La Compagnie de Provence a lancé sa troisième ligne exclusive de produits d’accueil, frais et parfumés, en partenariat avec Groupe GM. En 1990, deux amis marseillais passionnés de design créaient La Compagnie de Provence, première marque à apporter un nouveau souffle et à réinventer le traditionnel pain de savon de Marseille cubique. Depuis lors, tout en continuant à partager sa passion pour le légendaire savon de Marseille et les richesses naturelles de sa région, la célèbre marque française de cosmétiques développe des soins naturels, enrichis en huiles végétales de haute qualité produites localement.
Conçue au cœur de la Provence, la ligne hôtelière La Compagnie de Provence adopte un parfum phare de la collection « Extra Pure » : Bois d’Olivier. Grâce à ses notes délicieusement boisées et sensuelles, La Compagnie de Provence ajoute une pointe parfumée à la senteur emblématique de la Provence, composée d’au moins 96 % d’ingrédients d’origine naturelle.
La ligne de produits d’accueil se compose de gel douche, shampooing, après-shampooing et lait corporel proposés dans des tubes de 40 ml, ainsi que de savons parfumés disponibles dans deux formats 30 g et 50 g. Conformément au programme Care About Earth de Groupe GM et à ses objectifs en matière de durabilité, les tubes des produits sont fabriqués à 90 % à partir de matières végétales, avec des bouchons en plastique recyclé. La nouvelle gamme comprend également un distributeur Ecopump 300ml en plastique recyclé avec sa pompe en bio-résine, pour le gel cheveux & corps et le savon liquide. L’Ecopump est conçu pour fournir la quantité exacte de produit nécessaire et réduire le gaspillage, tout en divisant par 5 la quantité de plastique utilisée.
Laurent Marchand, président de Groupe GM, a déclaré : « Nous sommes ravis de notre deuxième collaboration fructueuse avec La Compagnie de Provence. Nourrie d’un sens profond d’authenticité, de tradition, et de la richesse de la nature, nous pensons que cette prochaine collection de produits d’accueil est parfaitement adaptée aux besoins des hôtels de luxe avec lesquels nous travaillons. Elle respecte par ailleurs pleinement les valeurs de notre programme Care About Earth. »
À l’usage, les produits tiennent leurs promesses. Des parfums délicats et une efficacité attendue rendent l’expérience agréable.
Beiersdorf prévoit de construire à Leipzig, à proximité immédiate de sa nouvelle usine de production, une plateforme ultramoderne pour le marché européen. Au cours des prochaines années, 170 millions d’euros seront investis dans ce nouveau centre, en plus des 220 millions d’euros prévus pour l’usine. Il s’agirait du plus gros investissement mondial de l’entreprise sur un seul site. À cette fin, Beiersdorf AG prévoit – sous réserve de la décision du conseil municipal de Leipzig – d’acquérir le terrain voisin dans la zone industrielle Leipzig-Seehausen II, qui s’étend sur environ 12,5 hectares. Beiersdorf a l’intention de confier à des prestataires de services spécialisés la partie opérationnelle de l’entreprise. Cela permettra de créer environ 400 emplois supplémentaires à Leipzig – en plus des 200 emplois initiaux du centre de production.
« Avec la combinaison du site de production et du hub, Beiersdorf veut se positionner de manière optimale pour les habitudes de consommation et les paysages de vente au détail du futur et créer les conditions d’une infrastructure de chaîne d’approvisionnement de pointe au cœur de l’Europe, déclare Harald Emberger, Corporate Senior Vice President Supply Chain. L‘interaction entre la production et le hub offre dans ce contexte des possibilités de développement uniques pour proposer à nos clients des solutions totalement nouvelles. Nous serions ravis de pouvoir mettre en œuvre ce projet dans la ville de Leipzig, un site attractif avec une main-d’œuvre qualifiée et un bon environnement d’investissement. »
Beiersdorf s’est fixé des objectifs ambitieux dans son programme de développement durable Care Beyond Skin. Pour le nouveau centre, l’entreprise vise donc des opérations neutres en CO2 et une certification de durabilité pertinente. En outre, il est prévu de verdir les façades et les toits, ainsi que d’installer des modules photovoltaïques sur les bâtiments. Une part importante du transport de marchandises sera assurée par le rail.
