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Un airless rechargeable

Lablabo à développé un airless rechargeable. L’entreprise française, spécialiste de l’airless à poche, a présenté son innovation Baïa Refill lors du salon Luxe Pack 2021.

Baïa Refill allie design et élégance avec son corps en verre décliné en deux formats de 30 ml et 50 ml. 

Ce pack airless est rechargeable avec une poche PE ou Aluminium allant de 15 ml à 50 ml.

Doté d’une pompe de 0,25 ml ou 0,5 ml Baia Refill est compatible avec les crèmes très visqueuses mais aussi les liquides.

Il est également personnalisable avec de la sérigraphie et peut aussi être laqué ou dépoli.

Baïa Refill peut aisément se recharger cinq fois, ce qui permet de réduire jusqu’à 80 % la part plastique et est 100 % recyclable.

Très simple d’utilisation, ce pack airless ne nécessite pas de machines particulières pour son conditionnement.

Morgane Jouot, directrice générale France de La Prairie

Morgane jouot, 43 ans, est nommée directrice générale France de La Prairie, maison suisse de soins cosmétiques de luxe. Rattachée à Laurent Marteau, VP EMEA & Americas, elle a pris ses fonctions le 1 juillet 2021.

Morgane Jouot a déclaré : « Je suis très honorée de cette nomination et heureuse de pouvoir compter sur des équipes engagées pour continuer le déploiement de la stratégie de la maison La Prairie sur le marché français. »

Diplômée de Neoma Business School à Reims en 2000 et après une première expérience au sein du groupe de cosmétiques Johnson&Johnson, Morgane Jouot intègre le groupe Beiersdorf en 2004 où elle occupe différentes fonctions marketing & commerciales pour les marques Nivea, Labello et Florena. En 2012, elle devient directrice marketing-communication France & Benelux. À la tête d’une équipe de cinquante personnes, elle a su développer la stratégie, mettre en place des initiatives-pilotes telles que la ligne de beauté verte Naturally Good et mener la transformation digitale de ces marques sur son secteur.

« Forte d’une expérience de plus de vingt ans sur le marché du soin et des cosmétiques, Morgane Jouot est une leader axée sur la performance et une manager chevronnée. Elle saura apporter sa connaissance pointue du marché français et son expertise de la beauté dans un univers multicanal pour déployer la stratégie d’excellence « Luxury Execution » de la Maison La Prairie », indique-t-on au sein de l’entreprise.

Le CNRS se mobilise pour accompagner la filière Parfumerie-Cosmétique

Avec un chiffre d’affaires de 25 milliards d’euros, 25 % des parts de marché mondial et 170 000 salariés1, la filière Parfumerie-Cosmétique occupe, sans nul doute, la place de numéro 1 mondial. Ce marché, en pleine croissance et propice à l’innovation a aujourd’hui des besoins qui vont bien au-delà de la chimie, besoins pour lesquels le CNRS se propose de répondre.

Les enjeux de la filière Parfumerie-Cosmétique et le CNRS

Même si la formulation des produits cosmétiques reste au cœur des attentes des consommateurs (efficacité, confort…), ils recherchent de plus en plus des formules saines, naturelles et personnalisées et attendent des marques cosmétiques qu’elles s’engagent en faveur de l’environnement.

Pour répondre à toutes ces attentes, la filière Parfumerie-Cosmétique s’est fixée les défis de demain :

  • L’eBeauty afin de concevoir des outils de mesure connectés, des cosmétiques personnalisés voire adaptés aux besoins évolutifs de la peau
  • Le mouvement Blue Beauty cherchant à réduire l’empreinte environnementale par la conception d’emballages et de produits solides, en poudre formulés sans eau ou encore pour utiliser des encres d’origine végétale
  • La naturalité pour penser les produits Bio et naturels du futur ou lancer des programmes durables de culture de plantes par exemple
  • La sécurité, la qualité et la traçabilité…

Afin d’accompagner la filière parfumerie-cosmétique, les chercheurs et entreprises doivent travailler main dans la main. Dans tous ces domaines, le CNRS, travaillant déjà avec un grand nombre d’entreprises de la cosmétique française, est fortement mobilisé et force d’innovation car les enjeux cosmétiques du futur sont aussi des défis scientifiques y compris dans la recherche fondamentale. L’eBeauty par exemple, fait appel à des domaines de recherche comme ceux de la science des données, de l’intelligence artificielle, de la robotisation… Le mouvement Blue Beauty, lui, appelle un travail novateur sur la science des matériaux pour concevoir les nouveaux emballages et contenants de demain.

