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RSE : Gattefossé obtient deux distinctions majeures

Dans la continuité de son engagement RSE, Gattefossé reçoit la certification ISO 14001:2015 pour son site principal de production en France, et se place dans le top 1 % de la plateforme EcoVadis en recevant la médaille Platine. Deux reconnaissances qui démontrent, selon Gattefossé, la performance des actions mises en place dans le cadre de la démarche RSE du groupe, Gatt’Up&Act.

« C’est un fait : les grands changements climatiques, sociaux et sociétaux transforment le quotidien et appellent à la mobilisation. Aujourd’hui, la contribution de l’entreprise est clé dans la résolution des enjeux liés au développement durable, indique-t-on au sein de l’entreprise. Depuis plusieurs années, Gattefossé a inscrit la responsabilité sociétale dans sa stratégie de développement. Les actions de l’entreprise se voient aujourd’hui récompensées par deux distinctions majeures. »

ISO 14001 : la validation du système de management environnemental

C’est en octobre 2021, après deux années de travail, que Gattefossé obtient la certification ISO 14001 version 2015 pour son site principal de production de Saint-Priest (en région lyonnaise). Un certificat validé dès le premier audit par l’organisme de certification SGS. 

La mise en place de ce système de management environnemental, aujourd’hui certifié, vise à améliorer continuellement les performances de l’entreprise grâce à une utilisation plus rationnelle des ressources et à la réduction de ses déchets. L’entreprise s’engage dans une démarche d’amélioration continue afin de maintenir cette certification pour les prochaines années.

EcoVadis : une performance RSE confirmée

Un mois plus tard, le site de Saint-Priest reçoit le niveau Platine par EcoVadis pour son exemplarité en matière de RSE avec un score de 74/100. Ce résultat, fruit des efforts collectifs de l’ensemble des équipes, représente une augmentation de quatre points par rapport à 2020. Il permet à Gattefossé de se hisser aujourd’hui parmi le top 1% des entreprises évaluées par EcoVadis dans son secteur d’activité, sur les thématiques environnement, social & droits de l’homme, éthique et achats responsables.

« Ce bond en avant est la traduction d‘actions concrètes mises en place par l’entreprise sur des thématiques prioritaires : améliorer la traçabilité, la durabilité et la performance des matières premières, réduire les émissions carbone directes et indirectes, travailler sur l’écoconception des ingrédients en diminuant l’impact de leur fin de vie », indique-t-on au sein de l’entreprise.

Gattefossé utilise également EcoVadis pour évaluer la performance RSE de l’ensemble de ses fournisseurs liés à la production de ses ingrédients. Un outil clé pour encourager et accélérer les performances sociales et environnementales tout au long de la chaîne d’approvisionnement.

« Gattefossé a toujours eu une approche environnementale, sociale et sociétale dans ses activités. Aujourd’hui, ces deux reconnaissances permettent de matérialiser nos ambitions. L’ISO 14001 est un formidable outil de structuration qui va nous aider à atteindre nos objectifs stratégiques, en prenant en compte encore plus fortement les questions environnementales dans la gestion de l’entreprise. L’évaluation EcoVadis, nous permet de valoriser nos points forts et d’identifier nos axes d’amélioration. Ce sont aussi des moyens de valoriser le travail de nos équipes et d’accroître l’engagement de nos collaborateurs, tout en renforçant la confiance de nos parties prenantes vis-à-vis du groupe Gattefossé », indique Laurent Schubnel, responsable RSE du groupe.

Gatt’Up&Act : une feuille de route RSE

L’objectif premier de la RSE pour Gattefossé, est d’allier croissance durable et intérêt général afin de mener avec l’ensemble de sa sphère d’influence la transition vers un modèle économique conjuguant durabilité et performance. Cela se matérialise par la structuration des engagements RSE, autour de trois piliers phares :

  • Préserver l’environnement : réduire les impacts sur le climat, préserver les ressources et faire preuve de transparence.
  • Prendre soin des collaborateurs : améliorer la qualité de vie au travail, l’épanouissement et la sécurité de chaque collaboratrices et collaborateurs.
  • Agir en citoyen du monde : garantir des relations éthiques et s’engager pour le bien commun autour de la santé, de la science, de l’environnement et de la solidarité.

