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Coverpla participe à la renaissance des parfums Via Dei Mille

Via Dei Mille est la renaissance d’une histoire de famille née dans les années 50 en Sicile. Stefano Alderuccio, petit-fils du fondateur, rend hommage aux essences rares de la Sicile, à ses traditions à présent portées par le talent de parfumeurs-créateurs grassois. Les parfums de la collection Ianco s’expriment dans la blancheur dont ils ont pris le nom dans un vieux dialecte sicilien et au détour de subtiles arabesques qui estampent le papier du coffret.

Poésie baroque

Coverpla aura eu le plaisir de partager cette aventure familiale, prenant en charge le packaging des trois parfums. Le choix de la marque s’est porté sur le flacon Laura (100 ml) dessiné par Coverpla et réalisé par Bormioli Luigi. Sa forme ronde et épurée, à la fois droite et puissante est rehaussée d’un capot Vintage chapé noir mat décoré en une passe de sérigraphie. Coverpla a également fourni la pompe et le cache pompe pour un développement global.

La Fondation Ellen MacArthur place L’Occitane en Provence parmi les marques les plus engagées

La Fondation Ellen MacArthur a publié son rapport d’étape 2021 portant sur l’Engagement Mondial de la Nouvelle Économie des Plastiques qui mesure les progrès réalisés en matière d’économie circulaire des plastiques par les entreprises, gouvernements et autres organisations signataires. Fort de résultats probants et d’objectifs ambitieux, L’Occitane en Provence figure comme une des marques les plus engagées dans ce domaine et assume un rôle de leader parmi les entreprises du secteur cosmétiques. 

« Cette distinction a beaucoup de valeur pour nous. Elle confirme le bien-fondé des stratégies et des actions mises en place en matière de gestion des plastiques et, simultanément, nous encourage à faire encore mieux », commente David Bayard, Directeur R&D Packaging. 

Depuis 2019, la Fondation Ellen MacArthur publie annuellement son rapport Engagement Mondial de la Nouvelle Économie des Plastiques. Il constitue une base de référence qui mesure les progrès en matière d’économie circulaire des plastiques. Grâce à des données clés (telles que volumes d’emballage ou part de contenu recyclé), il apporte un niveau de transparence sans précédent. Les entreprises signataires sont notamment engagées à éliminer les emballages « problématiques » et de multiplier par cinq l’utilisation de plastiques recyclés entre 2019 et 2025. De même, la Fondation appelle par ce biais à davantage d’actions en matière d’élimination, de réutilisation et d’innovation ainsi qu’au développement de pratiques circulaires pour éviter les déchets et la pollution. 

Cultiver le changement 

L’Occitane en Provence est convaincue que consommation et régénération sont indissociables. Aussi, en tant qu’entreprise cosmétique internationale, elle assume le rôle de « cultivateur de changement » qui guide ses actions à tous niveaux, dès la phase de conception et de production des emballages. 
En signant l’Engagement mondial de la nouvelle économie des plastiques en 2019, L’Occitane en Provence doit faire acte de transparence et chercher à se dépasser. Ainsi, entre 2018 et 2025, la marque vise à atteindre une part globale de 40% de plastique recyclé dans tout ce qu’elle produit – cette proportion atteint aujourd’hui 21,4% – ainsi qu’une réduction de 10% du poids total annuel de plastique utilisé (quelle que soit la croissance de son activité). La marque s’est aussi fixé un ambitieux objectif 3 x 100% à l’horizon 2025 : 
• 100% de flacons en plastique issus de matériaux recyclés 
• 100% d’emballages en plastique recyclables, réutilisables ou compostables 
• 100% de ses boutiques en propre proposant un service de recyclage. 

Trois axes d’intervention 

Les objectifs de la Fondation Ellen MacArthur s’inscrivent intégralement dans l’engagement de réduction des déchets de L’Occitane en Provence dont les actions sont mises en oeuvre autour de trois axes d’intervention. 

