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Les produits Garnier sont approuvés par Cruelty Free International

site-industries-cosmetiques Une variété de produits de soins capillaires sur fond blanc.

Tous les produits Garnier, au niveau mondial, sont à présent officiellement approuvés par Cruelty Free International. La marque a reçu l’aval du programme Leaping Bunny de Cruelty Free International, organisation mondiale visant à mettre un terme aux tests cosmétiques sur les animaux dans le monde.

Garnier est l’une des plus grandes marques internationales que Cruelty Free International approuvées dans le cadre du programme Leaping Bunny. 

« Garnier est une marque mondiale que nous connaissons tous. Travailler avec elle pour la déclarer officiellement approuvée dans le cadre du programme international Leaping Bunny est une étape importante. Il aura fallu plusieurs mois à Garnier pour examiner scrupuleusement chaque fournisseur et obtenir la certification », indique Michelle Thew, PDG de Cruelty Free International.

Leaping Bunny exige des marques de pouvoir auditer l’ensemble de leur chaîne d’approvisionnement, y compris chaque matière première et ingrédient individuel pour vérifier la conformité aux critères très exigeants de leur Charte. L’approbation doit être accordée à tous les produits finis d’une marque, les produits ou articles individuels ne pouvant pas être approuvés séparément.

Pour Garnier, il s’agissait d’obtenir cette certification pour plus de 500 fournisseurs sur plus de 3 000 ingrédients différents, dans le monde entier. Pendant de nombreux mois, Garnier et Cruelty Free International ont travaillé ensemble pour obtenir cette preuve et s’assurer que chaque produit du portefeuille mondial de Garnier puisse afficher officiellement le logo Leaping Bunny de Cruelty Free International – reconnue universellement pour lutter contre les tests sur les animaux dans le monde. 

« Garnier s’est engagé pour un monde sans test sur animaux depuis 1989. Être officiellement approuvé par Cruelty Free International dans le cadre du programme Leaping Bunny est une étape importante et a toujours fait partie de notre mission Green Beauty. Aujourd’hui, Garnier fait un pas de plus pour devenir une marque pleinement engagée, durable, transparente, offrant la Green Beauty à tous », souligne Adrien Koskas, directeur général international de Garnier.

Cette annonce de Garnier marque le début d’une année historique pour la marque. En 2020, Garnier a annoncé son initiative Green Beauty, une approche de développement durable sur tout le cycle de développement du produit, consistant à transformer chaque étape de sa chaîne de valeur et à réduire considérablement son impact environnemental.

Cette annonce s’accompagne de plusieurs innovations durables. Chaque nouveau produit incarne les engagements Green Beauty de la marque, et tous sont maintenant officiellement approuvés par Cruelty Free International dans le cadre du programme Leaping Bunny :

– Les disques démaquillants réutilisables Garnier SkinActive
– Le shampooing solide Garnier Ultra Doux
– Le shampooing et après-shampooing Garnier Fructis (maintenant en flacons recyclables composés à 100 % de plastique recyclé).


Chiffres clés de Garnier :

• 1 ère marque naturelle au monde (source : Euromonitor 2019)
• Vendue dans 64 pays
• Principaux objectifs pour 2025 :
– Zéro plastique vierge, soit une économie de 37 000 tonnes de plastique vierge par an.
– Des sites industriels neutres en carbone, avec 38 596 tonnes d’équivalent CO 2 déjà économisées grâce à l’utilisation accrue d’énergies renouvelables.
– 100 % d’emballages plastiques recyclables, réutilisables et compostables d’ici 2025.

Allégations cosmétiques : il faut faire le ménage !

site-industries-cosmetiques Une photo monochrome de pinceaux de maquillage dans un récipient.