La circulation sanguine donne vie à la peau. Chaque vaisseau agit comme un vecteur d’oxygène, de nutriments et de cellules immunitaires. Ce sont eux qui régulent également la pression et la température de la peau.
On le sait, quand la circulation est optimale, la peau s’affiche forte, résistante, en pleine santé. On voit bien aussi que la stimuler, par le massage notamment, permet d’améliorer l’éclat de la peau et sa texture. D’ailleurs, les femmes ne s’y trompent pas. Une étude menée dans quatre pays, auprès de presque 3 000 femmes, a montré que plus de 70 % d’entre elles considéraient qu’améliorer la circulation sanguine cutanée agissait sur la beauté de la peau nue. Ces intuitions, Shiseido les a validées scientifiquement avant de chercher à comprendre comment maintenir cette circulation à flot de manière permanente pour des bénéfices cutanés continus. Des premières observations ont mis en évidence qu’une bonne circulation sanguine augmentait nettement la qualité de la peau et sa fonction barrière. Mieux encore, qu’un lien évident se tissait entre le système vasculaire et le vieillissement de la peau. Ces découvertes prometteuses ont poussé le laboratoire japonais à dédier depuis plus de vingt ans une grande partie de ses ressources et de son énergie à en savoir plus.
Voici ses premières conclusions.
Dès 2000, la Lifeblood Research débute main dans la main avec le Cutaneous Biology Research Center (CBRC), fruit d’une collaboration avec la Faculté de médecine de Harvard de l’Hôpital du Massachussetts. Avec un intérêt tout particulier pour les capillaires, ces micro-vaisseaux qui se logent stratégiquement dans le derme supérieur, à la frontière avec l’épiderme qu’ils irriguent en continu.
La maison s’intéresse d’abord aux vaisseaux anormaux et à leur conséquence sur la qualité de la peau. Dès 2002, Shiseido dévoile l’impact des UV sur les vaisseaux sanguins. En excès, les UV augmentent la production de VEGF (Vascular Endothelial Growth Factor), une molécule « signal » qui mène à la formation de nouveaux vaisseaux capillaires anormaux associée à une accumulation de cellules inflammatoires. Ces dernières conduisent à la libération d’enzymes qui dégradent les fibres de soutien, telles que l’élastase. Conséquence : les signes de l’âge dont les rides apparaissent prématurément.
En 2009, la Lifeblood Research se poursuit avec un nouveau partenariat avec l’Université de médecine de Séoul qui permet de compléter les connaissances dans ce domaine. Cette collaboration a pour objectif de décrypter l’impact du temps qui passe sur le déclin des vaisseaux sanguins. On apprend alors que, dès la quarantaine, les vaisseaux présentent plus d’altérations, liées à une baisse des récepteurs TIE-2 exprimés à la surface des parois vasculaires et impliqués dans leur bonne cohésion. Ce phénomène entraine ainsi une fuite excessive de ces vaisseaux, privant la peau des nutriments essentiels.
En collaboration avec l’Université d’Ajou (Corée du Sud), Shiseido repousse en 2017 les frontières de la Lifeblood Research avec de nouveaux outils. La technologie OCT (Optical Coherence Tomography) permet notamment d’observer pour la première fois in vivo tout le réseau vasculaire du derme. Cette approche inédite met en évidence le lien entre les UV, l’altération du réseau capillaire et l’apparition de désordres pigmentaires. L’hyper production de VEGF-A est mise en cause car elle induit des malformations dans le réseau qui augmentent la libération d’un facteur activant la production de mélanine.
Réseau anormal de capillaires au niveau des zones pigmentées
En 2018, grâce à une méthode inédite qui rend la peau transparente, les chercheurs observent en 3D le réseau vasculaire, sa structure et son organisation, malmenées par les UV. Les zones pigmentées présentent des vaisseaux organisés de manière anarchique, avec de nombreuses ramifications ainsi qu’une accumulation de macrophages qui suggèrent la présence d’inflammation. La même année, Shiseido observe in vivo les altérations causées par l’âge sur le précieux réseau et constate une diminution de la densité et du diamètre des vaisseaux, à l’origine du ralentissement de la microcirculation.