« Les préoccupations environnementales, sociales et sociétales ont toujours fait partie de la culture du groupe Gattefossé. Ces dernières années, notre démarche RSE s’est développée et structurée pour se positionner aujourd’hui au cœur de notre stratégie de développement. Nous considérons la RSE comme un levier de croissance, une source d’opportunité et d’innovation. Au travers de Gatt’Up & Act, nous souhaitons engager l’ensemble de nos parties prenantes pour agir au service du bien commun et de l’intérêt général. Je crois en la force du collectif et c’est ainsi que nous ferons la différence », souligne Ségolène Moyrand-Gros, présidente du groupe.

Des pots mono matériau pour un recyclage sans effort

Les emballages recyclables devraient être simples à recycler. Les contenants mono matériau facilitent le processus, car ils ne nécessitent pas de désassemblage. Quadpack, fabricant et fournisseur international d’emballages destinés aux produits de beauté, propose ses pots phare – la ligne QLine – en 100 % polypropylène (PP). Les gammes Regula, Konico et Soul proposent aux marques de beauté une sélection variée dans de ce matériau intégralement recyclable doublé d’une excellente compatibilité.

Fabriquées par injection en Europe dans les usines de Quadpack, les gammes sont proposées dans une grande variété de formes et de capacités. La personnalisation est possible avec un grand nombre de techniques de décoration telles que le contretypage couleur, la sérigraphie et le marquage à chaud. Les marques peuvent s’exprimer pleinement grâce au grand éventail de choix esthétiques disponibles, mettant en valeur leur ADN. 

La gamme comprend :

• Pot Regula PP : un pot classique disponible en contenance de 50, 100 et 200 ml.
• Pot Soul : une forme arrondie élégante disponible en format 100 et 200 ml.
• Pot Konico : une forme conique et fantaisie disponible en version 50 et 200 ml.

Les différentes contenances permettent de s’adapter à une vaste gamme de formulations, depuis les crèmes contour des yeux aux formules de soins pour le corps et les cheveux.

La stratégie de durabilité de Quadpack a pour but d’exercer un impact positif par le biais de ses employés, de ses processus et de ses produits. La conception d’emballages mono matériau est l’une de ses approches clés. Quadpack s’est fixé l’objectif de présenter un portefeuille QLine avec un haut niveau d’éco-conception d’ici 2025, conformément à un système d’évaluation basé sur des analyses du cycle de vie et des critères de durabilité.

Unipex rejoint les entreprises du « french business climate pledge »

Unipex, distributeur de matières premières, a initié sa démarche RSE il y a plus de 10 ans conscient depuis longtemps de la nécessité de s’engager pour une activité plus respectueuse de la planète. Il était donc « naturel » pour Unipex de se joindre à l’ensemble des sociétés françaises déjà engagées dans la lutte contre le changement climatique, via le « French Business Climate Pledge ». Une initiative collective porteuse, qui vise à mobiliser toujours plus d’acteurs économiques de l’hexagone ainsi que leurs filiales, sur des actions concrètes en faveur de la réduction des émissions de gaz à effet de serre.

Patrice Barthelmes, président d’Unipex, commente : « Nos convictions pour la transition écologique sont certaines et nos engagements encore plus forts aujourd’hui ! Unipex est très heureux d’être acteur de ce changement à travers cette initiative. »

Inspiré du modèle américain « Business Climate Pledge », ce manifeste pour le climat, français, rassemble près de 300 multinationales et PME, issues de secteurs variés : aviation, sidérurgie, banque-assurance, immobilier, pharmacie, etc. Lancée par le Medef en 2015 à l’occasion de la Cop21, le Climate Pledge a pour ambition de démontrer l’engagement tangible des entreprises dans la transition écologique. Si le mouvement comptait une centaine de signataires en 2017, il est aujourd’hui également porté par le collège des directeurs du développement durable, entreprises pour l’environnement (EpE) ou encore le Global compact et vise à rallier au moins 1000 membres.

« Dans un contexte où les événements climatiques extrêmes se multiplient sur tous les continents, la limite des +1,5°C est une réalité. L’engagement et l’action des entreprises pour l’atténuation du changement climatique sont incontournables », indique-t-on au sein de la société.

Unipex, conscient des enjeux climatiques de ses activités liées au transport, déploie depuis plus de huit ans une démarche environnementale probante, notée B par le Climate Disclosure Project (CDP), soit le meilleur de sa catégorie, et évaluée Gold par Ecovadis en 2020 pour la troisième fois.