Les temps changent. Il fut un temps où les consommateurs croyaient sur parole les fabricants de cosmétiques sur les qualités de leurs produits. En 2019, la situation s’est considérablement dégradée et la méfiance est là. Sur les boîtes et les flacons, les listes d’ingrédients sont étudiées, décryptées, scannées. L’opinion publique est ballotée entre des informations contradictoires au point de créer une véritable cacophonie. Afin de pouvoir à nouveau s’entendre, la Commission européenne est à l’origine, il y a 6 ans, d’un Règlement visant à encadrer les allégations cosmétiques et en particulier celles jugées dénigrantes (les fameuses mentions « sans »). Ce règlement resté lettre morte tente de renaître de ses cendres avec entrée en application ce mois de juillet dernier via une recommandation de l’ARPP (Autorité de régulation professionnelle de la publicité) et une campagne orchestrée par la Febea (Fédération des entreprises de la beauté)

Communication positive

Les amateurs de vieilles histoires cosmétiques savent bien que, pendant longtemps, la communication afférente à ce type de produits a été positive. La crème Simon, mise au point en 1860, par un jeune pharmacien plein de talent, permettait, nous disait-on alors, de conserver « au teint l’éclat de la jeunesse » et par-dessus le marché de combattre « rougeurs, hâle et piqûres d’insecte ».

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Publicité pour la Crème Simon. janwillemsen/FlickrCC BY-NC-SA

La crème Tokalon, quant à elle, revendiquait l’utilisation du « Biocel », « un merveilleux aliment pour la peau ». La consommatrice, séduite par le thorium et le radium, nouvellement découverts, mais craintive lorsqu’il s’agit d’utiliser un fond de teint (« le maquillage nuit à la santé épidermique »), se tournait résolument vers la gamme Tho-Radia qui semblait alors avoir toutes les qualités. Les allégations étaient parfois très optimistes (la crème Diadermine nettoie la peau matin et soir et protège l’épiderme des coups de soleil), mais, après tout, le cadre légal n’était pas encore posé. L’acide borique, mêlé au talc, était saupoudré sur les fesses des bébés et les joues de leurs pères… jusqu’à ce que le lien entre cosmétique et intoxications (voire même décès de nourrissons) soit établi – nous sommes alors dans les années 1950 ! Même si des travaux scientifiques pointent déjà du doigt quelques ingrédients « indésirables », le consommateur d’alors se laisse bercer par les belles promesses. Alors que l’on ne dispose pas encore de listes de substances interdites et de substances autorisées sous conditions (nous sommes avant la date fatidique de 1972), la peur est un sentiment inconnu du consommateur qui a une confiance totale dans l’industrie cosmétique naissante.

Communication négative

À partir des années 2000, le ver est dans le fruit… Les travaux publiés de Philippa Darbre établissant un lien (hâtif et mal documenté) entre déodorant et cancer du sein donnent l’idée à certaines sociétés cosmétiques de communiquer autrement. Plutôt que de raconter une belle histoire tournant autour d’un ingrédient que l’on cherche à valoriser, on va désormais stigmatiser un certain nombre de matières premières et en particulier les parabens. Les premiers produits « sans paraben » font leur entrée sur les linéaires ; ils seront au fil des années rejoints par des cosmétiques sans « silicone, PEG, paraffine, sulfates… ».

L’industrie du bio s’installe rapidement dans une stratégie de communication fondée sur la peur. Qu’importe si les ingrédients incriminés ne présentent, en réalité, aucun danger, l’essentiel est de canaliser une partie de l’opinion publique vers un segment de l’industrie qui veut gagner des parts de marché le plus rapidement possible. L’angoisse est telle, dans certains cas, que certaines femmes en viennent à ne plus se laver les cheveux et à proposer des recettes – maison sur leur blog tant la peur des bases lavantes des shampooings est importante. Devant cette peur irraisonnée d’un certain nombre d’ingrédients, il est temps de parler de cosmétophobie et de mettre en garde contre un mode de communication qui va conduire consommateurs et industriels, à plus ou moins long terme, dans le mur !

Communication encadrée

Le Règlement (UE) No 655/2013 de la Commission du 10 juillet 2013 établissant les critères communs auxquels les allégations relatives aux produits cosmétiques doivent répondre pour pouvoir être utilisées est alors mis en place afin d’endiguer une communication qui part à vau-l’eau. La notion de « conformité avec la législation », de « véracité », « d’éléments probants », « d’équité » et de « choix en connaissance de cause » sont ainsi détaillés.

On commence alors à respirer en se disant que les cosmétiques « sans, sans » sont du passé. Il est, en effet, clairement inscrit dans le Règlement que « les allégations relatives aux produits cosmétiques doivent être objectives et ne peuvent dénigrer ni la concurrence ni des ingrédients utilisés de manière légale ». Pourtant, en pratique, il apparaît que ce Règlement passe totalement inaperçu… au point que l’ARPP est obligée de rédiger un texte explicatif permettant de mieux s’approprier le texte européen en vigueur.

