tout en répondant aux enjeux actuels de la RSE », soulignent les concepteurs de la plateforme.

Fedrigoni primé pour sa gamme de papiers Futura

Futura - Fedrigoni

Lors de la Nuit du Papier qui s’est tenue le 4 avril 2024 à Paris, le magazine Pap Argus a remis ses Pap’Awards valorisant l’innovation, l’initiative ou l’excellence. Le groupe Fedrigoni s’est ainsi distingué par le prix de la circularité avec son papier Futura. 

La gamme de papiers Futura repose sur la récupération des déchets textiles de la marque Albini, cliente du groupe. Elle se décline en deux grammages 115 et 300 gr et sert les exigences techniques de l’impression et du packaging. 

Un papier réalisé grâce à l’upcycling

« Ce projet de seconde vie nous permet de réduire la quantité de pâte vierge dans la production en récupérant des sous-produits textiles voués à l’élimination, tout en optimisant l’énergie et les émissions de chaque processus de production », explique Celine Bertuzzi, Marketing Director Fedrigoni Special Papers. 

D’importants investissements

Fedrigoni a investi massivement dans la recherche et le développement pour réussir son pari et obtenir des propriétés techniques et esthétiques élevées.

Le procédé commence par le tri des chutes, provenant soit du processus de tissage, soit du département d’échantillonnage et de contrôle de la qualité, qui sont effilochées puis dépoussiérées. Le coton est ensuite ajouté par Fedrigoni au mélange de cellulose pour obtenir un carton utilisé pour créer divers supports de communication. La valorisation de déchets en coton mercerisé, très difficile à traiter avec les équipements industriels traditionnels a requis un gros travail d’innovation pour produire un papier-tissu rigide, à la fois doux et durable, précise le fabricant.

Chanel : un laboratoire commun avec la recherche publique

site-industries-cosmetiques Un groupe de neuf personnes se tient derrière une table sur laquelle sont posés des documents et pose pour une photo. Ils sont vêtus de tenues de ville et se tiennent devant des banderoles de diverses organisations, dont Chanel, le CNRS et la Cosmetic Valley. Cet événement collaboratif souligne l’importance de la recherche publique et du laboratoire commun.

Chanel Parfums Beauté, le CNRS, l’École nationale supérieure de chimie de Rennes (ENSCR) et l’Université de Rennes ont inauguré, le 6 juin 2024, à Rennes, un laboratoire commun appelé « Iccare » pour Innovative Cosmetics for Care.

L’objectif de ce laboratoire financé par l’Agence nationale de la recherche (ANR) : innover dans le domaine de la cosmétique pour faire face aux enjeux d’écoconception, en mutualisant les compétences dans le développement et l’industrialisation des produits cosmétiques de Chanel Parfums Beauté et celles en synthèse, catalyse et chimie verte des scientifiques de l’Institut des sciences chimiques de Rennes (CNRS/ENSCR/Université de Rennes).

Le CNRS rappelle que les cosmétiques sont le deuxième secteur contributeur à la balance commerciale française avec 60 % de la production qui est exportée, représentant ainsi un marché de 30,4 Mds €1

Or, il est primordial d’apporter aux consommateurs des innovations constantes et avisées,  et de maintenir la sécurité des produits au regard de l’évolution des connaissances scientifiques, du contexte environnemental et de la réglementation en vigueur pour maintenir l’engouement pour les produits cosmétiques français.

L’écoconception, qui tend à améliorer le cycle de vie des produits finis, est devenue une préoccupation majeure.

Afin de lever des verrous technologiques d’envergure, les équipes investies dans cette collaboration recherche-entreprise s’engageront sur deux axes de recherche :

– La conception et la production de nouveaux pigments inorganiques, ingrédients incontournables en maquillage car ils constituent les compositions colorimétriques des teintes,

– l’élaboration de cires agrosourcées à partir d’une huile végétale non alimentaire selon des procédés à faible impact environnemental.