Réduire – réduire les déchets et améliorer la durée de vie des produits 

De manière générale, L’Occitane en Provence cherche à se passer des plastiques à usage unique et superflus. Raison pour laquelle elle s’est notamment engagée à réduire de 10% le poids total annuel de plastique utilisé d’ici 2025 ou à supprimer complètement les cellophanes de ses produits d’ici 2022. 
De même, le groupe propose des shampooings sous forme solide – une alternative citée en exemple par la Fondation Ellen MacArthur dans la première section de son rapport. Dédiée à l’élimination des plastiques, elle constitue pour l’ONG l’axe d’intervention le plus déterminant. 
L’Occitane en Provence réduit également ses déchets en déployant progressivement à l’international depuis 2021 des « fontaines à vrac » qui prolongent l’engagement de la marque à conjuguer simplicité et innovation. Parmi cinq produits iconiques, les clients sélectionnent le volume de recharge souhaité (250ml ou 500ml) et remplissent leur bouteille Forever en aluminium léger, recyclable et 100% recyclé. Ces fontaines éco-conçues permettent d’économiser 94% de plastique par rapport aux emballages classiques. 
Enfin, L’Occitane propose également 25 de ses best-sellers en écorecharges : des conditionnements qui représentent en moyenne 85% de plastique en moins qu’une bouteille conventionnelle et permettent d’économiser environ 200 tonnes de plastique chaque année. D’ici 2025, les écorecharges 100% recyclables amélioreront ces résultats. 

Recycler – vers une économie circulaire 

Outre ses actions, la marque utilise depuis 10 ans pour sa gamme de soins capillaires Aromachologie des flacons fabriqués avec du PET recyclé à 100%. Les bouteilles de savon liquide de 300ml et 500ml sont également fabriquées à partir de plastique 100% recyclé. Dans le catalogue L’Occitane, 65 références sont en plastique 100% recyclé. 

Réagir – encourager l’utilisation responsable et durable du plastique 

Pour poursuivre la réflexion au-delà de sa chaîne de valeur, L’Occitane s’associe aux entreprises et organisations les plus innovantes pour lutter contre la pollution environnementale. A ce titre, elle s’implique dans des projets d’avant-garde et engagés comme l’expédition Plastic Odyssey, SPICE ou BeMed. 
En juin 2021, le groupe a rejoint plus de 150 acteurs liés au secteur des emballages (entreprises, ONG, experts, associations) pour répondre à l’appel à la responsabilité des producteurs (EPR – Extended Producer Responsibility) lancé par la Fondation Ellen MacArthur. Cette initiative entend notamment les engager à mettre en oeuvre des systèmes de collecte obligatoires et payants permettant de couvrir les frais et, in fine, d’assurer le tri et le recyclage des emballages dans un contexte d’économie circulaire. 

La start-up Lyophitech lève des fonds pour accélérer son développement industriel

Créée en 2017 par Jean Delaveau, la société Lyophitech a inventé et breveté un nouveau procédé de lyophilisation. L’entreprise lyonnaise a réalisé une augmentation de son capital en septembre dernier avec une levée de fonds de 570 k€ réalisée auprès d’une vingtaine de business angels. Ce financement lui permettra de structurer son outil industriel et d’accélérer son développement commercial notamment sur les marchés de l’agroalimentaire, de la cosmétique et de la santé.

Lyophitech révolutionne un procédé ancien au profit d’une lyophilisation dynamique plus rapide, simple et économique. L’invention démocratise un procédé permettant de valoriser la naturalité des ingrédients, en préservant leurs qualités organoleptiques, nutritives et leurs principes actifs. Les liquides sont restitués sous forme de billes, ce format simple à manipuler, moins volatil, améliore aussi la réhydratation par rapport aux poudres.

Cette levée de fonds intervient alors que Lyophitech souhaite accélérer son développement et ses volumes de production. L’entreprise est dotée depuis 24 mois d’une unité pilote de 50 litres. Les financements permettront de commanditer, pour un investissement total de 2,7 millions d’euros, la construction de trois nouvelles machines et de s’installer dans des locaux industriels de l’ouest lyonnais (avec notamment un environnement d’atmosphère contrôlée). Constituée actuellement d’une équipe de neuf collaborateurs, l’entreprise passera donc de la R&D à la production industrielle à partir d’avril 2022.

