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Protection des cheveux contre la pollution olfactive

Aujourd’hui, le terme « exposome » est utilisé pour décrire tous les facteurs environnementaux qui peuvent avoir un impact sur la peau et ses annexes. Le rayonnement solaire, la pollution atmosphérique (extérieure et intérieure) et la fumée de cigarette sont connus depuis longtemps pour ternir le teint, altérer la fermeté de la peau, accélérer l’apparition des rides et des troubles pigmentaires.

Dans le cas des cheveux, la pollution atmosphérique fragilise les fibres capillaires, et le dépôt de particules rend les cheveux ternes et cassants. Mais un autre type de conséquence peut également être évoqué : la pollution olfactive. Les cheveux sont connus pour capter très facilement les odeurs, qu’elles soient bonnes ou mauvaises. Après tout, qui ne s’est jamais plaint d’avoir des cheveux qui sentent le tabac, les fumées ou la friture après avoir passé du temps dans des environnements « pollués » ?

Pour lutter contre ces « mauvaises odeurs », Eurofins Cosmetics & Personal Care a développé une nouvelle approche qui permet d’évaluer l’efficacité « anti-odeur » des produits capillaires (shampooings, après-shampooings, produits sans rinçage ou brumes). Les mèches de cheveux sont traitées avant et après un contact prolongé avec des molécules odorantes (choisies en fonction de vos besoins), puis notre panel d’experts évalue l’effet neutralisant du produit sur les odeurs par rapport aux mèches non traitées.

VPI met son expertise au service de la start-up 900.care, pour des produits d’hygiène nouvelle génération, durables et rechargeables

900.care est une des start-ups de la beauté et de l’hygiène les plus prometteuses du moment. Créée en 2019, elle a su rallier à sa cause, via des financements participatifs, des milliers de personnes aspirant à profiter de produits qualitatifs tout en réduisant le volume d’emballages jetés dans les poubelles de salle de bain. Les fondateurs de 900.care ont rencontré très tôt dans leur projet les équipes de VPI : le coup de cœur a été réciproque, et l’envie d’avancer ensemble aussi. Trois ans après avoir fait connaissance, VPI et 900.care continuent d’innover en faveur d’une consommation plus écoresponsable.

Le pari de révolutionner le secteur de l’hygiène-beauté

La marque 900.care est née en juillet 2019 autour d’un double constat : la quantité de plastique à usage unique jetée dans une salle de bain et le fait que ce plastique serve principalement à transporter de l’eau. Deux défis se sont imposés aux cofondateurs, Thomas Arnaudo et Aymeric Grange : diminuer drastiquement l’utilisation du plastique et proposer des formules anhydres (sans eau) à recharger. À l’automne de la même année, tous les deux visitent le salon Luxe Pack Monaco en quête du fournisseur de packaging capable de les accompagner dans leur projet. « Nous savions une chose, c’est que nous voulions créer une gamme de packagings spécifiques, identifiables, aptes à être facilement rechargés. Cela signifiait des moules uniques pour notre marque. Les équipes de VPI nous ont écoutées et, très vite, elles ont réfléchi avec nous. Elles ont su parier sur nous et s’engager à nos côtés », raconte Thomas Arnaudo, cofondateur de 900.care.

La recharge comme clé de la durabilité

Le choix du plastique est arrivé très tôt dans le projet : « Nous voulions produire en France et revaloriser le plastique. En effet, je suis convaincu que si on s’en sert bien, si on ne le jette pas systématiquement après un usage unique, si on privilégie du plastique recyclé, alors le plastique peut être vertueux. Il est réutilisable, léger, solide et recyclable en fin de vie : si l’on regarde toute la chaîne de valeur, c’est le choix qui fait le plus de sens pour l’écologie », explique Thomas Arnaudo. D’où le choix, aussi, du fabricant français VPI, spécialiste de l’injection plastique.
Plusieurs packagings sont à imaginer, avec chacun leurs défis spécifiques. 900.care a travaillé avec des designers pour sélectionner une ligne de formes propres, cohérentes, facilement identifiables. Puis VPI a été sollicité pour la phase de conception technique : dessins et moules. Quelques ajustements plus tard, la production était lancée.

