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[revue] Quand les cosmétiques intègrent les variations hormonales

site-industries-cosmetiques Un magazine avec une photo d'une femme en bikini.

Cosmétiques et variations hormonales. Un sujet pas si fréquent que cela et qui pourtant touche les consommatrices des produits cosmétiques. Règles, grossesse, ménopause, les hormones ont une influence sur la qualité de la peau. Les industriels de la cosmétique commencent à l’intégrer dans leurs produits. C’est tout le Zoom du numéro de juin de la revue Industries Cosmétiques.

Et pour bien saisir les enjeux de cet article, nous avons demandé à Kristel Milet, journaliste, de nous expliquer comment elle a procédé. A écouter immédiatement dans le podcast Cosmétalks et à lire avec votre revue n°30.

Journée technique cannabis et cannabinoïdes : retour sur événement et appel à idées

site-industries-cosmetiques Une table présentant une bouteille d'huile de cbd et une plante de cbd lors de la Journée technique cannabis et cannabinoïdes.

Plus de 120 participants se sont réunis le 1er juillet 2021 pour assister à la 2e journée technique de l’année organisée par le pôle Innov’Alliance et consacrée à la thématique du chanvre et des cannabinoïdes. C’est au Palais des papes à Avignon que se sont succédés experts et interprofessions sur ce sujet d’actualité à forts enjeux.

Marion Pillot et Marion Segui, chargées de mission du pôle, ont débuté cette journée en présentant les contours des principaux axes abordés lors de cet événement. Frédéric Favrot, directeur général de Koppert France, a ensuite indiqué que « le pôle Innov’Alliance se devait de prendre le lead sur le sujet. »

Un cycle de conférences variées

Cette journée, sponsorisée par Koppert France, Ledeven, Richel Group, Robertet Group, Vegetal Grox Development ainsi que l’ensemble de ses partenaires de diffusion ABC Chanvre, Cosmed, s’est articulée autour de quatre grandes thématiques.

La matinée a porté sur la « Sélection variétale » et la « Production de chanvre et Cannabis ». L’après-midi s’est concentré autour des thématiques « Extraction de molécules d’intérêt et rationnel scientifique des mécanismes d’action « et « Application : enjeux et développement de produits innovants. »

Un appel à idées de projets autour du chanvre

En écho à l’engouement occasionné par cette journée technique, Innov’Alliance lance un appel à idées de projets autour du chanvre pour lequel le pôle invitd toutes les personnes intéressées à se manifester avant le 30 septembre 2021.

L’objectif : faire émerger des projets innovants sur la thématique du chanvre et des cannabinoïdes sur toute la chaîne de valeur, de la matière première au produit fini, sur les filières agricoles, cosmétiques, nutraceutiques et alimentaires. Il s’agit d’encourager les initiatives qui favorisent l’innovation durable dans les filières visées et participer au développement d’une nouvelle offre d’ingrédients, de produits finis, de technologies ou de services, en réponse aux attentes des consommateurs.

« Le cannabidiol (CBD), molécule phare du chanvre, voit son intérêt auprès de la population française grandir de jour en jour pour ses multiples propriétés. Malgré les points d’ombres législatifs qui demeurent sur ce secteur, le développement de produits cosmétiques, alimentaires, nutraceutiques et bien-être contenant du CBD ou ses dérivés, constitue aujourd’hui une piste d’innovation soumise à des enjeux forts (production, efficacité, analyse, suivi qualité, traçabilité, etc.) », indique-t-on au sein d’Innov’Alliance.

Selon l’Union des Industriels pour la valorisation des extraits de chanvre (UIVEC), le marché des extraits de chanvre en France est estimé à 700 millions d’euros dès la première année en cas d’évolution réglementaire concernant les produits contenant du CBD.