Cette première levée de fonds de 570 k€ a été menée auprès de business angels, fédérés pour moitié dans le réseau Hara (Health Angels Rhône-Alpes). L’arrivée de ces nouveaux investisseurs régionaux au capital permet d’accompagner le déploiement industriel au premier trimestre 2022 et la création de nouveaux emplois. Depuis la rentrée, Lyophitech a déjà recruté quatre personnes aux postes de responsable commercial, commercial, chargé de QSE et électromécanicien-programmeur.

D’ici fin 2021, des postes de technicien de laboratoire (microbiologiste), ingénieur process, responsable d’atelier et office manager, sont à pourvoir. À ceux-ci s’ajouteront en 2022 les opérateurs sur les lignes de façonnage industriel. Lyophitech ambitionne de recruter au total une trentaine de collaborateurs d’ici 2025. En effet, le potentiel du marché s’élève actuellement à 60 milliards d’euros pour 8 % de croissance et l’entreprise prévoit un CA de 700 000 euros en 2022 et 6,5 millions d’euros à l’horizon 2025 (pour un volume de 750 tonnes séchées annuelles).

« Cette levée de fonds est un tournant nécessaire qui nous permet de financer notre développement de la R&D à la phase de production industrielle. L’enjeu est de ‘scaler’ l’entreprise et d’exploiter notre technologie, aujourd’hui mature, en investissant dans des outils de production performants. Nous sommes enthousiastes à l’idée de rentrer dans cette nouvelle étape du projet et nous avons d’ores et déjà d’autres pistes de développement. Nous prévoyons en effet l’agrandissement du parc à six machines, l’expansion sur le territoire français, le développement d’autres brevets, etc. », explique Yann Neymarc, directeur général de Lyophitech. Et d’ajouter : « Les attentes du marché sont très importantes car la technologie statique et les équipements actuellement disponibles sur le marché sont saturés. Nous avons de nombreuses demandes entrantes des différents secteurs que nous visons, et nous avons hâte de pouvoir y répondre. »

Dior a fait confiance à l’expertise de Cosmogen

Dior a fait confiance à l’expertise de Cosmogen en sélectionnant le Tube tense pour Capture Totale Super Potent Eye Serum. Il procure un effet fraîcheur grâce à son applicateur ergonomique en métal, idéal pour le contour des yeux et qui évite tout contact entre le visage et la main. 

Le Tube Tense de Cosmogen est un packaging breveté, disponible en plastique recyclé, avec un applicateur retirable et réutilisable. « Une solution Beauté Experte. »

Depuis plus de 35 ans, Cosmogen se positionne en expert mondial des solutions d’application innovantes et brevetées pour les marques de cosmétique. Son expertise est reconnue sur quatre métiers complémentaires : les packagings avec applicateurs intégrés, les pinceaux, les accessoires d’application et le dispensing, destinés aux soins de la peau, au maquillage, au parfum et aux cheveux.

Son département ID « Innovation & Développement » détecte et anticipe les tendances de marchés pour développer des produits innovants et brevetés, centrés sur l’application experte de formules cosmétiques, visant à créer une expérience consommateur nouvelle ou agir sur l’efficacité et l’usage.

En ligne avec sa démarche RSE, 100 % des innovations de Cosmogen respectent au moins un des 5R : Reduce, Recycle, Renew, Refill, Reuse. Cela se traduit notamment par des packs et des applicateurs démontables, recyclables et/ou rechargeables. 100 % de l’équipe a été formée par le pôle éco conception aux exigences de la RSE dans l’innovation et Cosmogen a développé un logiciel interne d’analyse de cycle de vie de ses produits.

La société Cosmogen a été évaluée EcoVadis argent et a réalisé son bilan carbone assorti d’un plan d’actions pour diminuer son empreinte. Cosmogen est présent en Europe, en Amérique du Nord, en Amérique latine, et en Asie pour accompagner ses clients dans leurs projets, en étant guidé par une motivation forte : Innovate to inspire.