Dernière innovation en date : un bain de bouche en pastilles effervescentes

Après avoir réalisé le bouchon des gels douches, l’étui rechargeable du déodorant solide et le distributeur de dentifrice, VPI a relevé le dernier défi de 900.care : son packaging rechargeable de pastilles de bain de bouche. « C’est un packaging malin. Les pastilles sont stockées dans le corps du flacon et le bouchon d’ouverture sert de gobelet doseur. L’utilisateur y dépose une pastille, ajoute de l’eau et obtient ainsi son bain de bouche. C’est un contenant ingénieux qui stocke, facilite l’utilisation et, en plus, par son design, s’intègre parfaitement dans notre gamme », souligne Thomas Arnaudo.

« En tant que fournisseurs de packaging, nous aimons accompagner nos clients dans leurs défis et leurs ambitions. C’est une chance de rencontrer une marque à ses débuts et nous avons apprécié de rejoindre l’aventure de 900.care dès ses prémices. C’est ce qui nous anime chez VPI : être au côté de marques qui veulent révolutionner les habitudes des consommateurs en développant, avec elles, des produits innovants et écoresponsables », a déclaré Marc Beltrami, directeur commercial de VPI.

« Nous sommes très heureux de travailler avec une entreprise telle que VPI. C’est une société à taille humaine, qui a envie d’innover et de changer les façons de faire. Ses équipes sont très réactives : elles ont su parfaitement s’adapter à notre rythme de start-up. Nous voulions de la rapidité et de l’efficacité : nous les avons eues », a déclaré Thomas Arnaudo, cofondateur de 900.care.

Eurofins Cosmetics & Personal Care construit un avenir durable et innovant grâce à des partenariats stratégiques in vitro

Depuis plus de 30 ans, le réseau de sociétés d’Eurofins Cosmetics & Personal Care s’est développé et a atteint une position de leader en adoptant de nouvelles méthodes et services d’analyse. Dans le cadre de notre vision durable, nous sommes passionnés par la collaboration avec nos partenaires pour développer des innovations qui changent la donne et de nouvelles perspectives d’analyse afin de mieux servir nos clients. Ainsi, nous sommes convaincus que travailler ensemble est la clé pour construire et accélérer la prochaine génération de tests in vitro.

Eurofins Cosmetics & Personal Care s’attache à établir des partenariats à long terme, transparents et de confiance avec des sociétés stratégiques qui possèdent l’expérience, l’expertise, les connaissances et les capacités nécessaires pour soutenir les futures innovations in vitro. Nos diverses collaborations englobent des start-ups européennes de pointe qui encouragent l’esprit d’entreprise, notamment :

  • Ctibiotech fournit des modèles de peau complète bioprinté en 3D (production de 50 à 100 modèles de peau artificielle à partir de cellules de peau provenant d’un seul donneur), des modèles in vitro (différents types de cellules humaines provenant de la production de peau de qualité préclinique) et des modèles de biopsie ex vivo (y compris la peau, le cuir chevelu, les cheveux et les tissus à la demande).
  • Phenocell fournit des tests in vitro à la recherche en dermatologie et en ophtalmologie, sur la base de cellules iPS révolutionnaires.
  • Bionos fournit des tests d’efficacité pour les industries cosmétiques et agroalimentaires, principalement dans le cadre d’essais biologiques in vitro et ex vivo, en utilisant des équipements et des techniques de pointe dans ses installations de l’hôpital La Fe à Valence, en Espagne.

Ces trois partenariats complètent l’offre globale actuelle d’Eurofins Cosmetics & Personal Care et s’inscrivent dans le cadre de la stratégie globale des sociétés visant à fournir une solution de guichet unique et à proposer des solutions supérieures et durables.

[podcast] Innover par la logistique

En complément de l’article paru dans Industries Cosmétiques n° 34 (juin 2022), nous vous proposons d’écouter l’interview complète de Bruno Guillard, Corporate Business Development Manager Dachser Cosmetics Logistics.