YouTube vidéo

La Recommandation produits cosmétiques V8 (en vigueur depuis le 1er juillet 2019) détaille donc la nécessité d’abandonner la mention « sans sans ;», « afin de contribuer à une image valorisante des produits cosmétiques », en utilisant une « publicité qui doit être essentiellement consacrée aux arguments positifs » L’interdiction de la mention « sans » est relayée par la Febea qui a organisé une campagne radiophonique d’information du public visant à faire connaître cette interdiction. Tout le monde n’est pas d’accord et le fait savoir sur les réseaux sociaux ; c’est le cas par exemple de l’association Cosmébio.

De la nécessité de faire le ménage

Lorsque l’on constate que des produits cosmétiques affichent des allégations médicales, par exemple des cosmétiques prétendant favoriser le sommeil, la respiration, ou encore traiter maux de ventre et ballonnements, on se dit que l’on est bien loin d’une communication cosmétiques zéro défaut et l’on s’interroge quant au respect du Règlement européen en matière de communication. Il y a vraiment des efforts à faire !

Auteurs

Céline Couteau
Maître de conférences en pharmacie industrielle et cosmétologie, Université de Nantes, Auteurs historiques The Conversation France

Laurence Coiffard
Professeur en galénique et cosmétologie, Université de Nantes, Auteurs historiques The Conversation France

Cet article est republié à partir de The Conversation sous licence Creative Commons. Lire l’article original.

Croda reçoit le statut Platine d’EcoVadis

site-industries-cosmetiques Deux femmes en blouse de laboratoire travaillant dans un laboratoire.

Croda International Plc, utilisant la science intelligente pour créer, fabriquer et fournir des ingrédients de spécialité améliorant la vie, célèbre ce mois-ci l’obtention du nouveau statut Platine par EcoVadis.

Ce prix Platine place Croda non seulement dans le premier 1 % de toutes les entreprises du secteur chimique, mais aussi dans le premier 1 % de toutes les entreprises évaluées par la plateforme. La méthodologie rigoureuse d’EcoVadis évalue plus de 75 000 entreprises dans 160 pays et 200 secteurs d’activité. Elle permet de déterminer dans quelle mesure une entreprise a intégré les principes de durabilité/RSE dans son système de gestion d’entreprise et ses activités.

La méthodologie d’évaluation s’appuie sur les normes internationales de durabilité, notamment la « Global Reporting Initiative », le Pacte mondial des Nations Unies et la norme ISO 26000. La méthodologie fondée sur des données probantes couvre l’évaluation sur quatre thèmes : environnement, travail et droits de l’homme, éthique et approvisionnement durable. Croda a été identifié comme ayant fait progresser les pratiques de RSE dans trois de ces catégories.

Stuart Arnott, président de la division Développement durable de Croda, a commenté l’évaluation en ces termes :  « Nous sommes évalués par EcoVadis depuis près de 10 ans, et nous avons obtenu le statut « Gold » pour la première fois en 2012. Depuis lors, nous n’avons cessé de nous améliorer et nous sommes déterminés à aller encore plus loin, en visant un score d’au moins 85/100 d’ici 2023 et à être « exceptionnels » dans les quatre thèmes d’ici à 2030. Cette ambition soutient notre position de leader et notre engagement à être le fournisseur d’ingrédients innovants le plus durable. »

Un modèle de micro-tissu dermique pour étudier les propriétés élastiques de la peau in vitro

site-industries-cosmetiques Une personne portant des gants bleus tient un récipient de liquide.

Au cours du vieillissement, la peau subit une dégradation de ses propriétés biomécaniques, et en particulier une perte d’élasticité qui entraîne un relâchement cutané. Les fibres élastiques du derme sont les principaux éléments qui donnent à la peau son élasticité et sa résilience. Mais avec le temps, leur organisation et leur fonctionnalité s’altèrent, ce qui en fait une cible incontournable des stratégies cosmétiques anti-âge.

Les substituts cutanés développés par bio-ingénierie tissulaire, facilement disponibles sur le marché actuellement, restent des modèles imparfaits pour étudier l’élasticité de la peau. En effet, ils contiennent des supports exogènes et artificiels qui biaisent la mesure des propriétés biomécaniques dans lesdits tissus. Le développement d’un modèle approprié pour étudier mécaniquement une structure tissulaire comme celle de la peau était donc nécessaire.

