- publicité -
Accueil Blog Page 218

Greentech : riche actualité à In Cosmetics

Peau - Exfoliation

Greentech a présenté deux innovations lors du dernier salon In Cosmetics Global.

Expozen : anti-exposome

Un actif pour toutes les peaux sensibles et les soins quotidiens notamment en milieu urbain.
Puisant son efficacité dans une algue vivant dans les grandes profondeurs de l’Océan Indien, très riche en polysaccharides et phycocolloides, ExpoZen protège la peau sensible des effets délétères de l’exposome, grâce à ses bienfaits apaisants exceptionnels. A l’heure où 50% des femmes en Europe, USA et Japon déclarent avoir la peau sensible, une protection efficace contre l’exposome est un enjeu majeur.

Effets :
-Limite l’inflammation et l’inflammation neurogénique (jusqu’à -43% des marqueurs de l’inflammation)
-Diminue l’erythrose (-15%)
-Renforce la barrière cutanée (+12%)
-Réduit les symptômes de la peau sensible : moins de rougeurs, sensations de tiraillements et de chaleur effacées, confort retrouvé (90% des femmes) 

 Epsiline : Melanine booster 

Issu des richesses marines, une algue rouge capable de vivre dans un environnement hostile grâce à ses polysaccharides sulfates, Epsiline renforce la synthèse de mélanine.
Si le bronzage est un système de défense naturel, une exposition excessive au soleil déclenche une cascade de réactions inflammatoires et un vieillissement prématuré de la peau.
Greentech a donc développé un actif qui prépare la peau à l’exposition au soleil en stimulant le processus de mélanogénèse sans exposition UV.

Effets :
– Active la synthèse de mélanine
– Améliore son transfert (+45%) vers les kératinocytes
– Permet, sous UV, de préserver l’intégrité des tissus en jouant sur des facteurs clés cellulaire.
Maintient un teint hâlé même après plusieurs jours sans exposition solaire, et une bonne mine éclatante toute l’année.

Ces deux innovations a été accompagné des nouveaux résultats d’Hebelys, premier ingrédient actif à jouer sur l’estime de soi et l’humeur générale. Son développement s’appuie sur une approche psychophysiologique très novatrice en cosmétique. Il maintient la beauté des peaux matures en diminuant les effets de l’âge et en permettant d’être mieux dans sa peau et sa tête.

Enfin quatre nouvelles plantes sont venues enrichir la famille des Aquasiloils, nos huiles hydrosolubles qui associent huiles végétales et lysine.

La R&D, le fer de lance de Lessonia

Photographier - Photographie de stock

Devenu leader européen sur le marché des masques, l’entreprise vient tout juste de révéler sa dernière découverte scientifique appliquée à la cosmétique. Après 3 ans de recherche, c’est une véritable innovation produit qui en ressort, amenant l’entreprise à déposer un brevet. Il s’agit d’un nouvel actif, sans produit chimique, permettant d’accélérer le processus de régénération de la peau par un phénomène de «mécano transduction» : Easy WAY. 

Spécialisé dans la fabrication d’ingrédients et le façonnage de produits cosmétiques à destination des marques depuis 2002, Lessonia conserve une longueur d’avance sur son secteur d’activité en misant sur la recherche et le développement. Chez Lessonia, les innovations produits sont nombreuses et assurent le développement économique de l’entreprise. Une véritable force lui permettant d’investir et d’augmenter chaque année ses effectifs. 

Force est de constater que depuis 2015, l’entreprise ne cesse de se développer et dépasse même ses objectifs. En 2018, suite à l’ouverture d’une seconde usine, Lessonia annonçait le recrutement d’une vingtaine de collaborateurs. C’est finalement 80 employés qui ont rejoint l’entreprise. Une dynamique qui reste positive, puisqu’en 2019 l’inflation se poursuit. Depuis le début de l’année, vingt personnes consolident l’équipe et des postes sont encore à pourvoir. Lessonia compte près de 200 salariés et continue d’étendre sa politique d’embauche. 