Pour en savoir plus sur l’appel à idées :
https://pole-innovalliance.com/categorie-fr/actualites/projets/appel-a-idees-de-projets-autour-du-chanvre-faites-nous-part-de-vos-innovations

La prochaine journée de conférences du pôle Innov’Alliance aura pour thème : « Conservation alimentaire & cosmétique : similarités et leviers d’amélioration ». endez-vous le 30 septembre prochain à Lyon ! N’ayant ni les mêmes enjeux, ni les mêmes produits, les deux secteurs avancent aujourd’hui en parallèle sur l’amélioration de la conservation, mais pourraient être source d’inspiration l’un pour l’autre. Ainsi, les objectifs de cette journée seront d’identifier les différents enjeux​ et les solutions pour améliorer la conservation d’une part, et de permettre le transfert de technologies et de compétences entre les secteurs agroalimentaire et cosmétique d’autre part.

Pour en savoir plus sur la prochaine journée de conférences :
https://pole-innovalliance.com/events/journee-conservation

VPI signe le spray cap connecté du parfum masculin Phantom de Paco Rabanne

site-industries-cosmetiques Un flacon de parfum robot chromé avec couvercle noir, conçu par VPI pour le parfum masculin Phantom de Paco Rabanne.

En 2021, avec Phantom, Paco Rabanne va encore plus loin pour séduire une génération très connectée et révèle un flacon étonnant.

PHANTOM, le tout premier parfum connecté et refill

Partenaire majeur pour l’industrie du parfum, VPI (Faiveley Plast Beauty) est reconnu pour son expertise packaging.
Pour son dernier parfum masculin, Paco Rabanne a travaillé en étroite collaboration avec VPI. L’entreprise française, spécialisée dans l’injection et l’assemblage de pièces plastiques esthétiques a réalisé le spray cap de la marque, le premier parfum connecté qui bouscule les usages avec un design surréaliste de robot.

Un défi pour une création surprenante

VPI crée la surprise avec son spray cap connecté ultra fun pour produire des expériences client inédites. L’intéractivité entre Paco Rabanne, VPI et STMicroelectronics pour la mise au point de ce parfum atypique a permis d’atteindre le niveau de précision et de perfection fixé par la marque.
Ce spray cap allie une belle finition métallique avec l’intégration dans la tête du robot d’une puce électronique NFC (communication sans contact), le tout dans un encombrement de 3 pièces, pour les capuchons des flacons 100ml et 150 ml. 

« Pour les addicts, le format 150 ml de Phantom est à la fois spectaculaire, mais aussi rechargeable » précise la marque. VPI et PUIG ont conçu un système rechargeable avec un dévissage et un remontage sensoriel qui garantit une solidité et une durée de vie du produit parfaites.

En approchant son smartphone de la tête du flacon, on découvre tout l’univers de Phantom en toute liberté (jeux, playlists…) Un spray de bienvenue dans la « Paco Galaxy » qui devient le complice de tous les jours.
Avec ce lancement emblématique et très médiatique, VPI offre ainsi de nouvelles perspectives avec la toute première intégration d’une puce électronique dans un parfum pour une dimension digitale encore plus créative combinée à la rechargeabilité. 
VPI et le groupe Faiveley Plast poursuivent pleinement leur stratégie d’accompagnement des marques dans leur transition écologique et numérique.

Pure Trade a fabriqué le coffret en bois de la collection de rouge à lèvres « Rouge d’Armani Matte »

site-industries-cosmetiques Pure Trade a fabriqué le coffret rouge à lèvres.

Depuis 25 ans, Pure Trade conçoit les articles de packaging, bagagerie et accessoires haut de gamme qui valorisent les marques de prestige international de la beauté et de la cosmétique.

L’entreprise a matérialisé la création de la marque Armani et proposé une réponse intégrale pour ce coffret display collector, assorti de son pochon de protection et de son emballage, ainsi que d’un sac de transport adapté.

Le coffret a reçu 12 couches de laque et est orné des lettres Armani dorées, qui semblent se fondre à la surface dans un éclat métallisé harmonieux.

Il contient un calage amovible pour présenter les tubes de rouge à lèvres aux 24 teintes de la marque. Un fermoir en métal doré assure le verrouillage.

Cette production très sélective a fait l’objet d’un développement technique pointu pour un produit destiné à une seconde vie en tant que coiffeuse d’un diamètre de 41 cm.