Les laboratoires Gattefossé ont développé un nouveau modèle de micro-tissu dermique qui s’affranchit des matrices de culture pour permettre la mesure in vitro des propriétés élastiques intrinsèques du derme. Pour évaluer l’élasticité de ces micro-tissus de peau appelés sphéroïdes, Gattefossé a choisi l’expertise de BioMeca afin de mener une évaluation analytique innovante avec des technologies de pointe.

« Caractériser les modèles biologiques pour évaluer l’effet des actifs et produits cosmétiques sur la restauration et le maintien de l’homéostasie de la peau est aujourd’hui indispensable. BioMeca offre des technologies de pointe pour répondre aux enjeux de la biologie cutanée. Dans des conditions quasi-physiologiques et à travers le temps, la microscopie de seconde harmonique met en lumière et en images les réseaux fibreux tandis que la microscopie à force atomique permet d’évaluer la rigidité des tissus. Etudes topographiques et mécaniques, quantification et caractérisation nanomécanique de tissus, les expertises de BioMeca sont une clé pour l’exploration des propriétés élastiques des modèles de peau et ouvrent les portes à une meilleure compréhension de la biomécanique de la peau », souligne Julien Chlasta, co-fondateur et président de BioMeca.

La culture en sphéroïde a l’avantage d’utiliser la capacité des cellules à sécréter leur propre matrice extracellulaire, afin de produire in vitro leur propre microenvironnement tissulaire. Cette technologie a permis à Gattefossé de produire in vitro des centaines de microtissus en quelques jours, à partir de fibroblastes dermiques cultivés dans des plaques à très faible adhésion cellulaire. Le module élastique (ou module d’Young) a ensuite pu être quantifié par microscopie à force atomique (AFM) et les fibres élastiques visualisées par microscopie de génération de seconde harmonique (SHG). Gattefossé et BioMeca ont ainsi démontré la fiabilité et la pertinence de ce modèle de micro-tissu dont l’organisation complexe forme un réseau dense de fibres élastiques matures suffisamment étendues pour modéliser in vitro la mécanique élastique dermique.

Le développement du modèle de micro-tissu sphéroïde a été présenté fin 2020 au 31 congrès de l’IFSCC de Yokohama.

« En combinant deux techniques analytiques de pointe, la microscopie de génération de seconde harmonique (SHG) et la microscopie à force atomique (AFM), nous avons corrélé avec précision la présence et la quantité de fibres élastiques avec les propriétés élastiques des micro-tissus, démontrant ainsi que les fibres élastiques nouvellement formées étaient fonctionnelles », a déclaré le responsable de la recherche en biologie cutanée à Gattefossé, le Dr HDR Nicolas Bechetoille.

Ce modèle de micro-tissu cutané a été utilisé pour mesurer l’efficacité d’EleVastin, le nouvel actif cosmétique développé par Gattefossé, luttant contre le relâchement cutané, qui sera lancé en avril 2021.

Cosfibel s’emballe pour le e-commerce

site-industries-cosmetiques Une boîte avec une brosse à dents, du dentifrice et une brosse à dents.

Grâce à sa palette de savoir-faire, du coffret à l’accessoire, le groupe Cosfibel se positionne sur les marchés du e-commerce avec une offre globale compétitive et écoresponsable.

Dans un contexte où l’e-commerce explose littéralement, l’achat dématérialisé requiert de nouveaux codes. S’agissant de volumes conséquents, cette typologie d’emballage impose un calcul de coûts avisé, mais pas seulement. Cosfibel y souscrit par une offre globale mais pour autant attentive à l’expérience client.