TiL, marque de beauté et bien être au tilleul, s’appuie sur un soutien régional

Pour accompagner son développement, TiL a choisi d’ouvrir son capital de façon minoritaire à des investisseurs financiers régionaux. 

L’ancrage territorial étant au centre de la marque qu’elles ont fondée, Odile Polette, présidente de TiL, et sa sœur Sylvie Polette, directrice générale, ont tenu à être entourées dans leur tour de table par des acteurs économiques locaux.

Sont entrés au capital de TiL Charente-Périgord Expansion, filiale de capital investissement du Crédit Agricole, pour être à leurs côtés dans les prochaines étapes d’essor de la marque, en France et à l’Export, ainsi qui des business angels périgourdins, issus en partie du secteur de la beauté.

« En tant qu’acteur du territoire, soucieux de la régénérescence du tissu économique local par de jeunes entreprises innovantes et audacieuses, nous sommes très fiers de pouvoir intégrer l’aventure, aux côtés de l’équipe TIL et de business angels particulièrement aguerris à l’univers du luxe, de la cosmétique et de la parfumerie. Le fort ancrage territorial du projet conjugué au grand professionnalisme des femmes et des hommes qui l’anime ont été déterminants pour CPE », indique-t-on au sein de Charente-Périgord Expansion.

Lancée en septembre 2021 par Odile et Sylvie Polette et leur associé Bertrand Tupin, TiL est « une marque premium de beauté et de soin de soi pour la peau, le corps et l’esprit. » Elle est élaborée à partir du tilleul récolté dans le domaine familial des sœurs Polette, au cœur du Parc naturel régional Périgord-Limousin, en Dordogne.

Après quatre ans de recherche et développement menés avec des experts scientifiques de l’industrie de la beauté, les cosmétiques de TiL répondent aux fortes attentes de bien-être, authenticité et traçabilité post crise sanitaire.

Au-delà de l’ouverture de son capital, TiL a reçu, depuis sa création mi 2020, l’entière adhésion, et a été fortement soutenue, par les différentes instances régionales publiques avec des subventions de la Région Nouvelle Aquitaine, de la BPI régionale, et des prêts d’honneur de Périgord Développement et d’Initiative Périgord. Grâce à cet engagement territorial, TiL dispose aujourd’hui de moyens en cohérence avec les ambitions de développement de la marque.

Manager des affaires réglementaires des parfums et cosmétiques : focus sur le Mastère spécialisé

Les étudiants du Mastère spécialisé en management des affaires réglementaires des parfums et cosmétiques de l’EBI avec son partenaire Isipca se réuniront au congrès « parfums & cosmétiques enjeux réglementaires » à Chartres les 1er et 2 décembre. L’occasion de mettre en lumière ce métier peu connu et pourtant indispensable pour protéger le consommateur et permettre les échanges internationaux.

Méconnu du grand public, le métier de responsable des affaires réglementaires a une importance capitale car il assure la sécurité et la conformité des parfums et cosmétiques avant leur mise sur le marché. En effet, la réglementation cosmétique est en constante évolution afin d’assurer la sécurité d’un produit pour la santé humaine : améliorer la performance environnementale et sociétale des produits via le Green Impact Index, garantir la sécurité du consommateur en veillant à l’innocuité et la conformité (perturbateurs endocriniens, microplastiques, allergènes, mutagènes…), intégrer les enjeux réglementaires (biodiversité, recyclage, impacts industriels, sourcing responsable…), anticiper les évolutions des politiques économiques (exigences réglementaires, import-export, barrières techniques douanières, tensions internationales) sont autant de sujets d’actualité que ces professionnels doivent intégrer parfaitement et qu’il leur faut mettre à jour régulièrement.