Le marquage à froid par Wauters

site-industries-cosmetiques Un homme tient un livre avec le marquage à froid par Wauters.

« Orfèvres du packaging »… depuis 1909, la dorure est au cœur de l’histoire de la maison Wauters. Aujourd’hui, cette signature s’exprime au travers d’un nouvel investissement et d’un nouveau savoir-faire, technique et innovant, qui ouvre de nouvelles perspectives au packaging.

De la feuille d’or à l’innovation industrielle

À l’origine, Charles Wauters crée un atelier de dorure sur cuir dans le Marais à Paris : reliure, couverture d’ouvrages, sous-main en cuir… Charles Wauters invente ses outils, met au point le Fixor (destiné au collage de la feuille d’or, ce produit est encore commercialisé chez Rougier & Plé), et développe des équipements à la source du métier actuel de doreur.

Expert de la dorure, Wauters transpose et aiguise son savoir-faire du cuir au carton, pour collaborer aujourd’hui avec les plus grands noms de la Parfumerie, de la Cosmétique et des Spiritueux autour de l’étui à haute valeur ajoutée.

La maison s’équipe année après année des technologies les plus précises et spécifiques, comme le marquage à chaud déposé en cylindre associé à un groupe de gaufrage, avec une machine unique au monde développée en partenariat avec Steuer et qui permet une précision hors pair sur les grands aplats de marquage à chaud associés à un groupe de gaufrage.

Naturellement et dans la continuité, Wauters développe aujourd’hui sa proposition de marquage à froid. Une offset à la pointe… pour dorer à froid

L’année dernière, Eric et Thierry Wauters (4e génération de la maison) ont décidé d’investir et d’équiper le site Bourguignon B.Pack d’une nouvelle presse offset.

Cette année,c’est le site de Villebon-sur-Yvette qui s’équipe de la toute nouvelle machine Heidelberg, la CX 104, révélée en exclusivité dernièrement sur le salon China Print. La maison Wauters sera la première à bénéficier de cette nouvelle génération d’offset, plus performante et ergonomique, avec son pupitre unique et intuitif, qui permet d’agrandir encore le format d’impression avec une taille de feuille de 720 x1040 mm.

À l’heure actuelle, cet équipement a pour complément un module de marquage à froid (ou laminage à froid) Optima de Vinfoil. Une nouvelle étape dans le savoir-faire « dorure » de la maison se développe dans la lignée des standards d’exigence Wauters et vers une technicité aux multiples possibilités.

Le marquage à froid, un process simplifié

Si le marquage à froid n’a pas vocation à remplacer le marquage à chaud, c’est un procédé alternatif et complémentaire, qui offre trois grands avantages : performance, écologie, design.

Le transfert de dorure se fait directement sur la machine offset.

Contrairement au marquage à chaud qui nécessite l’utilisation d’un outil de fer à dorer, le film de marquage à froid est transféré via une plaque offset sur le support en utilisant de la colle. Plus besoin d’outil, plus besoin de caler le support sur une nouvelle machine, tout se passe en ligne sur la nouvelle offset.

Le marquage à froid permet la réimpression sur le film de dorure. Un jus, un dégradé, une quadri, un décor en ton direct, le design est libéré. Plus besoin de blanc couvrant pour les textes ou les décors, on travaille en réserve, directement sur le carton.

La technicité du marquage du froid garantit précision, agilité et flexibilité et tenue de cadence… 

Un rendu de haute qualité

Les superpositions sont facilitées grâce à une qualité de repérage au 100ème : plus besoin de caler le carton sur une autre machine, le laminage à froid se fait directement sur la machine offset. La précision est de mise. De l’aplat à la fine disparition, les dégradés sont sublimés grâce à une finesse de point inégalée.

Fini le blanc couvrant en plusieurs passes pour retrouver la pureté, la réserve dans la dorure à froid s’imagine en aplat par exemple, pour laisser place à une quadri en dos de pack, ou d’une finesse incroyable pour des textes, mentions ou gencods.