Six lignes porteuses d’histoires

Fort de son expertise coffrets, étuis, bagagerie, accessoires… Cosfibel considère l’offre e-commerce dans son ensemble, ajoutant à la fonction première de l’emballage une notion de plaisir liée à la découverte du produit et à son utilisation. Pour cela, le groupe a créé six lignes porteuses d’histoires. Elles comprennent chacune un emballage primaire destiné à recevoir le produit, le shipper en carton ondulé livré à plat, puis le nécessaire tel que papier de soie, ruban, carte à imprimer, stickers… S’ajoute un choix d’accessoires sélectionnés pour leur fonctionnalité, leur attractivité et leur prix compétitif. Un pochon de velours à réutiliser, une spatule décorée pour accompagner une crème, un pinceau, de maquillage, un gant de massage ou encore une jolie lime à ongles vise à permettre d’enrichir la routine beauté et séduire celui qui le reçoit. Selon Cosfibel, « la marque gagne dans ce geste un indiscutable capital sympathie. »

Quand le packaging devient outil marketing

Par cette collection e-commerce composée de six familles, Cosfibel vise à accompagner les marques dans leurs stratégies de vente en leur permettant de composer sur un mode « mix and match ». Ainsi, l’entreprise  intervient-elle sur toute la chaîne, de la conception du pack jusqu’au conditionnement, en total full service.

Symrise signe Matcha Meditation pour Maison Margiela

Tête : thé vert, bergamote ; cœur : matcha, fleur d’oranger, jasmin ; fond : benjoin du Siam, accord de mousse : Matcha Meditation est une composition réalisée par les Alexandra Carlin et Maurice Roucel, parfumeurs chez Symrise pour Maison Margiela.

« Inspiré d’une séance de méditation par un bel et lumineux après-midi, en savourant une tasse de thé matcha traditionnel japonais, Matcha Meditation est une invitation à se concentrer sur le moment présent, profiter de chaque geste et éveiller les sens », indique-t-on chez Symrise.

Créée par Alexandra Carlin et Maurice Roucel, cette fragrance met en odeur le sentiment de complicité entre le corps et l’esprit ressenti après une séance de yoga. Ingrédient emblématique de la cérémonie du thé japonaise, le matcha est le seul thé dont la feuille entière est consommée, multipliant les vertus du thé vert.

« Le thé Matcha, et surtout le Gyokuro, est aussi appelé le Thé de la Méditation pour profiter d’un moment de calme et de volupté. Le thé Matcha a indéniablement des vertus apaisantes. C’est un ingrédient magique qui réduit le niveau de stress et favorise la sérénité et la concentration », relève Maurice Roucel.

« Le parfum de la fleur d’oranger est associé à la félicité et à l’enfance dans de nombreuses cultures. Nous avons utilisé le précieux absolu dont l’odeur est sensuelle et mielleuse. Le bois de santal naturel sent le pain mou et chaud pour moi et la vanille est universellement liée à la douceur », explique Alexandra Carlin.

En résulte un parfum aux multiples facettes, aux tonalités « incroyables » selon ses concepteurs, aux couleurs surprenantes et à la touche réconfortante. Alexandra Carlin et Maurice Roucel ont eu le désir de créer une fraîcheur élégante autour de beaux agrumes et d’un thé floral souligné par la note verte et lumineuse du matcha. En arrière des baumes, des bois blonds et des muscs blancs rehaussent la facette crémeuse du matcha.

Comme un air de printemps : VPI sublime le nouveau parfum féminin Girl de Rochas

Rochas (Interparfums) a choisi de faire confiance à VPI (Faiveley Plast Beauty), spécialiste français dans l’injection et la décoration de pièces plastiques esthétiques pour la réalisation du bouchon de Girl de Rochas.

Un parfum nouvelle génération

Lancé en France en mars 2021, Girl de Rochas rend hommage à la femme et s’inscrit pleinement dans les attentes des consommatrices actuelles qui recherchent toujours plus de créations respectueuses de l’environnement.

Interparfums souhaitait sublimer le capot de cette toute nouvelle fragrance féminine par une teinte claire et mate dans l’esprit du flacon au design minimaliste.

Le bouchon cylindrique lisse en plastique partiellement recyclé est composé de PP biosourcé pour la partie intérieure, de PET recyclé et de PP biosourcé chargé minéral pour l’extérieur. VPI garantit ainsi un minimum de 42 % de matière recyclée et biosourcée en poids dans le produit. Ces combinaisons de matières ont permis d’obtenir et de respecter la même teinte vert pastel du flacon.

« Les actions respectueuses de l’environnement sont fermement ancrées dans la politique de notre entreprise. C’est pour répondre aux sollicitations de nos clients et les accompagner dans leur stratégie et démarche RSE que nous avons développé ce bouchon », souligne Marc Beltrami, directeur commercial VPI.