Innover par la logistique au service de la filière parfumerie-cosmétique. c’est le pari pris par Dachser et sa nouvelle entité Dachser cosmetics logistics lancée en avril dernier. explications par Bruno Guillard, à la tête de cette nouvelle entité, mais surtout à l’écoute du marché depuis de nombreuses années…

Entre faux positifs et études contradictoires : la réalité sur le risque allergique des Huiles Essentielles

Depuis 10 ans, les médias se sont largement fait l’écho des propriétés potentiellement allergisantes des Huiles Essentielles (HE). Alors que les projets de révision des règlements européens, notamment sur les substances chimiques et les cosmétiques, entendent revisiter ce sujet, il convient de prendre en compte les dernières avancées de la recherche :

  1. prise dans leur globalité, les HE sont sûres
  2. les risques allergisants sont mal appréhendés

Ainsi, le Consortium HE appelle les autorités réglementaires à revoir leur position. Le cadre en vigueur n’est plus adapté, il impacte de manière disproportionné un secteur source d’emplois, de savoir-faire et de transition agroécologique.  

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La sûreté des HE

La réalité et l’acuité du risque allergique des Huiles Essentielles repose sur des études souvent contradictoires et systématiquement biaisées sur le plan statistique puisque les données cliniques sont maximalisantes vis-à-vis de la population générale.

Exemple, une étude sur 62.354 patients menée entre 2009 et 2014 par le IVDK (Information Network of Departments of Dermatology) (Allemagne, Suisse, Autriche) et le US/Canadian North American Contact Dermatitis Group (NACDG) a montré un taux de réactions positives extrêmement faible (0,3%) pour l’HE de lavande et l’HE d’arbre à thé.

Ainsi, ce qui est souvent identifié comme une allergie se révèle être dans la grande majorité des cas une simple irritation.

Les risques allergisants mal appréhendés

En juillet 2021, l’OCDE (organisme de référence pour la validation des tests toxicologiques) alerte que le test LLNA produit des faux positifs dans son application aux constituants des HE. Si bien que dans la liste des 26 allergènes d’étiquetage obligatoire sur les produits cosmétiques, 5 ne sont plus considérés comme allergisants selon l’OCDE[3] (alpha-isomethyl ionone, benzyl benzoate, citronellol, limonène, linalol).

Ces erreurs d’appréciation viennent souvent d’une confusion entre les produits et leurs versions oxydées. Aujourd’hui toutes les instances scientifiques ont admis que le caractère allergisant des HE est majoritairement fourni par l’oxydation des constituants des HE. Les conditions d’oxydation sont particulières et ne se présentent pas dans des conditions normales de stockage.

Par ailleurs, certains composants isolés peuvent présenter des effets secondaires qui disparaissent lorsqu’ils sont naturellement présents dans une huile essentielle totale. C’est le cas, par exemple, du citral dont les effets ne sont pas comparables s’il est testé seul ou dans l’huile essentielle de citronnelle, où il devient inoffensif à des concentrations équivalentes. 

Recommandations du Consortium HE

  1. Évaluer l’huile essentielle dans sa globalité, plutôt que de faire des hypothèses sur la base de ses constituants isolés.
  1. Reconsidérer la réglementation à la lumière des dernières données scientifiques, à minima retirer l’obligation d’indiquer « Peut provoquer une allergie cutanée » sur les 5 composants qui ne sont plus considérés comme allergisants.
  2. Rappel des bonnes pratiques de conservation des HE : bien fermés et à l’abri de la lumière.

[podcast] Rencontre avec… Pierre Bondon, Exsymol

En complément de l’article paru dans Industries Cosmétiques n° 34 (juin 2022), nous vous proposons d’écouter l’interview complète de Pierre Bondon, directeur général d’Exsymol.

Producteur d’actifs au cœur de Monaco, Exsymol multiplie les contraintes et les challenges pour fournir au marché sa gamme de silanols reconnus par la communauté scientifique. Cinquante ans après sa création, la société se diversifie et se développe. Rencontre avec Pierre Bondon, directeur général de la société.

