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Chanel et Texen, partenaires sur la conception responsable d’un boîtier XXL

Chanel lance sur le marché sa nouvelle référence « Les Beiges » dont l’élégance du boîtier repose non seulement sur l’esthétique, mais également sur un format particulièrement audacieux. Dans le cadre d’une collaboration historique avec la marque, Texen a dû réinventer sa démarche industrielle en partenariat avec la société Roctool. Son challenge : proposer un niveau esthétique fidèle aux codes du design de l’objet et conforme aux standards exigeants de la Maison Chanel, notamment en matière d’éco-conception.

Pour ce lancement remarquable d’un format 10 X 10 cm, l’un des plus grands de la gamme, la Maison Chanel a choisi un rPET Food grade. Considérant l’exigence technique que demande cette matière, une vigilance toute particulière a été portée sur l’esthétisme et l’éco-conception de ce boitier aux parois fines doté d’une charnière délicate à assembler.

Face à ces multiples défis, Texen a investi durant 18 mois en R&D, en moyens industriels et dans une refonte des chaînes logistiques conventionnelles. Ce travail d’optimisation a porté sur l’ensemble de la chaîne de valeur : sourcing d’un matériau issu d’une filière de revalorisation, usage d’un vernis à haut extrait sec (HES), investissement du groupe dans la technologie BESST

Un modèle de développement partenarial et responsable

Texen, avec le support de la Maison Chanel, a su adapter son modèle industriel. Le groupe a pu résoudre les contraintes techniques notamment liées au format exceptionnel de l’objet et à la bi-injection intégrant entre autres un matériau issu du recyclage. Beaucoup de verrous techniques ont été levés grâce à la persévérance des équipes respectives et une ligne directrice commune : « redéfinir le luxe éco-responsable ».

L’expertise de la technologie BESST

Le concept BESST (Beauty Experience Sensation Surface by Texen), permet de sublimer la matière valorisée. Elle optimise la fabrication des pièces, même très fines pour un rendu esthétique ultra premium et une brillance absolue. Le Texen Lab profite d’un équipement dédié pour réaliser des prototypes dans les conditions de transformation réelles permettant à la matière de conserver sa fluidité pour la naissance d’un emballage sans défaut. Cette technologie résout entre autres les contraintes majeures liées aux matériaux recyclés.

Iris, acteur majeur sur le marché du contrôle qualité verrier fête ses 20 ans en affichant ses ambitions dans l’industrie 4.0

L’entreprise Iris Inspection machines, filiale de Wisetec Group, célèbre cette année ses 20 ans. Spécialisée dans la conception et production de robots d’inspection pour détecter les défauts du verre, elle s’est imposée au fil des années comme un des fer de lance de l’industrie du contrôle par vision du verre d’emballage dans le monde. Fort de sa bonne santé économique dû à des investissements massifs dans la R&D et une base de clients diversifiés sur les cinq continents, IRIS Inspection machines ambitionne d’ici à trois ans d’augmenter de 50% son chiffre d’affaires et ses effectifs.

Fleuron de l’industrie, reconnu en région Auvergne-Rhône-Alpes, Iris Inspection machines est devenu en 20 ans le leader européen des solutions d’inspection par vision pour les contenants en verre produits en grande série, quelle que soit leur forme ou leur couleur.

Après une dizaine d’année dans le groupe verrier BSN, futur Danone, où ils ont fait connaissance – le groupe est alors dirigé par Antoine Riboud – Jean-Luc Logel et Philippe Volay rachètent Centralp, spécialiste des systèmes électroniques embarqués en 2000. Ils voient dans les évolutions technologiques, dont l’utilisation de PC durci dans des environnements industriels et les caméras matricielles, des faisceaux d’opportunités dans le domaine de la production verrière. En investissant massivement dans l’innovation, l’entreprise se positionne dès sa création comme pionnière en lançant le concept novateur des 16 caméras, contre 6 alors référencées sur le marché des machines d’inspection.

« Cette innovation a été le premier marqueur de l’entreprise. Ce système des lé à 16 caméras offre 12 angles de vues avec 2 caméras positionnées sur un même axe vertical permettant de prendre deux clichés simultanés. On a pu doubler la résolution de la vue complète de la bouteille, multiplier les angles d’observation et être deux fois plus précis sur l’inspection » explique Jean-Luc Logel, président d’Iris Inspection machines.