Ce capot élégant d’une grande sobriété, véritable défi technique, est le fruit d’une étroite collaboration entre les équipes d’Interparfums et de VPI dans le respect d’une démarche d’ écoconception. Il habille les trois contenances développées par Rochas : 40, 60 et 100ml.

Les Laboratoires Expanscience lancent une huile vierge d’avocat bio, nouvel actif 100 % made in Pérou

Engagés dans une démarche de transparence et de traçabilité grâce à leur propre filière d’approvisionnement au Pérou, les Laboratoires Expanscience ont fait de l’avocat un produit d’excellence depuis plus de 30 ans.

Une huile aux propriétés émolliente et nourrissante

Certifiée 100% biologique par Ecocert Greenlife – selon le référentiel Cosmos (COSMetic Organic Standard) – cette nouvelle huile vierge d’avocat bio est obtenue par une méthode de pression à froid à partir de l’avocat dans sa totalité : 100 % du fruit est valorisé puisque la peau, la pulpe et le noyau sont tranchés, déshydratés puis pressés.

Ce procédé physique exclusif, breveté par Expanscience, s’inscrit dans la démarche d’écoconception du laboratoire et permet à l’huile de conserver toute la richesse moléculaire de l’avocat pour nourrir, protéger la peau et apporter de la brillance aux cheveux.

Une maîtrise de l’approvisionnement et de la filière d’avocat au Pérou

Considéré comme véritable produit d’excellence par Expanscience, l’avocat, sourcé à 100 % au Pérou, est intégralement valorisé dans cette nouvelle huile vierge et bio d’origine garantie 100 % made in Pérou.

La production de l’huile est réalisée directement dans l’usine de transformation de matières premières végétales Deshidratados Tropicales d’Expanscience basée à Lima.

Expanscience a acquis cette société en 2016 pour sécuriser ses approvisionnements, être au plus près des producteurs et diminuer l’impact carbone lié aux transports des fruits.

Cette démarche de transparence, du sourcing de la matière première jusqu’à la mise sur le marché du produit fini, répond à la demande toujours plus exigeante des consommateurs sur le marché cosmétique.

« Science & conscience, naturellement », telle est la philosophie de l’activité Actifs Cosmétiques d’Expanscience. Forts de 40 années d’expérience dans le domaine des matières premières végétales, les Laboratoires Expanscience développent, dans le respect de l’Homme et de son environnement, des actifs cosmétiques naturels innovants et de haute qualité grâce à un savoir-faire en matière de lipochimie, de distillation moléculaire et d’extraction végétale. Cette démarche responsable est reconnue par la certification B Corp d’Expanscience depuis 2018 et par l’UEBT (Union for Ethical BioTrade) dont l’entreprise est membre depuis 2011.

Expanscience se distingue sur le marché des actifs cosmétiques par une culture pharmaceutique, qui se traduit par une volonté reconnue de fiabilité et d’efficacité des principes actifs, ainsi que par une grande rigueur scientifique dans leur mise au point et leur fabrication.

Texen Beauty Partners joue l’expertise technique de l’eye-liner

Pour ses deux nouveaux produits de maquillage, Texen Beauty Partners a placé toute son expertise au service du geste maquillage spécifique que requiert l’eye-liner. La maîtrise d’œuvre a placé son ambition à la fois sur le design et l’ergonomie du pack, mais également sur une combinaison optimale entre les différentes pièces.

Tout nouveaux sur le marché, ces deux modèles doivent leurs succès au choix d’un pack minutieusement développé. Le premier est le nouvel eye-liner Yves-Rocher, le second est signé Dr Pierre Ricaud. Pour répondre aux attentes de la marque, Texen Beauty Partners aura notamment mené un important travail de sourcing autour du choix de l’applicateur et de l’essoreur.

Ils sont tous deux conçus en trois parties : le capot majoritairement injecté en ABS, comprenant la tige et l’applicateur, l’essoreur (LDPE + POE) et le flacon (PE). Les impressions sont réalisées en marquage à chaud recto/verso.

Pour la beauté du geste

On les distingue pour leurs jolies courbes et une ergonomie parfaite. Leurs longues tiges jouent en faveur d’une prise en main idéale et d’un geste intuitif. Dotés d’un embout-feutre, ils garantissent une application précise et modulable pour un résultat maquillage personnalisé.