Michelle Pfeiffer choisit le Verre Infini Neo de Verescence pour sa nouvelle collection de parfum Henry Rose

Michelle Pfeiffer - Catwoman

Pour le flacon de sa nouvelle collection de parfum, baptisée Henry Rose, Michelle Pfeiffer a sollicité le savoir-faire verrier de Verescence et son expertise en matière de verre recyclé haut de gamme.
De la création des cinq fragrances jusqu’au packaging, les parfums Henry Rose s’inscrivent dans une logique de respect de l’environnement et de transparence totale autour de l’ingrédient. Emblème de l’engagement durable de Verescence, le Verre Infini Neo a su répondre à ces exigences.
Il s’agit du premier verre recyclé haut de gamme, composé à 90% de verre recyclé et 100 % recyclable. Sa composition comprend 25% de verre recyclé post-consommation, 65% de calcin interne et seulement 10% de matières premières. 

L’aspect distinctif de ce verre innovant concerne les efforts réalisés sur l’impact environnemental. En effet, la production des flacons Henry Rose en Verre Infini Neo a permis de réduire l’empreinte carbone de 6% et la consommation d’eau de 7%. (1)

Le flacon, aux épaules bombées et dressé sur une épaisse semelle de verre est un standard de La Collection Verescence (Bowie, 50 ml). Les fragrances, Fog, Jake’s House, Last Light, Torn and Dark is Night, sont disponibles en ligne sur le site officiel de la marque Henry Rose. 

(1)Etude réalisée avec le logiciel d’analyse de cycle de vie (ACV) de Verescence  

Gattefossé obtient le statut OR sur EcoVadis

Industrie cosmétique - Industrie

EcoVadis a décerné la médaille d’Or à Gattefossé pour son niveau d’engagement dans le cadre de son programme de responsabilité sociale des entreprises (RSE). Cela représente une progression notoire de 10 points par rapport au classement précédent. Ce label reconnaît les efforts de Gattefossé pour structurer sa politique RSE et pour ses actions associées. Des progrès significatifs ont été réalisés en matière d’approvisionnement et de sourcing durable ainsi que dans la maîtrise et la réduction des impacts environnementaux de l’entreprise.
« Cette note convoitée d’EcoVadis est une distinction importante qui nous encourage à poursuivre nos objectifs de développement durable ambitieux au siège de Gattefossé, en France. Nous avons également l’intention de déployer progressivement nos engagements responsables dans l’ensemble du groupe Gattefossé, partout dans le monde. » Eduardo de Purgly, Directeur Général.

 Gattefossé développe et produit des ingrédients de spécialité pour les industries cosmétique et pharmaceutique. Spécialiste de la chimie des lipides et de l’extraction végétale, Gattefossé propose également son expertise en formulation approfondie dans ses laboratoires d’applications.
Gattefossé commercialise ses produits dans plus de 60 pays grâce à ses 12 filiales et son réseau de distribution qui assurent un support technique et marketing solide à ses clients : 75% de ses ventes sont réalisées à l’export.
Innovation, qualité, stabilité et éthique sont les valeurs clés de l’entreprise depuis sa création.
Gattefossé a été fondée à Lyon, France, en 1880 par M. Louis Gattefossé. Depuis sa création, l’entreprise est indépendante et gouvernée par les familles fondatrices et elle emploie plus de 300 personnes dans le monde.

La Chine donne son feu vert à de nouveaux tests sans animaux pour les cosmétiques

Lapin domestique - lièvre

Le gouvernement chinois a approuvé deux méthodes n’ayant pas recours aux animaux pour tester des produits cosmétiques en Chine. Les deux tests nouvellement approuvés sont le test de réaction peptidique directe pour mesurer la sensibilisation de la peau et le test d’exposition de courte durée pour analyser le potentiel d’irritation des yeux.
Cette avancée est due au travail inédit et innovant des experts scientifiques et des spécialistes de la réglementation de l’Institut pour les sciences in vitro (Institute for In Vitro Sciences, ou IIVS), avec lequel PETA a fourni un financement initial pour la formation de scientifiques chinois et la formation de responsables aux méthodes modernes non animales.