« Le CNRS se réjouit de la signature du premier laboratoire commun avec Chanel Parfums Beauté, une forme de partenariat souple et durable entre acteurs publics et privés. Cette création est le résultat d’une relation de confiance établie avec Chanel Parfums Beauté depuis une dizaine d’années, autour d’un défi scientifique commun : inventer les cosmétiques de demain. Iccare ambitionne plus particulièrement de concevoir des cosmétiques plus performants et écoconçus, en phase avec les grands défis du CNRS dont celui de participer à la transition environnementale », souligne Jean-Luc Moullet, directeur général délégué à l’innovation du CNRS.

« La collaboration de la R&D de Chanel avec des partenaires de la recherche scientifique publique est essentielle pour continuer de créer des produits innovants et dans leur temps. Grâce à ce laboratoire commun, nous mutualisons nos expertises, connaissances scientifiques et savoir-faire pour développer les futures générations de matières premières. Ce projet est un projet scientifique, humain et responsable qui contribue à la dynamique d’amélioration continue indispensable pour relever les défis futurs de l’industrie en général », indique Nathalie Volpe, directrice Innovation, recherche et développement chez Chanel Parfums Beauté.

« Le dispositif LabCom de l’ANR a vocation à renforcer la recherche partenariale entre les secteurs publics et privés et s’inscrit dans une démarche générale de soutien à l’innovation portée par l’Agence. L’ensemble est motivé par la nécessité d’accompagner les acteurs socio-économiques et les entreprises pour les rendre plus compétitifs et en capacité de mieux répondre aux enjeux des transitions. Nous nous réjouissons donc de la création du LabCom ICCARE qui va permettre aux équipes de recherche du CNRS, de l’École nationale supérieure de chimie de Rennes et de l’Université de Rennes, de travailler avec celles de Chanel Parfums Beauté pour concevoir les cosmétiques de demain », relève Dominique Dunon-Bluteau, directeur des opérations scientifiques de l’ANR.

1. Source : Febea, 2023.

Photo © Pierre Theiller / CNRS
De gauche à droite : William Le Saint, ingénieur d’études CNRS ; Nathalie Volpe, directrice internationale innovation et R&D de Chanel Parfums Beauté ; Audrey Soric, directrice de l’Ecole nationale supérieure de chimie de Rennes ; Hélène de Clermont-Gallerande, Innovation Technology Manager à Chanel Parfums Beauté et co-responsable du Labcom ; Marc Mauduit, directeur de recherche du CNRS à l’Institut des sciences chimiques de Rennes et responsable du Labcom ; Jean-Luc Moullet, directeur général délégué à l’innovation du CNRS ; Muriel Hissler, première vice-présidente, vice-présidente de la commission recherche du conseil académique de l’Université de Rennes ; Dominique Dunon-Bluteau, directeur des opérations scientifiques de l’ANR ; Laura Chaillou, doctorante Cifre, financée par Chanel Parfums Beauté / Association nationale de la recherche et de la technologie. 

Givaudan dévoile House of Naturals pour renforcer son expertise en matière d’ingrédients naturels

Givaudan - House of Naturals

Givaudan, spécialiste mondial de la parfumerie fine, a créé House of Naturals, une entité dédiée au développement d’ingrédients exclusifs. L’ambition affichée : renforcer son expertise en matière d’ingrédients naturels, du champ au parfum, en mettant l’accent sur une qualité constante, un savoir-faire artisanal et des processus durables afin de répondre aux normes les plus strictes.

« House of Naturals reflète l’ambition de Givaudan de dépasser les limites de la maîtrise des ingrédients. Avec notre futur centre d’excellence, le Campus 52, qui sera basé au cœur de Grasse, nous nous ancrons dans ce territoire où convergent l’histoire et l’expertise de la parfumerie. Ce nouvel espace d’innovation créative est une étape importante de notre stratégie, pour répondre et anticiper la recherche de parfums d’exception de nos clients », explique Xavier Renard, Global Head of Fine Fragrances de Givaudan.