Le Mastère spécialisé en management des affaires réglementaires des parfums et cosmétiques, labellisé par la conférence des grandes écoles et porté par l’EBI – École de biologie industrielle (grande école d’ingénieurs privée d’intérêt général, spécialisée dans l’application des biotechnologies aux secteurs de la santé, de la beauté, du diagnostic, de l’alimentaire et de la transition écologique et sociétale) en co-pilotage avec l’Isipca (école de la CCI Paris Ile de France, et référence nationale et internationale dans l’industrie du parfum, de la cosmétique et de l’aromatique alimentaire) ouvre aux différents métiers de la sécurité et de la réglementation sur l’ensemble des métiers du secteur cosmétique : du fournisseur de matières premières au distributeur dans les domaines de la parfumerie et de la cosmétique. Les deux écoles apportent leurs compétences respectives dans leurs domaines d’expertise. Les enseignements de l’EBI sont relatifs à l’expertise de ses professeurs principalement les matières premières, la toxicologie, la physiologie de la peau et le management. L’Isipca enseigne la réglementation et la parfumerie. Les étudiants de ce MS auront l’opportunité cette année de participer activement au congrès national « parfums & cosmétiques – enjeux réglementaires » de Chartres afin de se mettre à jour sur les réglementations qui les concernent, de dialoguer avec les autorités officielles nationales et internationales et de rencontrer leurs futurs collègues en poste en entreprise.

Totalement impliqués pour ce congrès, ils auront la charge de rédiger les comptes-rendus des présentations durant les deux jours de conférences sur les thèmes et actualités de la profession.

Organisé depuis 2003, ce congrès est une référence européenne. Il réunit les industries de la parfumerie et des cosmétiques, les fabricants d’ingrédients, les fournisseurs ainsi que les fédérations professionnelles. À cette occasion, et comme chaque année depuis la création de ce congrès, les élèves de ce MS ayant terminé leur cursus recevront leur diplôme à l’issue du congrès.

Une réforme de la formation pour répondre aux exigences internationales

Parce que la réglementation internationale est de plus en plus contraignante, l’EBI a actualisé cette formation en 2020 en la déployant à 80 % en anglais, 100 % à distance. Les candidats internationaux peuvent l’intégrer via le réseau « n+i », un consortium d’une cinquantaine de Grandes Écoles d’Ingénieurs françaises qui permet aux étudiants étrangers de trouver une formation pointue et adaptée à leur projet de carrière.

« Nous avons imaginé ce Mastère Spécialisé il y a près de 10 ans, et sommes fiers de la porter avec notre partenaire Isipca. À Chartres, tous les acteurs de la profession qui accueillent en stage de fin d’études nos étudiants, et les embauchent en leur confiant d’emblée des responsabilités au niveau international sont présents et se comportent en mentors et recruteurs vis-à-vis de nos étudiants. Les entreprises du secteur cosmétique sont déterminées à mettre en marché des produits efficaces et respectueux des consommateurs, de la biodiversité et de l’environnement. Les responsables réglementaires sont à l’écoute de ces tendances actuelles et émergentes. Ils jouent le rôle fascinant de médiateurs entre le marketing, la R&D, la qualité et la production, en défendant toujours l’éthique et le durable. Beaucoup de nos ingénieurs, les anciens de ce Mastère et nos futurs Bachelors se retrouvent tous les ans à ce congrès et deviennent les mentors de chaque jeune diplomé.e qui choisit ce métier. » précise Florence Dufour, directrice générale de l’EBI.

Les candidats à cette formation, diplômés d’un Bac+5, pourront suivre cette formation directement après leurs études ou après une expérience professionnelle pendant deux semestres afin d’acquérir des compétences et une expertise en réglementation et sécurité, liées aux ingrédients et aux matières premières composant les parfums et cosmétiques. Les enseignements sont délivrés par des professionnels et des experts de nombreuses entreprises partenaires parmi lesquelles : Guerlain, LVMH, Christian Dior, Laboratoires M&L-L’Occitane, Chanel Parfums Beauté, IFF, Symrise, Laboratoires Ingrid Millet, Johnson&Johnson Santé Beauté France, Pierre Fabre Dermo-Cosmétique, Carrefour Beauté.

Un projet de recherche en entreprise via un stage de 5 à 6 mois vient compléter la formation. Les étudiants de la dernière promotion ont obtenu un poste de responsable des affaires réglementaires dans différentes entreprises notamment Alban Muller, Umanis, Groupe MUL, Pierre Fabre, Occitane et Delphic HSE Safety & Regulatory Solutions.