Selon les statistiques, les transports, avec 137 Mt CO2 eq, restent depuis 1998 le secteur le plus émetteur de gaz à effet de serre. En 2018, les transports représentaient 31 % des émissions nationales de GES, mais diminuent aujourd’hui grâce à l’amélioration des performances énergétiques et la baisse du taux de CO2 des carburants des véhicules.

« Nous souhaitons faire de la RSE un critère différenciant d’Unipex apportant à ses partenaires une valeur ajoutée significative », indique Jean Mazeres, directeur général Sourcing Unipex.

Avec un objectif de réduction de 20 % de ses GES sur ses scopes 1 et 2 à fin 2021, Unipex dédie une large part de sa démarche RSE, au pilier « Planet » et à la performance de son bilan carbone, qui inclut le scope 3. Ses fournisseurs sollicitent l’entreprise pour un accompagnement. Unipex bénéficie de la reconnaissance de ses clients tels que l’Oréal, avec qui une collaboration constructive se développe sur l’aspect traçabilité des matières premières.

Verescence accélère sa transition énergétique avec l’électrification de ses fours

Verescence, leader mondial du flaconnage en verre pour les industries de la parfumerie et de la cosmétique, précise sa feuille de route de décarbonation déposée en octobre 2021 à SBTi*, en annonçant l’électrification de ses fours. Le four 1 de l’usine de Mers-les-Bains sera le premier four du Groupe à utiliser cette technologie en 2025. 

Conformément à son action de longue date en faveur du climat, Verescence s’était déjà engagé en 2020 dans le projet de R&D VERCANE (VERre CArbone NEutre), soutenu par l’ADEME, visant à identifier les différentes sources d’énergie capables d’alimenter la production de verre de manière durable, y compris l’électrique. 

L’électrification progressive de ses sept fours de fusion en France, en Espagne, aux États-Unis et en Corée du Sud, constitue une étape clé pour atteindre l’objectif de Verescence de réduire ses émissions de CO2 de 40% à horizon 2034. À noter qu’entre 2016 et 2019 Verescence a déjà baissé ses émissions de 10%.   

Le projet verra le jour lors de la reconstruction du four 1 de l’usine de Mers-les-Bains dans trois ans. 

Hélène Marchand, Directrice Générale France, indique : « Je suis très heureuse d’annoncer cette évolution majeure qui nous permettra de diviser par deux nos émissions de CO2 en moins de 10 ans en France, et nous rapprocher encore davantage de notre ambition zéro carbone à horizon 2050. Notre nouveau four 1 électrique sur lequel nous travaillons depuis plus d’un an sera le four pilote du Groupe ». 

Verescence, pionnier des verres éco-conçus (lancement en 2008) se classe parmi les entreprises les plus performantes de l’évaluation EcoVadis depuis trois ans déjà, et a annoncé en décembre dernier l’obtention de la note A par le CDP pour sa gestion de l’eau et la note A- pour son action en faveur du climat. 

 * En janvier 2020, Verescence a figuré parmi les premières entreprises du secteur des emballages à s’engager à fixer d’ici 2022 un objectif de réduction des émissions de gaz à effet de serre (GES) aligné sur la trajectoire du scénario well-below 2° Celsius de l’initiative Science Based Targets (SBTi). 

Naolys, médaille d’or EcoVadis

Naolys, spécialiste en actifs issus de la culture cellulaire dédiés à l’industrie cosmétique, a reçu la médaille d’or EcoVadis pour l’année 2021. L’agence de notation EcoVadis évalue l’intégration des principes de la responsabilité sociale des entreprises (RSE) dans l’ensemble de leurs activités, au niveau social et environnemental. Cette médaille classe Naolys dans les 5 % des entreprises les plus performantes en RSE notées par EcoVadis.

« Nous sommes très heureux de cette notation qui démontre les efforts de l’ensemble de nos équipes pour prendre en compte de nouveaux objectifs et renforcer nos relations avec nos parties prenantes. Nous allons poursuivre dans cette voie insufflée par notre biotechnologie, à l’origine même de Naolys », déclare Rachid Ennamany, CEO de Naolys.

Naolys est une société indépendante française spécialisée dans le développement d’actifs dédiés à l’industrie cosmétique, fabriqués en Gironde, par culture cellulaire végétale. Créée en 2003, elle opère en France et dans le reste du monde via un large réseau de distribution dédié. Engagée dans la protection de l’environnement et de la biodiversité, Naolys offre une gamme d’actifs conforme au référentiel Cosmos Naturel.