« L’acceptation de ces deux tests modernes et éthiques est un énorme pas en avant pour la Chine », déclare Kathy Guillermo, vice-présidente de PETA États-Unis. « Aucun animal ne devrait être empoisonné ou aveuglé pour un produit de consommation – ni pour toute autre raison. »

En 2012, PETA Etats Unis a révélé que certaines entreprises, n’ayant auparavant pas recours à l’expérimentation animale, avaient discrètement commencé à payer le gouvernement chinois pour qu’il teste leurs produits sur des animaux afin de pouvoir les vendre dans ce pays. À l’époque, des tests sur les animaux étaient requis par la loi pour tout produit cosmétique vendu en Chine. PETA États-Unis a immédiatement contacté les principaux experts dans le domaine des méthodes de test n’utilisant pas d’animaux chez IIVS et leur a fourni la subvention initiale pour lancer leur travail en Chine. Les scientifiques de l’IIVS ont collaboré avec succès avec les autorités chinoises pour faire approuver la première méthode d’essai sans animaux, le test de phototoxicité in vitro 3T3 NRU (fixation du rouge neutre), utilisé pour tester la toxicité potentielle des produits cosmétiques lorsqu’ils entrent en contact avec la lumière solaire.

En 2014, le gouvernement chinois a annoncé qu’il accepterait les résultats de méthodes de test autres que sur les animaux, mais uniquement pour les produits cosmétiques à usage spécial fabriqués en Chine. Des tests sur les animaux sont toujours nécessaires pour tous les produits cosmétiques importés et tous les produits cosmétiques à usage spécial, quel que soit le lieu de fabrication.

La base de données Beauty Without Bunnies de PETA États-Unis répertorie actuellement plus de 3 800 entreprises qui ont fait le choix de la compassion en s’engageant à ne pas effectuer de tests sur des animaux nulle part dans le monde.
PETA, dont la devise dit notamment que « les animaux ne nous appartiennent pas et [que] nous n’avons pas à les utiliser pour nos expérimentations » s’oppose au spécisme, une idéologie qui postule la supériorité de l’humain sur les autres animaux afin de justifier de les traiter comme s’ils n’étaient que des marchandises.

Crodarom agrandit son site à Chanac

CRODAROM S.A.S. - Industrie cosmétique

 Crodarom, filiale française du groupe Croda, et fabricant d’extraits végétaux lance un premier programme d’investissement de 4.65 millions d’euros sur son site de Chanac, Lozère (Région Occitanie).
Les travaux s’étaleront sur 2 ans avec l’extension de l’entrepôt de stockage et des laboratoires et la construction d’un nouveau bâtiment administratif. A partir de 2021, une seconde phase d’investissement de 2 millions d’euros additionnels débutera afin d’agrandir et réaménager la zone de production. Avec une surface actuelle de près de 4000m² et employant environ 70 personnes, Crodarom prévoit de porter le nombre de ses salariés à près de 100 collaborateurs avec une surface additionnelle de 2200m².
Reconnue comme une ‘pépite industrielle’, lauréat 2018 de la catégorie Entreprise de Demain lors du Trophée de l’innovation et de l’économie de Lozère, Crodarom est aujourd’hui un acteur clé du développement économique et de l’innovation pour la région Occitanie.
La région Occitanie, le Conseil Départemental de la Lozère et la Communauté des Communes Aubrac Lot Causse et Pays de Chanac croient à sa croissance internationale et investissent dans ce projet en lui attribuant une subvention de 580 000€. 

« Nos institutions locales et régionales* ont reconnu le potentiel innovant de Crodarom. Nous nous réjouissons de cette subvention qui constitue un soutien fort à notre activité, à l’emploi et au développement économique de la Lozère. » a déclaré Thierry MORIN, Directeur du site Crodarom. 