Weleda est certifiée B-Corp

Weleda a obtenu la certification B-Corp (Certified Benefit Corporation), ce qui lui permet d’intégrer un mouvement international d’entreprises aux valeurs et normes élevées ancrées dans leurs statuts. Alors que 80 points sont nécessaires pour obtenir la certification B-Corp, Weleda a obtenu 106,9 points. 

La certification B-Corp est décernée par l’organisation à but non lucratif B Lab et permet d’évaluer les actions et l’approche globale des entreprises et leur impact. L’accent est mis sur leurs contributions au niveau social, sociétal et environnemental, et réconcilie activité économique et intérêt collectif. Cette certification atteste des engagements pris vis-à-vis de l’environnement, de la biodiversité, de la protection des espèces et du climat, des droits de l’homme, des employés et des clients. « A force for good », ainsi se résume cette démarche pour B Lab. Le mouvement mondial B-Corp est né aux États-Unis dans le but de faire de notre planète un monde meilleur.

« “Œuvrer pour la santé et la beauté en harmonie avec l’être humain et la nature” » est la mission de Weleda. L’entreprise est guidée par ce principe depuis sa création en 1921 et a toujours placé la durabilité au-dessus du profit. Servir l’environnement et le bien commun est également ancré dans les statuts de l’entreprise. Devenir une B-Corp certifiée est une nouvelle étape pour Weleda. Les B-Corps répondent aux normes certifiées les plus élevées en matière de performances sociales et environnementales, de transparence et de responsabilité. En renouvelant sa certification tous les trois ans, Weleda s’est engagée dans un processus qui vise des normes toujours plus élevées et une amélioration continue », indique-t-on au sein de la société.

Favoriser un changement de paradigme au niveau mondial

À l’échelle mondiale, plus de 4 000 entreprises certifiées B Corp, issues de plus de 150 secteurs et de 74 pays, défendent désormais une économie plus inclusive et durable. Parmi les exemples les plus connus, citons Patgonia, Fairphone et Ben & Jerry’s. Pour obtenir la certification, Weleda a dû répondre à de nombreuses questions et fournir des documents sur tous les aspects de l’entreprise.

Plus de 100 employés ont été impliqués dans le processus. B Lab reconnaît l’engagement de Weleda en faveur d’un mode de vie durable, par exemple dans ses cosmétiques naturels certifiés et les relations équitables qu’elle entretient avec ses partenaires pour ses approvisionnements en matières premières végétales dans le monde.

Les consommateurs sont de plus en plus conscients de l’impact de la consommation sur notre planète et notre société, et exigent que les entreprises agissent. En tant que pionnier des cosmétiques naturels certifiés et des médicaments homéopathiques issus de la médecine d’orientation anthroposophique, Weleda prend cette responsabilité au sérieux : « La durabilité est au cœur de nos activités et elle est ancrée dans notre objectif d’entreprise. Être en harmonie avec la nature et les hommes n’est possible que si nous sommes une entreprise responsable et durable. La certification B-Corp nous aide à communiquer nos normes élevées et notre philosophie dans le monde entier. Sur nos principaux marchés, Weleda est déjà reconnue comme l’une des principales marques de cosmétiques naturels responsables. Nous voulons encore obtenir cette reconnaissance dans d’autres pays, ainsi que pour notre activité pharmaceutique », déclare Michael Brenner, membre du conseil exécutif de Weleda et responsable du développement durable.


Un Sustainable Beauty Award

Durant le Sustainable Cosmetics Summit 2021, les laboratoires Weleda ont été récompensés pour leurs engagements environnementaux. Ils ont remporté le « Sustainable Beauty Award » dans deux catégories : Sustainable Leadership et Sustainable Pioneer. Depuis 2012, ce prix valorise les entreprises du monde entier oeuvrant pour le développement durable dans l’industrie cosmétique.

Le jury a également montré son intérêt pour le projet « déballage » de Weleda, qui, pour un nombre défini de supermarchés bio, consistait en l’installation d’un dispositif permettant d’accéder aux produits corporels sans emballages. Les clients pouvaient ainsi remplir un récipient réutilisable. Ce projet a permis à Weleda de figurer dans le top 5 des finalistes de la catégorie « Sustainable Packaging ».