En complément des recherches effectuées par ses laboratoires, le CNRS propose des services aux entreprises notamment de la cosmétique…

CNRS Formation Entreprises : l’organisme de formation continue du CNRS

Pour préparer son catalogue 2022, CNRS Formation Entreprises, l’organisme de formation continue du CNRS depuis 1987, s’est penché sur les besoins des filières industrielles (tout comme des entreprises : TPE, PME, ETI et grands groupes) car c’est une réelle volonté du CNRS et notamment de sa Direction des Relations avec les Entreprises de croiser les connaissances disponibles au sein de ses laboratoires avec les enjeux de recherches des différentes filières industrielles.

Pour la filière Parfumerie-Cosmétique, l’organisme propose 5 formations phares :

Aussi, CNRS Formation Entreprises, peut organiser des formations sur-mesure, dites intra-entreprise pour mieux s’adapter aux besoins des entreprises. Cette solution est particulièrement intéressante lorsqu’une entreprise doit faire monter en compétences toute une (nouvelle) équipe ou des collaborateurs venant de différents services mais devant travailler sur le même projet. Il n’y a pas de limite sur le sujet à étudier car le CNRS dispose de 1100 laboratoires et 90 000 acteurs de la recherche dans tous les domaines possibles.

Trouver un Expert, le service de mise en relation entre les entreprises et les experts du CNRS

Créé en 2020, le service Trouver un Expert a déjà aidé des associations et grands groupes de la cosmétique française. Son rôle ? Identifier et mettre en relation acteurs du monde économique qui en font la demande avec l’expert, l’équipe ou le laboratoire du CNRS ayant les savoirs et les savoir-faire pour les aider dans leur réflexion, idée ou projet.

La demande peut par exemple concerner un état de l’art, la recherche de connaissances et compétences dans un domaine (qui parfois, n’est pas celui auquel le demandeur pense !), un besoin de caractérisation, de lever un verrou technologique, de faire valider une idée innovante d’un point de vue technique et technologique…

Véritable porte d’entrée vers les laboratoires du CNRS, le concept du service est simple : vous déposez votre demande simplement en remplissant un formulaire sur trouverunexpert.cnrs.fr, l’équipe vous recontacte pour échanger sur le projet, le préciser si besoin et se met à rechercher l’expert le plus à même de répondre à la demande. En deux ou trois semaines, vous aurez trouvé votre « perle » !

La stratégie de Filières Industrielles DRE

Dans le cadre de son contrat d’objectifs et de performance 2019-2023, le CNRS a confirmé sa volonté d’accorder une place de plus en plus importante aux relations avec le monde économique et a mis en place une stratégie d’approche des filières industrielles françaises, dont celle de la Parfumerie-Cosmétique. Le CNRS est ainsi en mesure de co-construire, avec les acteurs concernés, des feuilles de route communes de recherche qui servent de base pour identifier, proposer et conduire des projets précompétitifs en relation avec la filière mais aussi pour développer des relations bilatérales ou multilatérales avec les entreprises du secteur. Grâce aux compétences et savoir-faire de ses laboratoires, le CNRS propose des technologies d’innovation et de rupture essentielles pour conquérir ou reconquérir des parts de marché. Sous la responsabilité d’un binôme Référent Scientifique (Prof. Richard Daniellou, Chargé de mission Cosmétiques et Directeur du Groupement Cosm’actifs) – Responsable de coopération industrielle (Marie Côte, PhD) , ce service a pour mission d’être à l’écoute de la filière, de connaître les enjeux sur toute la chaîne de valeur et de traduire ceux-ci en besoins de recherche dans une dynamique de développement des partenariats, bénéficiant de la richesse transdisciplinaire qu’offre l’établissement.