Malformation du réseau vasculaire au niveau des zones pigmentées et accumulations des macrophages.
En 2019, la maison s’intéresse plus particulièrement aux caractéristiques des vaisseaux sains et met en évidence que la qualité et la structure même des vaisseaux se dégradent avec l’âge : bien structurés et organisés chez les peaux jeunes, plus fins, fragiles et désorganisés chez les peaux matures. En parallèle, Shiseido découvre l’implication de la molécule Intégrineα5, protéine présente au niveau des parois vasculaires, dans la bonne santé des capillaires et son impact positif sur la production de fibres de soutien du derme. Autour des vaisseaux sains, le collagène est plus dense.
Visualisation 3D des vaisseaux sanguins de la peau humaine.
20 ans après le début de la Lifeblood Research, Shiseido identifie en 2020 le lien entre les vaisseaux sanguins et l’élasticité de la peau notamment grâce à deux facteurs clés l’APJ et la VE-Cadhérine, tous deux exprimés au niveau des capillaires. Quand le taux d’APJ est optimal, les vaisseaux s’affichent forts et stables. Quant à la VE-Cadhérine, sa diminution avec l’âge mène à des capillaires plus fins qui impactent l’élasticité de la peau.
Lien entre une expression élevée d’APJ et des capillaires stables et solides.
De la recherche aux solutions concrètes pour la peau
Au fil des découvertes scientifiques qui ont ponctué la Lifeblood Research, le laboratoire Shiseido s’en inspire et développe des solutions d’application. Dès 2004, Shiseido identifie un extrait de chlorelle capable de limiter la formation de nouveaux vaisseaux anormaux impliqués dans l’apparition des rides.
Plus tard, un extrait d’écorce de cannelle, augmente la quantité de récepteurs TIE-2 afin de renforcer la structure des capillaires et de prévenir la fuite d’éléments essentiels.
Afin d’inhiber la production de VEGF-A, Shiseido sélectionne un extrait de fleur, la Tormentilla, qui bloque la formation des capillaires anormaux et la libération d’un facteur activant la production de mélanine. La pigmentation de la peau est ainsi sous contrôle.
La maison a également mis en évidence le Ceraferment, un extrait de levure, capable d’augmenter l’expression d’Intégrineα5 pour promouvoir la bonne santé des capillaires et favoriser la production optimale de collagène associée. Plus récemment, deux trésors végétaux, le Houttuynia et un extrait de feuille de Neem ont été plébiscités pour leur faculté à augmenter l’expression des capteurs APJ et de la VE-Cadhérine qui viennent renforcer la structure et la stabilité des capillaires.
En agissant pour la santé, la force et l’intégrité des vaisseaux sanguins cutanés, Shiseido tend à optimiser ainsi la qualité et la beauté de la peau dans son ensemble, de l’hydratation à la fonction barrière, des rides aux taches, de la texture à l’éclat.
Croda International Plc annonce aujourd’hui qu’elle est devenue la troisième grande entreprise chimique au monde à s’être engagée à atteindre le net zéro et à disposer d’un objectif cible basée sur la science (Science Based Target) de 1m5°C.
95 % des produits manufacturés reposent sur des ingrédients et technologies issus du secteur chimique1. Avec les procédés à haute température, le secteur est reconnu comme difficile à décarboner, cependant, Croda s’est engagée à réduire ses émissions de gaz à effet de serre de Scope 1 et 2 conformément à la trajectoire SBT la plus ambitieuse. L’objectif de cette voie est de limiter la hausse des températures mondiales à 1,5°C maximum par rapport aux niveaux préindustriels et d’éviter les effets les plus catastrophiques du changement climatique.