Énergie Fruit lance une plateforme pour retracer le parcours de ses produits grâce à la blockchain

Le groupe Bloomup est spécialisé dans la création, la commercialisation et la distribution de produits parapharmaceutiques et cosmétiques naturels. Dans son portefeuille : Énergie Fruit, une marque d’hygiène beauté innovante qui démocratise les formules naturelles et les éco-gestes beauté du futur. 

Énergie Fruit est une marque engagée. Distribuée en grande distribution, parapharmacies et e-commerce, elle est pionnière sur le vegan, le cruetly free, le made in France mais aussi la transparence de ses formulations. Aujourd’hui, elle renforce ses engagements auprès des consommateurs et des distributeurs.

Déjà plébiscitée pour sa proximité avec ses clients et sa communauté, la marque va encore plus loin pour répondre aux enjeux de transparence et de traçabilité des produits : elle lance « B-Heart », une web-app qui permettra aux consommateurs d’obtenir en un clic toutes les informations sur le produit.

Grâce à un système de QR code imprimé sur chaque produit, les clients auront accès, via un réseau blockchain, à la composition du produit, sa provenance, ses fournisseurs, ses matières premières, sa formulation, sa date, son lieu et les étapes de fabrication, ainsi que son parcours…

La blockchain fonctionne comme une base de données décentralisée, qui permet aux utilisateurs d’accéder de manière sécurisée aux informations mises en ligne en temps réel par les différents fournisseurs. Ainsi, les informations sont inaltérables et leurs véracités et conformités garanties.

Une véritable révolution pour le marché de la beauté. À travers Énergie Fruit, Bloomup sera désormais en mesure de prouver ses engagements et d’assurer à ses clients qui partagent les mêmes valeurs une traçabilité et une transparence complètes de ses produits.

Cette application sera également un outil de différenciation impactant et un levier de performance pour la marque, dans le secteur à la traçabilité complexe qu’est celui de la cosmétique.

« Dans un monde de plus en plus attentif à l’impact des produits consommés sur l’environnement et la santé, il était nécessaire de proposer un outil qui permette de donner le pouvoir aux consommateurs de s’informer, de connaître et de choisir en toute connaissance de cause le produit qu’ils achètent. Cet outil est un excellent moyen d’apporter du changement dans une industrie comme celle de la cosmétique en poussant les marques à se responsabiliser davantage, à repenser leur chaîne d’approvisionnement pour assurer une traçabilité totale. L’objectif à terme est de pouvoir choisir la totalité de nos parties prenantes sur le critère de la transparence et d’assurer un sourcing durable sur chacune de nos matières premières. C’est un changement de paradigme dans le développement de nos produits : nous devons partir de la qualité des matières premières pour proposer les meilleurs produits aux consommateurs, et non l’inverse », indique Maxime Finaz, directeur du groupe Bloomup.

Pour développer cette application, Énergie Fruit a fait appel aux services de la société Tilkal qui développe une infrastructure logicielle de traçabilité qui permet d’offrir une visibilité réelle et sécurisée du cycle de vie des produits en combinant les technologies blockchain et big data.

Lush adopte une nouvelle approche des réseaux sociaux

À partir du 26 novembre 2021, la marque mondiale de cosmétiques frais et faits main Lush suspendra ses comptes Facebook, Instagram, TikTok et Snapchat dans les 48 pays où elle est présente et ce, jusqu’à ce que ces plateformes deviennent un environnement plus sûr pour les personnes qui les utilisent.

« À l’instar de notre approche de la crise climatique, nous voulons être sûr·e·s de ne pas attendre que les autres prennent conscience du problème, mais plutôt de changer notre propre comportement pour répondre à ces problématiques dès maintenant. En tant que leader et pionnier de la révolution cosmétique, Lush souhaite de nouveau faire la différence et ouvrir la voie », déclare la marque dans un communiqué. 