Engagé dans une stratégie de Responsabilité Sociétale d’Entreprise, l’extension du site s’inscrit dans une volonté d’améliorer ses performances industrielles tout en incluant le respect des valeurs éthiques, sociales et environnementales. Pour ce projet, Crodarom s’est engagé à :
• Améliorer le bien-être du personnel par l’amélioration des espaces de travail,
• Respecter l’environnement en privilégiant l’utilisation de matériaux écologiques et des équipements à basse consommation énergétique.
• Soutenir le développement local avec 94% du montant total des travaux octroyés aux partenaires régionaux situés à moins de 100km du site (47% avec des artisans localisés en Lozère)

Indicateurs de positions : nouveau système sans fil

Produit - Industrie

Elesa lance le nouvel indicateur de position DD52R-E-RF.

Le nouveau système de positionnement sans fil, conçu pour un positionnement manuel efficace de l’arbre, comprend une unité de commande UC-RF permettant de piloter jusqu’à 36 indicateurs électroniques DD52R-E-RF (brevet Elesa).

Le plus souvent, la configuration de la machine est effectuée manuellement au moyen d’indicateurs mécaniques traditionnels couplés à des manivelles ou à des volants, en suivant une liste spécifique de paramètres d’installation.

capture390- Process industriels - Info produitsLes nouveaux indicateurs de position électroniques DD52R-E-RF sont mis en réseau via l’unité de contrôle UC-RF par radiofréquence (RF). Ce système est particulièrement adapté aux applications qui nécessitent des changements de formats fréquents, facilitant le réglage correct de la position cible / actuelle des pièces de la machine. Ils offrent également une garantie de sécurité car le PLC ne permet pas de démarrer le cycle de production si un indicateur n’est pas dans la position cible, ce qui évite les rebuts de production.

L’installation du système est rapide et facile car elle ne nécessite aucune utilisation de câbles de connexion entre l’unité de commande et les indicateurs.

Grâce aux fonctions disponibles et aux paramètres programmables, un seul élément peut être utilisé pour de nombreuses applications, y compris toutes les variations de pas de l’arbre, le sens de rotation et l’unité de mesure.

  • L’écran à 6 chiffres assure une excellente lisibilité même à distance et sous différents angles de vue.
  • Degré de protection élevé IP65 ou IP67 pour les applications nécessitant un lavage fréquent, même avec des jets d’eau intenses.
  • Résistance à la corrosion : douille en acier inox AISI 304 Ø 20 mm.
  • Durée de vie de la batterie : supérieur à 3 ans.

    Fiches techniques, plans et tableaux des codes et dimensions, sont disponibles sur le site elesa.com.

 

Augros dans le top 5 des entreprises de packaging Prestige

Industrie cosmétique - Emballage et étiquetage

Avec une croissance qui a dépassé les 20% l’année dernière, Augros Cosmetic Packaging confirme son ancrage dans le « TOP 5 » des entreprises de packaging françaises spécialisées sur le marché du Parfum, de la Cosmétique de luxe et des Vins et Spiritueux haut de gamme.
Assurant un service complet et intégré, conception, injection plastique et traitement de surface, la société familiale, qui fête cette année son centenaire, annonce un plan d’actions très ambitieux et des investissements très importants.

Une nouvelle ligne de métallisation par « sputtering » suivi par une nouvelle ligne de laquage automatisé, le tout pour un montant de 3 millions d’euros.
La société s’inscrit dans une dynamique d’amélioration technique  permanente. Pionnière en solutions sur-mesure innovantes, elle confirme son engagement durable avec un programme RSE avancé et partagé par tous, ainsi que le projet de passage de « Ecovadis Argent » à « Ecovadis Or ».

Un nouveau directeur commercial, Rodolphe Benouville, anciennement fondateur de la filiale française de la maison Cavalieri & Amoretti, spécialiste de la fabrication de coffrets et de boîtes rondes montés pour la parfumerie, la cosmétique, l’alimentaire de luxe et les spiritueux, a rejoint le groupe au mois de mars.