Venez les rencontrer lors du Salon Cosmetic360 les 13 et 14 octobre prochains ! Ou contactez-nous à l’adresse contact-filiè[email protected] 

Pour en savoir plus sur CNRS Formation Entreprises : https://cnrsformation.cnrs.fr

Pour en savoir plus sur Trouver un Expert du CNRS : https://trouverunexpert.cnrs.fr

Pour en savoir plus sur la Direction des relations avec les entreprises du CNRS : https://entreprise.cnrs.fr 

1. https://www.bpifrance.fr/nos-actualites/la-filiere-cosmetique-une-industrie-au-parfum#:~:text=Avec%20un%20chiffre%20d’affaires,ne%20cesse%20de%20se%20d%C3%A9velopper%20

Compléments nutritionnels beauté : une usine dans l’Allier

Passionnée de cosmétiques et de nouvelles tendances, Fleur Phelipeau, créatrice de la marque de compléments alimentaires D-Lab Nutricosmétics, fonde D-Lab en 2019. L’entreprise développe et distribue des compléments nutritionnels beauté sous forme de programmes ou à l’unité. 

En 2021, place à l’usine D-Lab. « C’est avant tout une histoire d’envie. Une passion depuis l’enfance pour l’industrie. Les yeux grands ouverts quand mon père m’emmenait dans les usines de boissons et d’embouteillage de Vichy Célestins. J’ai toujours trouvé ce monde fantastique ! », indique la fondatrice.

Une usine 100% greentech Made in France

C’est pour aller encore plus loin dans la vision et les valeurs chères à l’entrepreneuse de 35 ans que le projet de l’usine est né. Il s’agit d’un espace de 2 600 m2 situé en France desrtiné à produire des compléments alimentaires avec 100% d’ingrédients issus de la Green Tech choisis pour leur naturalité et leur biodisponibilité. 

Et puisque Vichy et le Made in France font partie de l’ADN de D-Lab, c’est au cœur du Naturopôle de St-Bonnet de Rochefort, dans l’Allier, que l’usine s’implante.

Un espace dédié à la production de compléments alimentaire

7440 m2 de terrain et un bâtiment de 2610 m2 réuniront toutes les étapes du développement de compléments alimentaires : du stockage à la production en passant par le conditionnement, l’assemblage, les laboratoires et les bureaux. Cela représente un investissement de 3,5 millions d’euros pour créer l’usine de demain. 

Passer d’acteur à filière

L’usine D-Lab Industry est conçue pour avoir le moins d’impact négatif possible sur l’environnement. Utilisation des eaux de pluies pour l’arrosage, isolation eco-friendly, panneaux solaires pour viser l’auto-suffisance énergétique, optimisation des transports, politique zéro déchet… Le chantier de construction est lui-même labellisé à faible impact environnemental, pour une démarche 100 % cohérente. Avec une ambition : passer d’acteur à filière. « Nous ne voulons pas seulement produire nos propres compléments alimentaires pour une question de facilité ou de coût, nous souhaitons produire pour des acteurs qui partagent les mêmes valeurs que nous : le clean, le naturel, le local, la bienveillance et l’éthique », souligne Fleur Phelipeau.

Christophe de Villeplée nommé président de la division Scent d’IFF

IFF, groupe américain spécialiste mondial de la création de parfums, a annoncé la nomination de Christophe de Villeplée à la présidence de sa division Scent à compter du 1er septembre 2021. ll devient membre du comité exécutif du groupe et succède à Nicolas Mirzayantz, nommé président de la division Nourish en remplacement de Kathy Fortmann.

Christophe de Villeplée (diplômé ISG, INSEAD) prend ce nouveau poste, basé à Paris, après avoir occupé des fonctions managériales en Europe et aux États-Unis pendant une vingtaine d’années au sein d’IFF. Depuis deux ans il était président, Global Consumer Fragrances.

Pour le futur de la division, il se concentrera sur quatre axes majeurs : transformation de la création ; approfondissement de la compréhension scientifique des bénéfices émotionnels du parfum ; accélération de la stratégie de développement durable en intégrant les biotechnologies, grâce à la fusion récente d’IFF avec la division Nutrition et Biosciences de Dupont, aujourd’hui intégrée à IFF ; et la digitalisation du parfum.