En 2019, le PDG de Croda, Steve Foots, a indiqué l’engagement de l’entreprise envers un scénario de 1,5°C en signant « Business Ambition for 1,5°C » – l’appel à l’action du Global Compact des Nations Unies, qui comprenait un engagement à devenir une organisation net zéro d’ici 2050. Depuis, l’entreprise s’efforce de comprendre comment elle peut atteindre ces ambitions grâce à l’élaboration de feuilles de route de décarbonation sur l’ensemble de ses sites de fabrication. En collaboration avec South Pole pour développer ses objectifs SBT vérifiés, Croda s’est engagée à réduire les émissions des scopes 1 et 2 de 46,2 % par rapport à 2018. L’entreprise réduira également ses émissions de Scope 3 en amont de 13,5 % par collaboration au sein de sa chaîne d’approvisionnement.
Phil Ruxton, Chief Sustainability Officer de Croda, a déclaré : « L’année dernière, nous nous sommes engagés à être le fournisseur le plus durable d’ingrédients innovants ; la vérification de nos SBT est une étape majeure dans ce cheminement vers la durabilité. Nous espérons qu’en nous alignant sur la trajectoire de 1,5°C, nous pourrons montrer aux autres de notre secteur difficile à décarboner que ce niveau d’ambition pour minimiser les effets du changement climatique est réalisable, et quelque chose que nous devrions tous viser. »
Dans la continuité du développement de son offre beauté naturelle et engagée, Monoprix renforce son positionnement responsable sur la naturalité et devient, selon l’enseigne, le premier distributeur à créer sa gamme de cosmétiques solides certifiés bio et fabriqués en France.
Pour une routine beauté & hygiène 100 % écolo, Monoprix enrichit sa gamme Monoprix Bio avec cinq produits solides essentiels pour une salle de bains plus green et écoresponsable, en accord avec les nouvelles attentes et besoins de ses clients.
Savon, déodorant, shampoing, et dentifrice solides sont certifiés par Ecocert et labellisés Cosmébio, avec des formules au minimum à 98 % d’ingrédients d’origine naturelle, et conditionnés dans des ECO-emballages (papier, carton ou boîte métal) et recyclables.
Particularités de cette gamme : un prix accessible et un impact environnemental réduit.
Pierre Fabre remaille son empreinte industrielle dans l’Est Loiret et propose aux 46 collaborateurs de son site de Château-Renard de rejoindre celui de Gien, principal site de production pharmaceutique du groupe.
Confronté à une sous-activité structurelle de son site de Château-Renard (Loiret), le groupe Pierre Fabre a présenté le 21 juillet matin aux représentants du personnel du site, un projet de transfert de l ‘activité et du personnel.
Une activité de conditionnement d’échantillons en tube qui n’est plus prioritaire
Le site de Château-Renard conditionne exclusivement des tubes de soins pour la marque Eau Thermale Avène dont 50 % sous forme de tubes échantillons. La production de ces échantillons ayant été divisée par trois depuis 2017, la capacité du site n’est plus utilisée aujourd’hui qu’à hauteur de 45%. Les tubes échantillons sont en effet remplacés volontairement par des sachets qui présentent l’avantage d’être mieux adaptés aux besoins des consommateurs et du e-commerce pour des formats de plus en plus allégés et compacts.
Une proposition d’emploi à Gien pour les 46 collaborateurs du site
Une mobilité sur le site pharmaceutique voisin de Gien, implanté à 40 kilomètres, est proposée à tous les collaborateurs. Des postes en mobilité interne seront également ouverts sur d’autres sites du groupe pour les collaborateurs désireux de déménager dans le Sud-Ouest. Enfin, des aides à la mobilité externe sont également prévues pour permettre aux collaborateurs ayant un projet professionnel personnel de le réaliser via des mesures spécifiques et l’accompagnement d’un cabinet spécialisé. Les équipes RH et les managers du site sont mobilisés pour informer, écouter et accompagner les collaborateurs qui seront tous individuellement rencontrés d’ici le 30 juillet.
Un renforcement du site de Gien
Le site de Gien,qui produit des médicaments et des produits d’hygiène bucco-dentaire,est le principal site de production pharmaceutique du groupe. L’arrivée de collaborateurs de Château-Renard permettra l’apport de nouvelles compétences. Leur intégration sera facilitée par la proximité des métiers, la mise en œuvre de formations adaptées et par des aides spécifiques à la mobilité.