« Notre objectif est d’atteindre un niveau inégalé d’unicité et de qualité en ce qui concerne nos parfums, en combinant l’expertise et la créativité de nos équipes. House of Naturals s’inspirera des technologies pionnières utilisées dans divers secteurs, ouvrant ainsi la voie à des opportunités illimitées », souligne Maxence Billas, responsable de House of Naturals..

House of Natural repose sur quatre piliers : l’agronomie (approvisionnement responsable et partage d’expertise), l’innovation (quant aux méthodes d’extraction), les opérations (un pont entre l’innovation, l’ingénierie et la tradition) et les parfumeurs.

Givaudan indique que House of Naturals montre la voie en mettant en œuvre des améliorations structurelles et opérationnelles, du champ au parfum. « House of Naturals jouera sans aucun doute un rôle essentiel dans l’élaboration de l’avenir de la création de parfums, en repoussant les limites de ce qu’il est possible de faire avec des ingrédients naturels », indique l’entreprise.

Cosmogen et Boiron s’associent pour un effet réparateur et relaxant

Boiron - Cosmogen

Le gel roll-on CBD by Boiron est proposé pour contribuer à apaiser et à détendre les tensions du quotidien, ainsi qu’à relaxer les muscles. Squeeze’n Roll de Cosmogen, son roller massant en acier inoxydable, amovible, permet un auto-massage facile sur les zones difficiles à atteindre.

Squeeze’n Roll appartient à la gamme Squeeze’n proposée par Cosmogen, fabricant de solutions d’application innovantes. Celle-ci dispose d’un embout applicateur à fermeture rotative on/off brevetée, permettant de distribuer (on) puis d’appliquer la formule et de laver l’applicateur (off).

La gamme Squeeze’n, disponible en formats micro, mini, régulier et maxi, est conçue avec des éléments séparables pour le tri et le recyclage. Son applicateur est notamment réutilisable sur un nouveau tube. Cette gamme peut être fabriquée avec du plastique recyclé.

Des solutions de conditionnement adaptées aux besoins de l’industrie cosmétique

K-Line-S - CDA

CDA s’est spécialisée dans la conception et la fabrication de solutions de conditionnement de haute performance. 

Au sein de son offre, la K-Line S est une remplisseuse automatique qui permet un dosage précis de produits liquides et visqueux, tels que les crèmes, huiles et gels, grâce à une pompe spécifique ajustée à la viscosité du produit. 

Optionnellement équipée d’une cuve pressurisée auto-nettoyante, la K-Line S assure un environnement de travail hygiénique. Avec deux à huit becs de remplissage, dont un bec plongeant pour les produits moussants, et un bâti en acier inoxydable 304 L, elle garantit, selon ses concepteurs, durabilité et fiabilité, répondant aux exigences rigoureuses de l’industrie cosmétique.

De nombreuses machines conçues par CDA intègrent des technologies de dosage adaptées à la viscosité des produits (crèmes, pommades, huiles corporelles, savons, huiles essentielles, etc.). Les systèmes de vissage, par exemple, peuvent automatiser le guidage d’une pipette en verre dans un contenant. En outre, les étiqueteuses de CDA sont spécialement adaptées pour appliquer des étiquettes sur des produits coniques, courants en cosmétique, ainsi que pour poser des étiquettes livrets sur les côtés ou sous les contenants.

Basée à Narbonne, en Occitanie, CDA connaît une croissance continue. Fondée en 1991, l’entreprise emploie actuellement près de 150 collaborateurs. Son offre inclut des remplisseuses, visseuses, étiqueteuses ainsi que des monoblocs (solutions de conditionnement 3-en-1). Ces équipements permettent à l’entreprise de fournir des solutions complètes et adaptées à des problématiques variées.