La division Scent d’IFF représente un chiffre d’affaires de deux milliards de dollars, réparti sur quatre catégories : parfumerie fine, hygiène beauté, ingrédients pour la parfumerie, et ingrédients cosmétiques. Les parfumeurs d’IFF sont les auteurs de grands classiques de la parfumerie, tels que La vie est belle de Lancôme, Paris de YSL, Aromatics Elixir d’Estée Lauder, et de succès plus récents, comme l’Interdit de Givenchy, Phantom de Paco Rabanne, ou Armani My Way ; mais aussi de parfums connus mondialement pour leur présence dans les lessives, assouplissants, gels douche, shampoings et tous les produits parfumés de consommation courante.

Plutonium de la Collection35, finaliste de Beautyworld Middle East 2021

La marque avant-garde collection35 fait face à un nouveau challenge avec le parfum Plutonium de la jeune créatrice Chana Cynamon. Lauréat de l’édition Marine 2018, ce parfum est aujourd’hui finaliste de Beautyworld Middle East 2021 dans la catégorie parfums de niche. Les résultats seront connus le 5 octobre prochain.

Une marque d’avant-garde, révélant les talents de demain

Collection35 est une marque de parfums issue d’une histoire singulière. Elle est née du concours international Corpo 35 Perfume Awards ayant pour objectif de démocratiser la culture du parfum d’auteur auprès du grand public. Chaque édition a pour objectif de révéler les jeunes parfumeurs internationaux (étudiants, apprentis parfumeurs, experts ou passionnés autodidactes…), sur une thématique proposée.

Cécile Vialla, créatrice de la maison de parfum Berry, crée le concours Corpo35 Perfume awards et collection35 en 2015. Collection35 est ainsi une galerie d’art olfactive qui lance les étoiles montantes de la parfumerie contemporaine en mettant en flacon leurs premières créations.

Une thématique, cinq lauréats, cinq interprétations

Les 35 finalistes se voient offrir des outils d’aide à la création comme l’accès au laboratoire de L’Isipca et le logiciel d’accompagnement réglementaire d’EcoMundo ainsi que les matières premières de qualité fournies par des parrains prestigieux. L’édition Marine dont est issue Plutonium fut parrainée par la maison historique grassoise Robertet, engagée dans les matières premières du terroir depuis 1850.

En vue de l’Armada de Rouen de 2019, les candidats de l’édition 2018 ont été invités à « réinventer la Marine ». Schéma classique de la parfumerie, les notes marines apportent autant de fraîcheur qu’elles évoquent l’aventure et la liberté. Une source d’inspiration immense pour de jeunes parfumeurs.

Chana Cynamon Prix de l’Audace, un parfum disruptif 

Inspiré par les aventuriers de la Marine nationale, qui partaient plusieurs années en mer sur d’immenses navires afin de découvrir des terres inconnues, Plutonium a remporté le cinquième prix de l’édition 2018 ainsi que le prix de l’Audace. 

Les aventuriers d’hier ont inspiré Chana Cynamon. Elle a imaginé la grande aventure de demain : la conquête spatiale. Plutonium s’ouvre sur une explosion de menthol, tel le sillage supersonique d’une fusée dans l’espace glacé. Le vaisseau de métal se dépose sur une planète inconnue d’où dégage un sillage aromatique, humide, promesse d’une terre porteuse de vie. Se dévoile ensuite un sillage musqué, laiteux, abstrait, qui enveloppe enfin les sens. Une présence apparaît, une peau chauffée par un soleil différent du nôtre.

Une parfumeuse hors-normes

Chana Cynamon, créatrice de Plutonium, est une parfumeuse qui aime sortir des codes et les remettre en question. Jouant sur les overdoses, les matières premières inédites ainsi que des formules courtes, elle a pour but de provoquer des chocs sensoriels et exacerber les émotions. Un esprit disruptif cultivé par sa curiosité, son ouverture sur le monde et son goût pour toute forme de créativité.