Solvay lance de nouveaux agents tensioactifs biosourcés pour des produits de soins de beauté à empreinte carbone neutre

Mirasoft SL L60 et Mirasoft SL A60, des tensioactifs 100 % biosourcés et biodégradables issus d’un processus de fermentation compétitif, sont destinés à un large éventail de produits de soins capillaires et de la peau.

Solvay, fournisseur majeur d’ingrédients en cosmétique, lance Mirasoft SL L60 et Mirasoft SL A60, deux nouveaux agents tensioactifs biosourcés à base d’huile de colza et de sucre qui permettent le développement de produits de soins de beauté éco-responsables. Ces biosurfactants glycolipidiques présentent une faible empreinte carbone et environnementale et conviennent à un large éventail de produits de soins de beauté tels que les shampoings, après-shampoings, gels-douches, gels nettoyants et crèmes pour le visage.

Le lancement de Mirasoft s’inscrit dans le cadre de la nouvelle plateforme de croissance « Matériaux renouvelables et biotechnologie » du Groupe qui vise à accroître la gamme de produits de Solvay en matières premières renouvelables et durables, et à développer de nouvelles approches de gestion de la fin de vie de ces produits, telle que leur biodégradabilité.
« Ces nouveaux produits démontrent notre position de leadership dans la technologie des tensioactifs et témoignent de notre vision à long terme. » explique Jean-Guy Le Helloco, vice-président home and personal care de Solvay. « Nous mettons l’accent sur l’innovation technologique pour permettre à nos clients d’atteindre leurs objectifs de durabilité. »


Mirasoft SL L60 et Mirasoft SL A60 ont été conçus pour offrir les mêmes performances que les ingrédients synthétiques, mais avec un impact environnemental limité. En effet, ces produits sont biodégradables et entièrement issus de ressources naturelles selon des processus de chimie verte. Leur production reflète l’engagement de Solvay en faveur du développement durable et de l’économie circulaire et régénérative.


« Les tensioactifs biosourcés ont un potentiel de neutralité carbone et représentent un changement technologique majeur en matière d’éco-conception des produits de soins de beauté de nouvelle génération. » ajoute Galder Cristobal, directeur de la recherche et de l’innovation home and personal care de Solvay. « L’éco-profil de Mirasoft SL L60 et Mirasoft SL A60 est une véritable avancée par rapport aux tensioactifs traditionnels à base de ressources fossiles. »
Au-delà des ambitions de son plan Solvav One Planet qui vise à préserver les ressources naturelles et à fournir des produits plus sûrs et durables, Solvay promeut l’initiative Beautv for the Planet pour accélérer l’adoption d’innovations durables dans le domaine de la beauté, grâce aux partenariats avec ses clients.

Global Bioenergies annonce avoir reçu des premières commandes de plusieurs grands acteurs de la cosmétique représentant au total plusieurs tonnes d’Isonaturane 12