Verpack soutient la croissance d’un acteur agroalimentaire

La gamme “Les chocolats de Pauline” marque un nouveau chapitre pour Saveurs & Nature et ses chocolats bios. En 2020, la société, déjà présente dans plus de 25 pays, décide de relancer la marque “Les chocolats de Pauline” avec un nouvel habillage empreint de naturalité pour valoriser les caractéristiques 100 % bio des produits. Le groupe Verpack s’engage dans l’aventure. Il prend en charge l’ensemble des packagings de la gamme, de l’étui unitaire au calendrier de l’Avent, soit plus de 40 références. Pari tenu dans un esprit premium et responsable conforme aux piliers de la maison.

Investi aux côtés de la marque, le groupe Verpack a géré le développement packaging de l’ensemble de la gamme Pauline, en respectant ses valeurs de l’écoconception. L’ensemble est fabriqué à partir d’un carton non couché issu de forêts durablement gérées. Les papiers de création sont issus de la collection Fredrigoni. Les décors aux teintes multiples sont réalisés en marquage à chaud. Compléments d’information avec deux questions posées à Verpack…

Coffret de soin ou coffret de gourmandises, existe-t-il des différences industrielles dans la façon de produire vos coffrets ?

Pas fondamentalement, cependant pour les coffrets de gourmandises nous faisons très attention à deux points supplémentaires. La neutralité olfactive du coffret (ne pas polluer les chocolats par une éventuelle odeur de carton, d’encre, de vernis ou de colle). Les certificats d’alimentarité des composants du coffret si contact direct avec le produit et la certification HACCP si demandée par le client. Dans tous les cas une analyse de risques est nécessaire

L’innovation croisée entre agroalimentaire et cosmétique existe. Mais dans quel sens s’opère-t-elle pour le groupe Verpack ?

Dans les deux sens, l’innovation sur un secteur peut évidemment profiter à un autre secteur. C’est très souvent les cas entre cosmétiques et vins et spiritueux…

Plus sur le web : www.verpack.fr

Texen lance une collection de palettes rechargeables

Le groupe Texen s’attache à proposer aux marques des solutions innovantes et responsables favorisant la transition écologique de l’emballage. Dans sa collection Be Green, Texen Beauty Partners ajoute une gamme de palettes de maquillage rechargeables ainsi qu’une collection de suédines à personnaliser. 

Par ces développements, Texen vise des axes clefs de l’économie circulaire : choix de matériaux biosourcés et nouvelle approche de la durée de vie des produits.

Un boîtier durable 

Destinée aux poudres pressées pour le teint ou le maquillage des yeux, la nouvelle collection de Texen Beauty Partners est composée de trois modèles de palettes disponibles en formats standards. Leur concept repose sur un système de godets aimantés dans lesquels on insère des recharges de formules amovibles. Le godet s’extrait facilement de son logement grâce à une minuscule perforation au dos du boîtier dans lequel il suffit d’insérer une fine tige métallique.

Par cette fonctionnalité, les marques peuvent initier divers modes de consommation : une palette rechargeable et personnalisable qui pourrait être vendue en coffret, accompagnée de plusieurs recharges de poudre (blush, solaire, fond de teint). Enfin, ce produit pourrait être le parfait candidat du mix and match : le consommateur achète sa palette vide et la compose de ses couleurs préférées, en magasin ou en ligne.

Matières premières

Cette collection peut être produite en matière vierge ou recyclée, mais surtout en bio PET issu de déchets de canne à sucre. Composé de déchets recyclés (20 %) et de plastique vierge PET (80 %), le Bio PET permet donc de réduire de manière significative l’utilisation de l’énergie fossile. De surcroît, elle limite les contraintes techniques en phase de transformation et respecte davantage le rendu de teintes délicates comme le blanc (comparé aux matériaux recyclés de type RPET).

Bonne impression

Ce modèle de palette convient à plusieurs types d’impression : sérigraphie, marquage à chaud ou encore impression digitale, une technique idéale pour donner du relief aux décors et de la précision aux détails.

Côté design, outre un décor extérieur imprimé, le miroir ou les poudres pressées sont également personnalisables (logo, motif…).