Un process RSE

Parmi ses atouts, cette technicité présente des vertus écologiques : gain de temps, de matières et économie d’énergie. Grâce à une application très précise, le process du marquage à froid permet de réduire la gâche. Les bobines de film usagées sont ensuite reprises par le fournisseur qui, après un processus de démétallisation, recycle le PET en le remétallisant pour une seconde vie. La production d’outil de fer à dorer n’étant plus nécessaire, c’est un gain de matière et d’énergie.

Performance, écologie, design, le marquage à froid ouvre de nouvelles perspectives pour le monde du packaging haut de gamme.

Procos signe un coffret e-commerce 100 % mono-matériau

site-industries-cosmetiques Une boîte jaune avec une photo de lunettes de soleil.

Procos, fabricant allemand de packagings pour les grandes marques de luxe, dévoile une version « Été » de sa boite Yoga Light. Ce coffret e-commerce baptisé « Summer 2021 » est 100 % mono-matériau. Il est inspiré de la couleur pantone de l’année « jaune illuminating ».

« La communication digitale devient de plus en plus importante. Dans cet esprit, ce packaging comporte un QR code vers notre nouveau site web donnant ainsi la possibilité de découvrir ou redécouvrir Procos », explique Stéphanie Havard, directrice des opérations chez Procos.

Procos présentera cette version revisitée lors des salons de la rentrée. D’abord à Édition Spéciale by Luxe Pack, les 31 août & 1er septembre 2021 au Carreau du Temple à Paris (Stand B05), puis à Luxe Pack Monaco les 27, 28 et 29 septembre 2021 (Stand DF01/DF03).

[podcast] Stoelzle Masnières Parfumerie se modernise et se diversifie

C’est un investissement de 20 M€ qui a permis au site de Masnières (59) de se moderniser et de se diversifier. Nouveau four, nouvelle ligne hybride, nouveaux équipements automatiques, tout pousse le verrier à aller plus loin, plus vite. Parfumerie et cosmétiques restent en bonne place dans l’usine, mais les spiritueux font leur entrée.

Explications par Étienne Gruyez, P.D.G. de Stoelzle Masnières Parfumerie. Reportage à écouter en podcast ci-dessous et interview à lire dans la revue Industries Cosmétiques de juin 2021.

Givaudan acquiert 25 % des actions de b.kolormakeup & skincare

site-industries-cosmetiques Un bâtiment avec une enseigne verte devant est acquis par Givaudan.

Givaudan annonce avoir acquis 25 % des actions de b.kolormakeup & skincare, société italienne innovante spécialisée dans le développement et la production de bout en bout de produits de maquillage et de soins de la peau pour des clients des secteurs des biens de consommation emballés et du luxe. En unissant leurs forces, Givaudan Parfums et Beauté et b.kolor tireront parti de leurs capacités respectives pour fournir aux clients des produits et des solutions intégrées créatifs et uniques.

Fondée en 2000, b.kolor a son siège social près de Milan (Italie) et emploie quelque 250 collaborateurs. Ses employés sont des experts reconnus dans les domaines de la conception de formulations industrielles, axée sur l’innovation et les avantages sensoriels alliés à la performance technique. Ils participent à toutes les phases du processus de création pour les produits de maquillage et de soins de la peau, depuis la génération d’idées et leur transposition en formules cosmétiques, jusqu’à la conception d’appareils innovants et la fabrication du produit final. Ils conçoivent chaque année environ 250 nouveaux produits, offrant à leurs clients des produits tout prêts pour les marques favorites des consommateurs.

b.kolor apportera à Givaudan des solutions à valeur ajoutée pour ses clients, leur permettant d’accélérer leur propre processus de développement et de mettre plus rapidement sur le marché de nouvelles générations de produits de maquillage et de soins de la peau. En retour, b.kolor bénéficiera de l’accès à la palette d’ingrédients de Givaudan et de ses technologies Parfums et Beauté brevetées.