Une marque engagée pour la création et ses valeurs

La galerie d’art olfactive collection35, milite pour une parfumerie à la fois atypique et multiculturelle. Faire briller la culture du parfum et les savoir-faire de cette industrie en France et à l’international est son objectif.

collection35 entreprend une fabrication sociale et solidaire. Elle soutient une croissance inclusive en collaborant avec des partenaires investis dans le soutien aux plus fragiles.

collection35 diffuse et démocratise la culture du parfum d’auteur auprès du grand public de façon éthique et responsable.

Les fragrances sont toutes d’origine France Garantie grâce à des partenaires principalement normands qui se sont engagés aux côtés de Cécile Vialla depuis le début de l’aventure. 

Coverpla s’associe aux parfums French Biscotos et Musa Paradisiaca

French Biscotos bouscule les codes par une collection originale née d’une aventure familiale modèle. Pour le lancement de six fragrances aux noms inoubliables, la marque a confié le développement du packaging à Coverpla ; flacon et capot, pompe et cache-pompe.

Beau bébé, Dur à cuire, Garde du corps, Loup de mer, Loup solitaire, Maître-nageur, les six fragrances masculines assument un parti-pris olfactif singulier. Dépassant le cliché de l’homme parfait, elles s’autorisent une bonne dose d’humour et de dérision. 

Pour ce développement en six actes, French Biscotos a opté pour le savoir-faire à la française que prône Coverpla : des flacons et des capots standards, une offre qualitative personnalisée clefs en main. La marque a donc choisi le flacon Parme en format 100 ml pour sa carrure adoucie de lignes courbes et son fond épais. Le capot Gator l’accompagne dans une teinte canon de fusil. Il doit son élégance à une chape aluminium décorée d’un moletage. À l’intérieur, l’insert est injecté en surlyn recyclé.

En ce qui concerne parfum Musa Paradisiaca de Cristian Cavagna, Coverpla a suivi la marque dans son choix d’un packaging dont la forme évoque son nom et son essence. Défi relevé parmi la gamme des flacons standards by Coverpla.

Musa Paradisiaca est le nom botanique de la banane plantain. Son parfum est le premier des sept nuances de tubéreuse et fait partie de la ligne « la tubéreuse selon moi ». Pour ce jus à la fois féminin et masculin, Cristian Cavagna a souhaité un flacon qui évoque à la fois la fleur de bananier et celle des hanches féminines. C’est chose faite avec le vapo Nice (100 ml) au décor élégamment strié assorti du capot Maggiore. La marque a ajouté une étiquette métallique dont la note dorée rend hommage à Gustave Klimt.

Dans ce développement, le concept « mix and match » de Coverpla a pris tout son sens. Le choix de modèles standards aux designs choisis a servi un développement clefs en main ultra personnalisé.

[podcast] Vitesse et qualité sont-ils incompatibles ?

site-industries-cosmetiques La fin des nuits blanches, podcasts

C’est parti pour la saison 2 de l’émission : « La fin des nuits blanches”, l’émission qui vous aide dans votre quotidien de cosméticien, proposée par Veeva.

Tout l’enjeu de ce nouvel épisode est de poser une question fondamentale : vitesse et qualité sont-ils incompatibles ? Pour répondre aux questions de Nicolas Gosse, David Égée appuiera ses développements sur son expérience dans l’imagerie médicale et dans dans le secteur cosmétique, notamment ses 7 années passées chez Parfums Christian Dior en tant que directeur qualité.

Dans les autres épisodes, nous évoquons la relation clients/fournisseurs et les contraintes réglementaires…

À écouter dès maintenant sur notre site ou sur toutes vos plateformes de podcast.

Lisez gratuitement la revue !

couverture Industries Cosmétiques 31

À l’occasion du salon Luxe Pack, pour ceux qui ne pourraient pas se déplacer et emporter notre revue dans leur sac, nous avons décidé de vous offrir la lecture de notre dernier numéro (septembre 2021).

Au-delà des actualités produits et marchés, des avis d’experts en cosmétologie, en technologie ou en réglementation, vous pourrez découvrir notre rubrique « parfumerie » ou notre zoom sur la feel-good beauty et notre dossier consacré à la nutricosmétique.

Pour accéder librement à notre dernier numéro, il suffit de cliquer ici.

Bonne lecture !