Amoéba : des résultats probants pour une utilisation du lysat d’amibe en cosmétique

Amoéba - Willaertia magna C2c Maky

Amoéba est une greentech industrielle spécialisée dans le traitement du risque microbiologique, développant un agent de biocontrôle pour la protection des plantes en agriculture ainsi qu’une gamme d’ingrédients cosmétiques. L’entreprise annonce avoir obtenu les résultats de l’étude clinique confirmant l’intérêt de l’usage de son ingrédient en cosmétique pour le soin de la peau.

En parallèle du développement de ses applications biocide et biocontrôle, Amoéba a découvert l’intérêt du lysat d’amibe Willaertia magna C2c Maky pour des applications cosmétiques. Cette amibe a été isolée de l’environnement et possède de nombreux atouts.

Une première étude clinique a été réalisée par l’Institut d’expertise clinique portant sur 30 volontaires en hémi-visage (n=60) en mars et avril 2024. Selon Amoéba, cette étude confirme l’intérêt de l’usage de son ingrédient en cosmétique pour le soin de la peau avec des résultats mesurés « statistiquement significatifs » justifiant les allégations suivantes : 

  • « amélioration de l’épaisseur du derme »
  • « effet réparateur sur le derme superficiel » 
  • « amélioration de la densité de la peau »
  • « amélioration de la texture du derme »

Amoéba a également obtenu l’inscription de cet ingrédient actif sur la liste Inci, ouvrant ainsi la voie, sans autre autorisation nécessaire, à la commercialisation et à la recherche de partenariats commerciaux. 

Le marché du soin de la peau est estimé à 200 milliards de dollars en 2023, avec une croissance annuelle attendue de de 6% par an jusqu’en 2030 (source Mc Kinsey – The beauty market in 2023).

Photo extraite du site internet d’Amoéba.

FaiveleyTech et Sulapac : une collaboration durable

FaiveleyTech-Sulapac-marble

FaiveleyTech, groupe international d’origine française, spécialiste du moulage par injection de plastique à haute valeur ajoutée, dévoile une nouvelle finition marbrée pour les emballages cosmétiques à partir de matériaux biosourcés Sulapac. Il s’agit de l’un des nombreux projets résultant de la collaboration initiée dès 2018 entre les deux entreprises.

Un emballage respectueux de l’environnement 

Spécialisée dans l’injection plastique pour les secteurs de l’industrie, de la santé et de la beauté, FaiveleyTech s’est associée à Sulapac, une société pionnière en innovation des matériaux, pour aider ses clients du secteur cosmétique à développer des emballages plus durables. 

Basée à Helsinki, Sulapac a été fondée par des scientifiques en 2016 et compte des clients dans divers secteurs d’activité à travers le monde. Son innovation brevetée, baptisée Sulapac, a reçu le soutien d’investisseurs de renom tels que Chanel et Sky Ocean Ventures. Esthétiques et fonctionnels, ses matériaux biosourcés ont, selon FaiveleyTech, une faible empreinte carbone et ne laissent derrière eux aucun microplastique permanent ni charge toxique. 

En tant qu’expert reconnu dans la fabrication de produits à base de matériaux Sulapac, l’entreprise française est le premier fournisseur à créer des emballages cosmétiques Sulapac avec un effet marbré. 

Les bouchons de parfum produits dans différentes nuances ont été créés avec Sulapac Luxe Flex, un matériau biosourcé hautement fonctionnel conçu pour remplacer les plastiques fossiles techniques dans les emballages du secteur de la beauté. Grâce au procédé de transformation, le motif est répétable mais chaque pièce reste unique.