Une « Story » mouvementée entre Lush et les réseaux sociaux 

Depuis plusieurs années, Lush exprime ses inquiétudes concernant les effets néfastes que peuvent générer les réseaux sociaux. Ces préoccupations ont déjà engendré différentes actions de la marque au cours de ces dernières années. En avril 2019, la marque a mis en pause ses réseaux sociaux au Royaume-Uni, fatigué de se battre contre des algorithmes qui conditionnent ce que la communauté Lush peut voir ou non. À l’époque, la marque dénonce le pouvoir surpuissant de certaines plateformes en ce qui concerne la modération et la visibilité des contenus. Suite au retrait des comptes Lush de plusieurs réseaux sociaux au Royaume-Uni, sa présence sociale dans le pays a été remise entre les mains de la communauté Lush ainsi que de ses fondateurs·rices.

« En tant que créateur de Bombes de bain, ma priorité est de proposer des produits qui aident à se déconnecter, se relaxer et prendre soin de son bien-être. Certains réseaux sociaux sont devenus l’antithèse de cet objectif, avec leurs algorithmes conçus pour inciter les gens à scroller éternellement, sans prendre un seul moment pour se déconnecter et se détendre », indique Jack Constantine, directeur digital de Lush.

« J’ai passé ma vie à éviter d’utiliser des ingrédients nocifs dans mes produits. Les risques que les réseaux sociaux représentent pour nous sont aujourd’hui plus que prouvés. Je refuse d’exposer ma clientèle à ces risques ; il est temps de retirer cet ingrédient de notre formule », souligne Mark Constantine, co-fondateur de Lush.

Pour autant, Lush ne deviendra pas complètement anti-(réseau) social. La marque déclare vouloir trouver de nouveaux moyens de se connecter avec ses utilisateurs et construire de meilleurs canaux de communication, tout en continuant d’utiliser ceux auxquels nous pouvons faire confiance afin de continuer à inspirer sa communauté en toute sécurité.

Un contenu digital repensé pour de meilleures interactions avec la communauté 

Lush profite de ce nouveau départ digital pour interagir différemment avec les personnes en quête d’inspiration, qui souhaitent suivre les actualités ou tout simplement se plonger dans l’univers de la marque. Pour cela, Lush met en place une programmation inédite avec des contenus toujours plus originaux à retrouver sur Youtube notamment, et pas besoin de s’abonner ou de “liker” continuellement : il suffira de consulter les vidéos ! Lush veut aller encore plus loin dans le partage de son expertise beauté, de ses valeurs et de ses inspirations au quotidien, en instaurant des rendez-vous réguliers et en proposant des ressources ouvertes à tou·te·s qui auront un impact positif sur chaque personne qui les découvre. 

 
 

Olvea Vegetable Oils obtient la médaille Platinum d’EcoVadis pour ses performances RSE

Olvea Vegetable Oils, filiale du groupe familial Olvea, implanté à Fécamp (Normandie) depuis 1929, produit des huiles et beurres végétaux durables et socialement responsables destinés aux industries cosmétique, pharmaceutique et alimentaire.

OLVEA Top 1 entreprises évaluées par EcoVadis 2021- RSE - Info marché

L’entité a reçu la médaille Platinum d’EcoVadis, et se hisse ainsi dans le top 1 % des entreprises les plus engagées et performantes en matière de responsabilité sociale et environnementale (RSE).

Depuis sa toute première évaluation EcoVadis en 2015, Olvea n’a cessé de renforcer son engagement en matière de responsabilité sociale, améliorant ainsi son score et atteignant la plus haute reconnaissance, seulement quelques semaines après l’obtention également de la médaille Platinum par son unité d’éco-raffinage, Olvea Green Technologies.

Signataire du Pacte Mondial des Nations Unies, Olvea contribue à 15 des 17 objectifs de développement durable (ODD). Après avoir formalisé sa démarche RSE accompagnée d’objectifs ambitieux en 2018, Olvea poursuit son engagement en publiant son rapport annuel, Olveact Now, dans lequel Olvea partage l’ensemble de ses actions, initiatives et engagements RSE pour accélérer son changement et être un acteur de la transition environnementale et sociale.

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