Maurizio Volpi, président de Givaudan Parfums et Beauté, précise : « La mise en place de ce partenariat unique avec b.kolor par l’acquisition de 25 % de ses actions promet d’être une aventure passionnante. Elle concorde parfaitement avec nos ambitions pour 2025 consistant à poursuivre notre expansion dans les domaines des soins de la peau et du maquillage. En partageant nos capacités de création et d’innovation, nous serons en mesure de générer une valeur supplémentaire pour nos clients respectifs en présentant une offre complète combinant des connaissances scientifiques de haut niveau, l’excellence de la conception et la fabrication de bout en bout. Cette situation sera profitable à tous nos clients, car ils gagneront ainsi en vitesse de commercialisation, avec des produits finis très innovants. »

Maria-Teresa Sancini, présidente de b.kolor, a déclaré : « Nous sommes ravis de débuter cette collaboration avec Givaudan. Elle représente une formidable occasion de développer nos activités. Les capacités de Givaudan en matière de création, d’ingrédients et de technologie nous aideront grandement à faire évoluer notre offre de produits et nous bénéficierons également de la clientèle et de la présence géographique de Givaudan pour accéder à de nouveaux territoires. Nous sommes aussi très heureux de partager avec Givaudan notre savoir-faire unique en matière de création, de conception et de production, afin de commercialiser les produits de demain. »

Les termes de la transaction ne sont pas rendus publics. Givaudan la finance par des ressources déjà existantes. Conformément à l’accord, dans un délai de trois ans, Givaudan a la possibilité, et non l’obligation, d’acquérir le contrôle majoritaire de b.kolor.

Parfums : une immersion olfactive

site-industries-cosmetiques Une femme au chapeau se promène dans un champ de fleurs, se plongeant dans diverses senteurs parfumées.

StereOscent, la nouvelle technologie signée Jacques Blanc Parfum, offre, selon la marque, une véritable immersion olfactive pour chaque parfum, existant ou à créer.

« Imaginez une balade le long d’une plage en Corse. D’un côté, la mer et ses senteurs fraîches d’embrun iodé, de l’autre, le maquis et ses notes de thym et d’immortelle. Jusqu’à présent, le parfumeur ne disposait que d’un processus mono-olfactif pour reproduire l’odeur de cette promenade. Son flacon en imitait la sensation 3D de manière incomplète, un peu comme la monophonie d’autrefois comparée à la stéréophonie. Grâce à StereOscent, il peut désormais reproduire la fragrance au plus proche de l’expérience parfumée que la nature nous offre et en plein accord avec nos capacités olfactives », indique-t-on chez Jacques Blanc Parfum.

StereOscent recourt aux mêmes techniques neuro-biologiques que celles de la stéréophonie pour l’audition ou celles de la réalité virtuelle pour la vue. La technologie fait appel à nos deux réseaux olfactifs indépendants (deux narines, deux bulbes, deux nerfs) pour solliciter entièrement les capacités olfactives de notre système nerveux et recréer la nature même de l’odorat. 

« Lorsqu’un parfum composé grâce à StereOscent est comparé au même parfum créé selon les méthodes traditionnelles, le résultat est sans appel : plus de volume, une meilleure définition des molécules odorantes et un sentiment d’immersion naturelle. Ce principe de 3D apporte davantage de profondeur et de spatialité au parfum pour le laisser exprimer toutes ses notes », précise-t-on chez Jacques Blanc Parfum.

Avec cette nouvelle technologie qui a fait l’objet de plusieurs brevets, chaque parfum peut être créé selon ce principe d’immersion totale. Un parfum existant, comme le N°5 de Chanel par exemple, peut être développé par le parfumeur maison avec StereOscent pour offrir une nouvelle expérience à ses clientes. 

Jacques Blanc Parfum est une Jeune entreprise innovante française (JEI) fondée par Jacques Blanc. L’entrepreneur a suivi ses études à Nice puis à l’Université de Sherbrooke au Canada. Après une expérience comme directeur créatif en agences de publicité, puis comme enseignant du système nerveux humain à Londres, il collabore avec les principales marques de l’industrie française du parfum. En 2014, il est nommé Chevalier de l’Ordre des Arts et Lettres. Depuis 2019, il se consacre à la mise au point de la technologie StereOscent. 