La contenance des ces eye-liner est de 3 ml.

TechnicoFlor mise sur l’Afrique

La maison de composition française TechnicoFlor annonce son rapprochement avec Azelis, l’un des leaders mondiaux de la distribution d’ingrédients, de parfums et d’arômes alimentaires, pour conquérir le secteur de la parfumerie, des cosmétiques et de l’hygiène en Afrique. Un marché estimé à 12 milliards de dollars.

Groupe spécialisé dans la création de compositions parfumées, d’extraits végétaux, de matières premières aromatiques et d’arômes alimentaires, TechnicoFlor fournit depuis 40 ans les plus grands noms de la parfumerie, de la cosmétique et de l’hygiène. Ses créations entrent dans de nombreuses applications à travers le monde : parfums, soins & cosmétiques, produits d’hygiène (gels douche, déodorants, shampoings, produits coiffants), parfums d’ambiance et produits d’entretien (lessives, adoucissants, nettoyants…). Présent depuis 30 ans sur le marché africain, notamment au Maghreb et en Égypte, le groupe renforce aujourd’hui sa présence sur ce continent porteur.

Fort de 1,4 milliard d’habitants dont l’âge médian est inférieur à 20 ans, l’Afrique est en effet l’un des continents les plus dynamiques au monde en termes de croissance. La demande en soins cosmétiques et hygiène corporelle représente un marché de 12 milliards de dollars, en croissance de 10 % par an en moyenne depuis 2017 alors que la moyenne de l’industrie au niveau mondial s’établit à moins de 5 %.

Une présence renforcée sur neuf pays d’Afrique

Pour accompagner son développement, TechnicoFlor a choisi Azelis, leader depuis 25 ans dans la distribution d’ingrédients, de parfums et d’arômes alimentaires dans plus de 50 pays à travers le monde, pour son expertise technique et sa connaissance des marchés spécifiques ; un acteur combinant envergure internationale et ancrage local avec lequel TechnicoFlor travaille depuis janvier 2021, notamment en Arabie saoudite, Liban, et Jordanie.

Ce nouveau partenariat va permettre à TechnicoFlor de se positionner sur neuf pays d’Afrique : Algérie, Maroc, Tunisie, Côte d’Ivoire, Kenya, Ghana, Sénégal, Afrique du Sud et Nigéria. « L’objectif de TechnicoFlor est de proposer aux industriels internationaux et aux acteurs locaux présents en Afrique, des créations pour la parfumerie sélective et la parfumerie plus fonctionnelle, ainsi que des solutions de stockage sur place grâce aux infrastructures de notre partenaire », explique Christopher Sabater, directeur Zones Moyen-Orient et Afrique chez TechnicoFlor.

Un continent friand de notes gourmandes et fruitées

« En matière de tendances olfactives, bien que chaque pays du continent ait ses propres particularités, des tendances générales se démarquent : en parfumerie sélective, ce sont les notes gourmandes et de fruits rouges qui arrivent en tête ; en cosmétiques, l’aloe vera et l’avocat sont recherchés notamment pour leurs propriétés nourrissantes ; enfin sur le segment produits d’entretien et détergents ce sont les notes citron dites « medicated » (eucalyptus, pin,…) qui sont les plus populaires », poursuit Romain Ferrier, responsable de la Zone Afrique chez TechnicoFlor. De quoi challenger les huit parfumeurs du groupe dans leur créativité.

Ce nouveau partenariat renforce le rayonnement de TechnicoFlor au niveau international. Déjà implanté, à Marseille, Paris, Moscou, Dubaï, Singapour, Jakarta, Bangkok, Shanghai, et Beauteville China, le groupe qui distribue ses compositions parfumées dans plus de 70 pays en Europe, Asie, Moyen Orient et Afrique, ambitionne de générer 15 % de son chiffre d’affaires sur la zone Afrique avec l’ouverture de ces nouveaux marchés, contre 2,4 % actuellement.

Parallèlement à ce développement, TechnicoFlor prépare l’ouverture, courant mai 2021, de son nouveau centre de production au nord-est de Marseille : une usine hautement technologique de 5 000 m² qui permettra au groupe de produire ses compositions parfumées en seulement quatre jours et de fournir ses clients en un temps record.

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