Le bonus qui emballe

Texen Beauty Partners a conçu une collection de suédines comme une valeur ajoutée à son offre de maquillage, palettes, compacts, rouges à lèvres, applicateurs, etc. Ces pochettes sont fabriquées en RPET. Elles se déclinent en velours, toile de coton ou flanelle, et dans toutes les teintes, pour des décors exclusifs en marquage à chaud.

IFF annonce deux nominations au sein de l’équipe parfumerie fine

IFF annonce l’arrivée de David Suffit-Reedman, en tant que directeur de son centre créatif parfumerie fine à Neuilly-sur-Seine. Fort de dix années passées au développement olfactif chez L’Oréal dans le cadre de la cellule olfactive (Ralph Lauren, YSL, Armani), puis en maison de parfum à la direction du développement, David apportera à IFF sa compréhension des enjeux de la création, techniques comme créatifs. Dans son nouveau rôle, il aura sous sa responsabilité les départements des Scent Design Managers, ainsi que Technologie et Innovation pour le centre créatif de Neuilly. 

Evelyne Da Silva est quant à elle nommée directrice créative parfumerie fine d’IFF à Neuilly-sur-Seine. Diplômée de l’ISIPCA, entrée chez IFF en 1992, Evelyne oeuvre depuis 30 ans au développement olfactif de nombreux succès internationaux, dernièrement en tant que Senior Scent Design Group Manager (évaluation). Evelyne aura sous sa responsabilité l’équipe des parfumeurs fine fragrance et les opérations d’IFF à Neuilly. Elle reprend le poste de Catherine Bru, qui prend sa retraite après une brillante carrière et plus de 30 ans chez IFF. 

Cosmogen habille la crème yeux Premier Cru de Caudalie

Caudalie a retenu le nouveau Tube Tense de Cosmogen pour sa crème yeux Premier Cru. 

La promesse de Caudalie pour cette crème : illuminer le regard et corriger huit marqueurs de l’âge, sans compromis : pattes d’oie, poches, rides des lèvres, ridules, cernes, nutrition, hydratation, éclat. 

L’un de ses atouts : son embout massant qui « décongestionne, lisse et réduit les poches pour un regard visiblement plus jeune. » Un embout amovible qui illustre l’engagement éco-responsable de Caudalie.

Le Tube Tense de Cosmogen est un packaging breveté, disponible en plastique recyclé, avec un applicateur retirable et réutilisable. Il a été conçu en suivant les trois axes de développement chers à Cosmogen : durabilité, sécurité, expertise.

500 000 euros de subvention accordés à Global Bioenergies par la Région Grand Est

Global Bioenergies se voit attribuer 500 000 euros de subvention pour terminer la construction de l’unité de Pomacle et lancer la commercialisation à destination des industriels de la cosmétique.

Global Bioenergies – qui a développé un procédé innovant de conversion de ressources végétales en une famille de composés utilisés en cosmétique – a annoncé au printemps dernier la décision de construire une unité de production sur le site de Pomacle, près de Reims. La première phase des travaux a été lancée à l’été 2021, et permettra de démarrer la production dès mars 2022.

La seconde phase des travaux permettra à l’unité d’atteindre sa pleine capacité, soit environ 100 tonnes par an d’isobutène, dont les dérivés viseront le marché du maquillage, le premier marché sélectionné par la société en raison de ses prix élevés.

Le soutien financier de la Région Grand Est, via l’octroi d’une subvention de 500 000 euros dans le cadre du Plan France Relance, couvre la moitié de la seconde phase de construction de cet outil industriel et renforce les liens historiques entre Global Bioenergies et le territoire du Grand Est. Elle concourt au dynamisme du tissu industriel local par l’investissement dans des outils de production innovants.

Marc Delcourt, directeur général, déclare : « Nous remercions la Région Grand Est pour son soutien précieux. Notre marque Last a repoussé les limites de la naturalité dans le maquillage, et le lancement prochain de ce nouvel outil industriel va nous permettre de répondre à la quête de naturalité des grands acteurs de la cosmétique. »

Samuel Dubruque, directeur administratif et financier, complète : « Nous travaillons en parallèle à l’obtention d’autres financements publics, de plus grande ampleur : au-delà de la cosmétique, notre technologie peut être utilisée pour de nombreuses applications dans les matériaux et les carburants. En particulier, la décarbonation du transport aérien fait partie de la liste des 10 objectifs prioritaires de la France : notre procédé se distingue radicalement des autres options techniques et porte la perspective d’être l’un des plus compétitifs au monde. »

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