« Sulapac est le premier matériau biosourcé qui répond aux exigences fonctionnelles, esthétiques et de qualité, définies par nos services opérationnels et nos clients du secteur de la beauté, déclare Béryl Tomaschett, directrice commerciale chez FaiveleyTech Orgelet. Le fait d’avoir démontré qu’on peut obtenir ce superbe effet marbré ainsi que de fortes épaisseurs ouvre encore plus de possibilités aux marques pour utiliser Sulapac à la place des plastiques conventionnels. »

Une recherche conjointe de l’excellence 

Fabricant des couvercles Sulapac pour une partie de la gamme de produits de beauté N°1 de Chanel, FaiveleyTech et Sulapac ont également collaboré pour produire les coiffes de toute la ligne Ulé de Shiseido, ainsi que les bouchons de parfum des flacons Chanel Les Eaux 125 ml.

« Nous sommes reconnaissants de notre collaboration avec FaiveleyTech. Ils ont fait preuve d’un engagement sans faille pour faire avancer l’industrie vers un avenir plus propre en présentant Sulapac à leurs clients et en investissant dans le développement conjoint de produits », déclare Colin Strobant, directeur commercial, Cosmétiques chez Sulapac.

FaiveleyTech a acquis de l’expérience avec neuf grades différents de matériaux Sulapac, comprenant le Sulapac Premium avec de gros copeaux de bois, le Sulapac Barrier utilisé pour les pièces en contact avec la formule, le Sulapac Solid avec son aspect céramique, ainsi que la recette spécifique développée pour incorporer des déchets végétaux de la formulation. Plus de 100 tonnes de matériaux Sulapac ont déjà été transformées par FaiveleyTech.

Unis par la recherche de l’excellence, les deux sociétés continuent à servir certaines des marques de luxe les plus emblématiques du secteur. Les prochains lancements seront dévoilés en fin d’année.

Dsm-firmenich se concentre sur ses activités en croissance et mise sur l’innovation

Dimitri de Vreeze, PDG de dsm-firmenich

Dsm-firmenich, spécialiste mondial de l’innovation en matière de nutrition, de santé et de beauté, a tenu son Capital Markets Day (CMD) à Paris, le 3 juin 2024. Lors de cet événement, la société a présenté sa stratégie aux investisseurs et aux analystes, ainsi que ses capacités en matière de science, d’innovation et de création.

Le CMD a abordé la manière dont l’entreprise met en œuvre sa stratégie. Ont notamment été mises en avant la fusion, la concentration de l’entreprise sur les activités à forte marge et à forte croissance, et l’accélération de son développement.

« Notre voyage a commencé par un rêve audacieux et une vision qui consistait à donner vie au progrès en combinant l’essentiel, le souhaitable et le durable. Nous avons combiné les forces de deux entreprises emblématiques pour créer dsm-firmenich, un leader mondial de la nutrition, de la santé et de la beauté, capable d’aider les clients à fournir ce que les consommateurs veulent, ce dont nous avons collectivement besoin et ce que notre planète exige. Dans le contexte d’une année 2023 difficile, (…) nous avons décidé de ne plus donner la priorité à certains secteurs d’activité, et notre voie à suivre est guidée par une stratégie finement ajustée, qui donne la priorité aux segments à forte croissance et à marge élevée dans les domaines de la nutrition, de la santé et de la beauté », a commenté Dimitri de Vreeze, PDG de dsm-firmenich.

Dsm-firmenich investit dans la science et la recherche pour innover, en mettant l’accent sur le développement durable. Les quatre axes de recherche sont : la biotech, le microbiome, la biologie des récepteurs et les sciences sensorielles ainsi que la data science et l’intelligence artificielle. 

Dans la nouvelle configuration de l’entreprise, dsm-firmenich sera composée de trois unités commerciales complémentaires : “Perfumery & Beauty”, “Taste, Texture & Health” et “Health, Nutrition & Care”.

Parmi les objectifs à moyen terme énoncés : une progression de 5 à 7 % des ventes.

Photo : copie d’écran de la conférence, intervention de Dimitri de Vreeze, PDG de dsm-firmenich.

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