Lancements et innovations 

Le premier trimestre 2019 a été émaillé de beaucoup de nouveautés dont la nouvelle ligne Mercedes-Benz pour INCC Parfums avec un développement sur-mesure et global : couleur et poussoir spécifiques assemblés en automatique. Une réalisation qui a impliqué les deux sites du Groupe (Plasturgie à Alençon et traitement de surface au Theil).

Au niveau du secteur du maquillage, à noter la réalisation du décor « d’Ultra Rouge » de Dior, avec un laquage complexe particulièrement exigeant sur le boitier en aluminium réalisé par la société Tesem. On peut aussi citer la ligne « Alien » de Clarins réalisée en huit déclinaisons, sans oublier le fleuron du groupe Sisley, un pot en PMMA massif avec laquage intérieur ainsi que sa coiffe et gravure laser blanche…

Cent ans d’histoire à célébrer ! 

En 1919, la société Augros se résume à un petit atelier de fabrication de boucles en acier pour les métiers de la mode situé rue Oberkampf. A partir des années 1960 sous l’impulsion du fils du fondateur, Jacques Augros, c’est le virage vers la plasturgie et la société devient l’un des pionniers de la révolution des bouchons en verre des flacons de parfum, avec la fameuse technique dite « Plast-Emeri » développée avec le verrier Pochet du Courval, technique qui sera suivie par le système « Opercule » utilisé par les plus grandes marques.
Les premiers pas en plasturgie sont un succès avec le développement et la fabrication de la première ligne pour homme de Paco Rabanne doté du système opercule puis viendront Azzaro pour Homme, Armani , Tiffany etc.

Didier Bourgine qui dirige l’entreprise depuis 2001 a bâti le développement de la société sur trois piliers industriels : la spécialisation sur le luxe sur-mesure, l’automatisation flexible des procédés et la qualité totale.
Aujourd’hui le site d’Alençon est  considéré comme l’une des entités les plus automatisées du secteur, avec un taux de rebut interne de moins de 1,5%. Cette année, la commémoration du centenaire de l’entreprise se concrétisera par une série de célébrations et événements.

La participation aux Places d’Or avec la présentation d’un objet centenaire – objet innovant et collector en cours de réalisation – viendra parfaire cette riche année. Dessiné par un grand designer de la profession, l’objet traduira la créativité perpétuelle du métier, l’ensemble des savoir-faire de la maison et symbolisera cette date si importante pour Augros Cosmetic Packaging.

Cosfibel Group renforce son positionnement par de nouveaux partenariats

Entreprise - Positionnement

Cosfibel a signé récemment trois accords de partenariat pour compléter ses gammes de produits et rapprocher ses activités sourcing des clients Européens.

Cosfibel devient le représentant exclusif en France et au Benelux de la société Tendero, dirigée par Dario Juan et spécialiste du coffret carton rigide sur les marchés de la mode, de la beauté, Wine&Spirits et Fine foods.
Tendero, situé en Alicante, dispose de 8 lignes automatiques et devrait réaliser en 2019 un CA de 9 Millions d’Euros. Cette capacité industrielle nouvelle viendra compléter la panoplie de fabrication de boîtes et d’étuis pliants plastique de Grumbe, qui vient d’investir à son tour dans une ligne de pliage collage de carton.

Par ailleurs, Cosfibel a signé un accord d’exclusivité à long terme avec le groupe Franco-Tunisien La Soie, spécialiste reconnu de la filature, du tricotage et de la couture. La Soie est dirigée par David Lebard et réalise un CA de 15 Millions d’Euros environ.
Cet accord permettra à Cosfibel de développer son catalogue de produits textiles et d’accessoires sur ses trois marchés Beauty, Wine&Spirits, Fine food, et rapprochera ses activités Bags et Accessoires de ses principaux clients.

Enfin, Cosfibel a également signé un accord d’exclusivité à long terme avec le Groupe HPC, dirigé et fondé par Mouldi Attia. Ce groupe est un spécialiste de l’injection plastique et sera un interlocuteur exclusif pour développer les activités sourcing en Tunisie.