Un projet dont l’impact serait positif pour l’environnement
Ce transfert aurait également l’avantage de simplifier les flux logistiques. Le vrac des crèmes est actuellement acheminé d’Avène jusque dans le Loiret, puis les tubes sont redescendus à Muret (Haute-Garonne) où se trouve la plateforme logistique du groupe pour les produits dermo-cosmétiques. Dans le cadre du projet, le conditionnement des tubes serait transféré principalement sur le site d’Avène (Hérault). Le projet permettrait d’économiser plus de 1000 tonnes de fret par an et de réduire ainsi l’empreinte carbone du groupe Pierre Fabre.
Une volonté de trouver un nouvel avenir pour les bâtiments du site de Château-Renard
Toutes les opportunités de reconversion des bâtiments seront étudiées en lien avec les acteurs économiques et institutionnels du territoire. Les bâtiments sont adaptés pour accueillir différents types d’activités industrielles ou logistiques. Une fois le transfert des activités réalisé, l’entretien du site continuera d’être assuré pour permettre une reconversion optimale des bâtiments.
Firmenich, spécialiste des parfums et des arômes, a lancé une nouvelle gamme d’extraits purs et 100 % naturels obtenus par une nouvelle technologie d’extraction : sa collection Firgood. Grâce à un procédé breveté, Firmenich peut traiter une biomasse jamais utilisée auparavant dans l’industrie des ingrédients naturels. Au sein de la plateforme Naturals Together, les extraits Firgood viennent compléter sa palette d’ingrédients naturels à destination de la parfumerie et des arômes.
« Cette technologie de pointe, extrêmement respectueuse de l’environnement, est une révolution pour les ingrédients naturels dans notre industrie. Elle ouvre de nouveaux territoires de création encore inexplorés jusqu’à présent, a déclaré Gilbert Ghostine, PDG de Firmenich. Le développement de notre nouveau site industriel dans notre centre d’excellence pour les ingrédients naturels de Grasse renforce notre leadership dans les produits naturels. »
La technologie Firgood met en œuvre uniquement l’eau qui est contenue dans les cellules de la biomasse. Une fois réchauffée par vibration électromagnétique, l’eau transporte les composants odorants, pour délivrer l’extrait pur final.
Aboutissement des avancées réalisées en matière d’extraction durable, cette méthode est, selon Firmenich, plus respectueuse de l’environnement que toute autre méthode. Sans solvant, les biomasses sèches ne nécessitent qu’une humidification, et la faible consommation d’énergie du procédé représente un avantage supplémentaire. De plus, les déchets produits sont propres et peuvent facilement être recyclés, ce qui renforce le caractère durable de cette méthode d’extraction.
« Nous avons réussi à passer du laboratoire et de l’usine pilote à deux lignes industrielles, délivrant une capacité de production qui va de centaines de kilogrammes à plusieurs tonnes d’extraits primaires, a ajouté Boet Brinkgreve, président de la division Ingrédients. Aujourd’hui, une poire Firgood, un gingembre Firgood et un poivron vert Firgood sont intégrés à la palette d’ingrédients Firmenich. Dans les mois à venir, nous introduirons 10 ingrédients supplémentaires, suivi d’une série de développements pour la parfumerie et les arômes. »
Ces trois ingrédients viennent enrichir la palette Firmenich et participent à la création de nouvelles signatures naturelles, répondant aux attentes de ses clients.
Firmenich construit son leadership dans les ingrédients naturels sur trois piliers : des normes d’approvisionnement durable, des collections d’ingrédients certifiés avec une forte implication à la source, ainsi que l’innovation. La technologie Firgood soutient les ambitions du groupe et permet d’accélérer la transition vers toujours plus de carbone renouvelable.
Firmenich est membre fondateur de Grasse Expertise depuis 2017, la marque d’excellence qui vise à préserver le savoir-faire unique de la région de Grasse en France à chaque étape de la production de parfums et d’arômes ; de la culture des fleurs à l’extraction des ingrédients en passant par la recherche scientifique et l’approvisionnement.