Moins de deux mois après la mise en service de l’unité de production commerciale de Pomacle, Global Bioenergies annonce que plusieurs grands acteurs de la cosmétique, dont L’Oréal, ont passé leurs premières commandes pour un total de plusieurs tonnes d’Isonaturane 12.
L’Isonaturane 12 est la marque commerciale déposée par Global Bioenergies pour dénommer son isododécane d’origine naturelle. L’isododécane est Tune des grandes molécules de la cosmétique, utilisé aussi bien dans le segment du maquillage, où il est le seul à pouvoir apporter les propriétés de longue tenue, qu’en dermocosmétique et dans les soins capillaires, où il confère légèreté et douceur aux textures. Ce composé, grâce à Global Bioenergies, est désormais disponible en version bio-sourcée, dans le respect de la nonne ISO 16128 relative à la naturalité en cosmétique. L’Isonaturane 12 est produit via une filière 100% française s’appuyant exclusivement sur un sourcing local des matières premières.
Pour L’Oréal, premier actionnaire de Global Bioenergies via son fonds d’investissement Bold (Business Opportunities for L’Oréal Development) ces premières commandes d’Isonaturane participeront à soutenir les efforts du groupe en matière de naturalité de ses produits de maquillage et s’inscrivent dans le cadre des objectifs ambitieux de son programme de Développement Durable L’Oréal pour le Futur.
Ainsi, Ana Kljuic, Vice-Présidente R&I L’Oréal for the Future & Green Sciences, explique : « Notre investissement chez Global Bioenergies s’inscrit au cœur de notre engagement d’atteindre 95% d’ingrédients bio-sourcés, issus de minéraux abondants ou de procédés circulaires dans nos formules d’ici 2030. Par sa technologie très audacieuse qui devient maintenant une réalité industrielle, Global Bioenergies permet au monde de la cosmétique de gagner du terrain dans sa quête de naturalité, et, au-delà de la cosmétique, de participer activement à la transition environnementale. »
Daphné Galvez, Directrice commerciale de Global Bioenergies, déclare : « Nous concrétisons aujourd’hui les discussions menées de longue date avec certains acteurs spécifiques. Une nouvelle vague de commandes se prépare : à In-cosmetics, le grand salon mondial des ingrédients cosmétiques qui s’est tenu le mois dernier à Paris et où nous avons lancé commercialement l’Isonaturane 12, nous avons mené une centaine de discussions avec des acteurs de différentes natures : marques, façonniers, distributeurs. »

[podcast] Paris Packaging Week > la parole aux exposants innovants

A l’approche de l’ouverture des portes de la Paris Packaging Week, nous avons souhaité donner la parole à deux industriels. Beryl Trentin, responsable commerciale de VPI Faiveley Plast et l’un de ses clients, Antoine Rigaud, responsable des opérations de 900.care.

VPI Faiveley Plast est spécialiste de l’injection plastique. Fondée en 1931 et installée dans le Jura, VPI propose des solutions de bouchage, déostick, coffret, dispenser alliant finition et fonctionnalité pour les marchés du luxe, de la parfumerie, de la cosmétique et des spiritueux.

900.care est une marque de produits de salle de bain à recharger : gel douche, gel moussant pour les mains en bâtonnet à dissoudre, dentifrice en pastille à croquer ou déodorant à recharger. Pourquoi 900 ? Parce que 900, c’est le nombre de secondes que l’on passe en moyenne à prendre soin de soi chaque matin et chaque soir. Convaincue que ces 900 secondes devraient être aussi joyeuses que respectueuses de l’environnement, la jeune entreprise crée des produits bons pour soi et pour la planète.

Dernière innovation commune : un bain de bouche en pastilles effervescentes. Après avoir réalisé le bouchon des gels douches, l’étui rechargeable du déodorant solide et le distributeur de dentifrice, VPI a relevé le dernier défi de 9oo.care : son packaging rechargeable de pastilles de bain de bouche. Du côté de 900.care, on explique : « C’est un packaging malin. Les pastilles sont stockées dans le corps du flacon et le bouchon d’ouverture sert de gobelet doseur. L’utilisateur y dépose une pastille, ajoute de l’eau et obtient ainsi son bain de bouche. »

VPI Faiveley Plast et 900.care se retrouvent donc dans l’innovation responsable et attendent du salon de belles rencontres…

Expanscience lance une version liquide de Sweetone Bio, un actif correcteur d’imperfections, apaisant et unifiant

La forme poudre lancée en 2013 reste disponible ; ce n’est pas un remplacement mais un produit supplémentaire. La qualité et l’efficacité restent donc les mêmes.

Cette nouvelle galénique permet de répondre aux nouveaux besoins de ses clients. Le procédé de fabrication de la forme liquide de Sweetone Bio (extrait de Schisandra sphenanthera) est le même que celui de la forme poudre. Seule la méthode de stabilisation est différente : maltodextrine pour la forme poudre / glycérine pour la forme liquide.

La filière d’approvisionnement en baies de schisandra, desquelles sont extraites l’actif Sweetone Bio, est certifiée FairWild. Cette certification est délivrée aux ingrédients issus de végétaux collectés dans la nature. Elle garantit la durabilité des plantes sauvages et des ressources humaines.

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