A cette occasion, HPC Tunis devient le vingtième Urban Network®dans le monde pour développer les ventes au Maghreb.

Jean Bal Thermoformage investit 1 million d’euros dans son outil de production

Louis Vuitton - Chanel

Mouliste et plasturgiste depuis 1988, la société Jean Bal (30 pers., 5 M€ de CA) conçoit et fabrique des emballages et éléments de calages thermoformés. Interlocuteur de référence des industriels du luxe, l’activité du spécialiste est portée depuis 3 ans par de nouveaux marchés (manutention industrielle et grande consommation). Pour accompagner son développement et soutenir sa capacité de production, Jean Bal a investi 1 million d’euros dans son outil de production, son bâtiment et ses machines. Après 6 mois de travaux, l’inauguration officielle se déroulera vendredi 13 avril sous la forme d’une journée portes ouvertes.

Chaque année quelque 30 millions de packagings et calages thermoformés sortent des ateliers Jean Bal à destination des marchés français et internationaux. Pour répondre à une augmentation de la capacité de production de l’ordre de 30 % en 3 ans, l’industriel a créé 650 m2 de superficies supplémentaires sur le second semestre 2018 (pour atteindre une superficie totale de 3000 m2 de bâtiments). Ces travaux d’un montant de 510 000 euros ont permis d’agrandir la zone de production avec l’intégration d’une nouvelle thermoformeuse, d’obtenir des capacités de stockage supplémentaires et de créer de nouveaux bureaux.
Des investissements matériels et humains qui devraient permettre à Jean Bal d’atteindre les 6 millions d’euros de chiffre d’affaires à moyen terme.

Une nouvelle dimension au service de nouveaux marchés

L’industrie du luxe (parfums, cosmétiques, spiritueux) représente actuellement 50 % de l’activité de l’entreprise. Un secteur historique qui nécessite un haut niveau d’expertise et pour lequel Jean Bal développe des solutions innovantes et originales.
L’industrie représente désormais 40 % de l’activité. Jean Bal est particulièrement sollicité pour la conception de plateaux recyclables pour le transport de pièces et éléments industriels en interne comme en externe. Pour ce faire, de nombreux principes de conception sont proposés (plateaux auto-porteurs ou sur pièces, empilages, gerbables, par retournement à 180°, etc) avec un large choix de matières transparentes ou opaques ainsi que des solutions ESD pour l’électronique.
Enfin, les acteurs de la grande consommation sont de nouveaux interlocuteurs pour l’industriel (10 % du CA). Blisters ou emballages alimentaires sont thermoformés en plastique avec une tendance de plus en plus exprimée à l’association de matières (bois ou carton avec plastique transparent éco-conçus).

Des investissements dans l’outil de production
Jean Bal conçoit chaque année près de 350 moules en aluminium au sein de son bureau d’études. La modélisation des prototypes s’effectue désormais au moyen d’un scanner 3D de dernière génération depuis quelques mois. Ces moules usinés en interne à l’aide de centres d’usinage à grande vitesse, sont ensuite dupliqués à l’identique suivant le même procédé et avec les mêmes outillages. Le tout pour garantir la parfaite reproductibilité des pièces à mettre en production. Pour ce faire, un nouveau centre d’usinage grande vitesse a été également livré récemment.

Une nouvelle ligne de production

Une thermoformeuse Illig RV74D, plus rapide et offrant une meilleure régulation énergétique a été installée sur le premier trimestre 2019. Montant de l’investissement : 410 000 euros. L’équipe de thermoformage gère désormais 9 lignes optimisées de différents formats pour la fine et forte épaisseur.
Jean Bal transforme principalement le PS, PS Floqué, PS enduit ou décoré, PSE PE, PVC, PET, APET recyclé ou RPET. Formes, matières, couleurs, toucher, fonctionnalités dépendent tant du rendu souhaité que de l’application voulue.

Notre dernier numéro

Écoutez-nous !

Newsletter

fr_FRFrançais