Quadpack noue des partenariats et se développe en Asie

site-industries-cosmetiques Une carte du monde sur fond violet.

Quadpack, le fabricant et fournisseur international d’emballages destinés aux produits de beauté, a désigné le fabricant d’emballage coréen LM en tant que « partenaire officiel de Quadpack », pour l’aider à accélérer sa pénétration sur le marché asiatique. Suivant l’accord passé avec Yuga en Chine annoncé en février, Quadpack établit des partenariats selon un nouveau modèle opérationnel régional, conçu pour favoriser la construction de la marque Quadpack, augmenter la part de marché, améliorer le service local et partager ses valeurs avec ses parties prenantes. 

Raj Savji, Managing Director – Asia Pacific chez Quadpack, explique : « les grands marchés de l’emballage asiatiques se mesurent en milliards d’euros. La Corée à elle seule vaut 1,1 milliard d’euros. Pour conquérir cette région et atteindre les objectifs de notre stratégie commerciale 2020-2025, nous nous reposons sur nos partenaires de confiance. Apportant des valeurs communes, des forces complémentaires et des réputations établies, ces collègues clés de l’industrie élargiront notre portée et enrichiront notre service en nous permettant de livrer des solutions dans la région et pour la région. »

Un certain nombre d’attributs clés sont requis pour pouvoir se qualifier parmi la sélection des partenaires envisagés dans le cadre de l’élargissement de son réseau global. Parmi ceux-ci figurent les processus durables, le fait d’être leader dans sa catégorie, une réputation impeccable, la portée client et la valeur ajoutée en matière de fabrication ou d’accès à de nouveaux segments de marché. 

LM, basé à Séoul, en Corée, est un fabricant d’emballage bien établi bénéficiant d’une forte présence dans le secteur des soins de la peau dermatologiques. Il dispose d’installations de premier niveau pour produire, assembler et décorer des composants du portefeuille QLine de Quadpack de solutions intelligentes et modulaires. Yuga, basé à proximité de Shanghai, en Chine, fabrique déjà des composants sélectionnés de la gamme QLine. Conjointement avec les usines européennes de Quadpack, ces partenaires permettront à la société de renforcer son offre et de répondre aux besoins du marché asiatique. 

Tandis que le réseau de partenaires se développe, Quadpack vise à élargir son portefeuille QLine avec des solutions conçues pour le marché local avec l’aide de ses partenaires, et si possible avec des créations communes et des innovations collaboratives. 

La présence de Quadpack dans la région Asie-Pacifique inclut également un bureau à Tokyo, au Japon, inauguré il y a un an. Avec une équipe en pleine croissance, il établit des relations et favorise des partenariats sur ce marché asiatique clé. Le bureau de Melbourne est le plus ancien de la région. Il sert l’Australie et la Nouvelle-Zélande en direct et envisage l’établissement de sites d’entreposage et de fabrication locaux pour accélérer le délai de commercialisation et diminuer l’empreinte carbone. 

Ce modèle opérationnel basé sur des partenariats officiels sera envisagé pour d’autres régions afin de compléter les ventes directes et le service d’assistance. Cependant, sur le plan historique, la croissance par le partenariat n’est pas un fait nouveau pour Quadpack. Il s’agit plutôt d’un retour aux sources. 

« La collaboration est dans notre ADN, affirme Tim Eaves, CEO de Quadpack. Quadpack a démarré ses activités sous la forme d’un partenariat de trois sociétés en 2003 : Belcos Packaging, Lenglart Packaging et Gadbrooke Packaging, chacune travaillant avec des partenaires à l’échelle mondiale. En réalité, le directeur général de LM, Michael Lim, est l’un de mes plus anciens contacts de Belcos, une relation qui date d’il y a presque vingt ans. Je suis ravi de renouveler notre amitié et souhaite la bienvenue à notre nouveau partenaire dans la famille Quadpack. » 

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