Marc-Antoine Barrois & Quentin Bisch (Givaudan), une histoire d’alchimie… L’un est couturier, l’autre parfumeur. Ils se sont rencontrés en 2015 et immédiatement est née une complicité créative extraordinaire. De l’alchimie de cette rencontre et des valeurs partagées par ces deux créateurs, B683 naît en 2016. Le nom est inspiré par l’astéroïde du Petit Prince de Saint Exupery et par la date de naissance du couturier qui en fait sa propre planète imaginaire. C’est un parfum qui mêle cuir et épice dans un raffinement subtil, puissant et racé. Ganymede est lancé en 2019, c’est toujours un cuir mais à l’image de la planète dont il porte le nom, c’est une nouvelle élégance, fraiche et minérale, tout aussi intemporelle….En 2020, Ganymede a reçu 3 récompenses de la Fragrance Foundation, en France, UK et Russie.
L’équipe de Stoelzle Masnières est fière de cette collaboration avec Marc-Antoine Barrois, qui a choisi le flacon cubique 100 ml pour ses 2 magnifiques fragrances. Un écrin très épuré aux fines arêtes saillantes en totale adéquation avec l’univers poétique du créateur. Ce verre de grande qualité a permis d‘obtenir un parachèvement parfait. Pour ce décor complexe c‘est un très bel aplat de marquage à chaud signé Stoelzle décoration qui a été réalisé.
Boticário a choisi le Squeeze’n Tint de Cosmogen pourLily Absolu Eau de Parfum Pinceletrevisite la gestuelle d’application du parfum. Son système de fermeture breveté rotatif On/Off permet de distribuer l’eau de parfum, de refermer, puis de l’appliquer. Il se distingue par son côté pratique, facile à transporter en toute circonstance, et la sensorialité qu’il procure à l’application.
Squeeze’n Tint est conçu en PP et PE issus du recyclage. Il est rechargeable.
Lily Absolu est composé de Lirio de Grasse, cultivé au Jardim do Boticário à Grasse. Cette fleur spéciale et délicate révèle une intensité unique. La texture légère assure un séchage rapide sur la peau. Comme il s’agit d’une eau de parfum, sa concentration plus élevée d’huiles essentielles et de matières premières de haute qualité permet une longue tenue sur la peau.
Un an après son lancement, plus de 5 000 utilisateurs venus de 80 pays ont consulté plus de 57 000 pages sur les deux plateformes cliniques et précliniques. La plateforme Préclinique représente, avec plus de 1 000 utilisateurs, 42 % des consultations.
la plateforme de Skinobs dédiée aux tests précliniques répond aux cosméticiens qui sont à la recherche de screening ou de preuve de concept, des mécanismes d’actions d’actifs ou de produits finis in-tubo, sur modèles cellulaires, co-cultures, modèles 3D de peau reconstruite ou bio imprimée ou d’explants.
Tout comme la plateforme dédiée aux tests cliniques, cet outil unique permet aux responsables de tests, par un accès réservé et gratuit, d’identifier les méthodes et les biomarqueurs, les laboratoires de tests du monde entier pour accélérer vos projets d’évaluation. La plateforme est mise à jour quotidiennement.
Top 10 des revendications recherchées : anti-âge, hydratant, anti-oxydant, microbiote, anti-uv, non irritant, anti-pollution, anti-inflammatoire, renforce la barrière cutanée et amincissant.
Un panorama unique des tests précliniques
La plateforme présente 500 tests, accessibles auprès de 125 laboratoires référencés, suivant 8 catégories de présélection :
Stabilité et tests physico-chimiques
Microbiologie
Sécurité
Absorption cutanée
Biodégradabilité et écotoxicité
Interaction contenant-contenu
Efficacité
UV, UVA, UVB, Infra-rouge ou lumière bleue
« À l’écoute des tendances et de l’évolution des technologies de l’étude des ongles, des cheveux et de la peau, nous travaillons à l’amélioration continue de notre base de données. Les attentes des cosméticiens et des prestataires de tests sont au cœur de notre réflexion et de notre approche indépendante et exhaustive », souligne Anne Charpentier, fondatrice et CEO de Skinobs.