Henkel, L’Oréal, LVMH, Natura, Unilever : vers un système de notation sectoriel de l’impact environnemental des produits cosmétiques

Henkel, L’Oréal, LVMH, Natura &Co et Unilever annoncent une collaboration mondiale inédite pour codévelopper un système de notation sectoriel de l’impact environnemental des produits de beauté. L’objectif est d’aboutir à un dispositif qui soit commun à l’ensemble des entreprises du secteur de la cosmétique et qui fournisse aux consommateurs des informations claires, transparentes et comparables grâce à une méthodologie scientifique commune. Les cinq entreprises invitent les autres acteurs de la cosmétique à se joindre à cette initiative.

Répondre aux attentes en matière de transparence

Ce nouveau système de notation vise à répondre à l’exigence grandissante des consommateurs en matière de transparence concernant l’impact environnemental des produits cosmétiques (formule, emballage et usage). L’objectif est d’améliorer l’information mise à la disposition des consommateurs, leur permettant ainsi de faire des choix de consommation plus durables.

Pour ce faire, un consortium sera créé et ouvert à l’ensemble des entreprises du secteur souhaitant collaborer dans le but de cocréer un dispositif permettant aux consommateurs de comparer des produits cosmétiques au sein d’une même catégorie. Le but est que le score global informe les consommateurs de l’impact environnemental des produits, en prenant en compte l’ensemble de leur cycle de vie.

Co-construire une méthodologie scientifique et un système de notation

Il est proposé que le consortium travaille avec le cabinet de conseil Quantis, pour garantir une approche robuste et scientifique, et que les efforts pour coconstruire la méthodologie et le système de notation volontaire soient guidés et articulés autour de :

1. Une méthode de mesure des impacts environnementaux commune tout au long du cycle de vie des produits, et adossée aux principes du « Product Environmental Footprint » (PEF, la méthode scientifique de l’Union européenne pour quantifier l’empreinte environnementale des produits) ;

2. Une banque de données commune sur les impacts environnementaux d’ingrédients et matières premières standards utilisés dans les formules, emballages ainsi que durant l’utilisation.

3. Un outil commun permettant à chaque marque de calculer l’impact environnemental de chacun de ses produits, et utilisable par des non-spécialistes.

4. Un système de notation harmonisé comprenant par exemple un score allant de A à E et permettant au consommateur de comparer facilement les produits. La méthodologie, les bases de données et l’outil de ce système seront vérifiés par des auditeurs indépendants.

Engager tous les acteurs du secteur de la cosmétique

Cette initiative se veut ouverte à l’ensemble des acteurs du secteur de la cosmétique, quelles que soient leur taille ou leurs ressources. Un panel d’experts indépendants sera également informé et consulté tout au long du process. Les entreprises à l’origine de l’initiative partageront leur expérience et leurs connaissances dans le développement de dispositifs d’évaluation de l’impact environnemental (tels que ceux conçus par Henkel, L’Oréal, LVMH, Natura &Co et Unilever) et de systèmes d’affichage environnemental et social (tel que celui développé par L’Oréal). Toutes les entreprises bénéficieront de ce travail préexistant et sont invitées à apporter leur propre expérience. Le consortium consultera également des experts externes, notamment des scientifiques, des universitaires et des ONG pour garantir l’intégrité continue de leur approche. Le travail développé par le consortium sera rendu public et accessible, de façon strictement volontaire, à la fois aux membres du consortium et à toute autre partie intéressée.

« Il est possible dans le secteur de la cosmétique, comme cela s’est passé dans d’autres secteurs, de construire un dispositif scientifique d’évaluation de l’impact environnemental des produits, qui s’appuie sur une analyse complète du cycle de vie. La condition est la mise en commun de connaissances et d’expertises, notamment concernant les données d’impact environnemental ; c’est sur cette voie que les membres fondateurs du consortium s’engagent », indique Philippe Osset, expert de l’application des évaluations du cycle de vie à l’éco-conception, consultant apportant son expertise à la Commission européenne et l’Afnor (Association française de normalisation).

Cosmetics Europe a accepté de suivre les activités du consortium en tant qu’observateur, d’autres associations professionnelles sont contactées pour y participer.

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