L’innovation : partie intégrante de l’ADN de l’entreprise

En 2014, l’entreprise continue de se distinguer par sa capacité â innover et la qualité de ses équipes R&D avec l’introduction des caméras haute définition. En augmentant la résolution des images et par conséquent la précision dans la reconnaissance de défauts, IRIS continue son ascension dans le secteur de l’inspection du verre d’emballage en Europe et dans le monde.

C’est en 2018, année de la commercialisation de la gamme Evolution Neo, qu’lris Inspection machines bascule comme étant le leader européen du secteur.

L’implémentation de l’intelligence artificielle dans cette nouvelle gamme de machine constitue une nouvelle frontière numérique qui révolutionne la reconnaissance des défauts verriers. Basée sur des techniques d’apprentissage (machine learning), la machine apprend à reconnaître et classifier les défauts avec la précision de l’œil d’un verrier expérimenté, et la répétabilité d’une puissance de traitement informatique.

L’intelligence artificielle comme nouvel eldorado pour Iris

Avec l’avènement de l’industrie 4.0, IRIS Inspection machines se positionne comme à l’avant-garde de la technologie. Devenue le pilier de cette révolution digitale, l’entreprise se focalise aujourd’hui sur l’intelligence artificielle avec l’ambition d’aller encore plus loin.

Si riA est capable d’améliorer significativement l’inspection, elle ne remplace pas les experts du verre. Le verre est un matériau unique ; la connaissance et l’expérience des verriers dans sa production est indispensable si l’on veut optimiser son processus de fabrication.

Le nouveau challenge pour les équipe d’Irls : combiner la puissance de leur solution d’iA et le savoir-faire verrier.

« L’innovation a toujours été notre axe fondateur. Nous nous sommes donné les moyens de
devenir précurseur et d’être aujourd’hui un acteur réfèrent et ambitieux dans l’industrie 4.0
avec l’intelligence artificielle et sa capacité à améliorer la productivité. En atteste les 17% de dépenses dans le service R&D en 2021
 » détaille Jean-Luc Logel.

Aujourd’hui, 5 à 10% de la production de verre en moyenne dans une verrerie est destinée à la casse. Avec l’intelligence artificielle, Iris a pour leitmotiv de travailler en étroite collaboration avec les verriers pour atteindre l’objectif du “zéro défaut ».

Un carnet de commandes rempli et des ambitions fortes pour les trois prochaines années

Grâce au virage pris par l’industrie du verre pour réduire son empreinte carbone et une demande forte de la capacité verrière en Europe (3 à 5 millions de tonnes uniques pour l’Allemagne, l’Italie et la France contre 4 millions de tonnes pour les États-Unis et le Canada rassemblé), la production va continuer à s’accroître dans les mois et années à venir.

« Nous ne produisons pas assez de verre pour la demande européenne. Chez Iris, nous avons un carnet de commandes qui nous permet de voir l’avenir sereinement grâce au virage technologique que nous avons pris. En 2021, nous avons vendu pas moins de 150 machines et nous disposons d’une ouverture sur le marché à l’international, notamment en Turquie et au Mexique, ce qui indique que nous allons dépasser ce chiffre. Je suis optimiste pour le futur de l’entreprise et du secteur » conclut Jean-Luc Logel.

Un optimisme qui se retrouve dans les projections d’effectifs. Avec près de 20 millions d’euros de chiffre d’affaires en 2022, Iris table sur une croissance de 50 % du chiffre d’affaires sur les trois prochaines années. Il en va de même pour les salariés : avec 45 actuellement, elle ambitionne d’augmenter ses effectifs à hauteur de 50 %. L’entreprise se développe également dans le service où plus de la moitié des effectifs sont mobilisés pour servir les clients. Être au plus proche de ses clients par leur expertise et être précurseur sur l’innovation, une raison d’être qui a conduit Iris au succès international et à regarder l’avenir avec sérénité et ambition.

Waam Cosmetics lève 5 millions d’euros et lance une nouvelle gamme de produits en poudre

WAAM Cosmetics propose une approche novatrice et transparente de la beauté, valorisant des ingrédients naturels,à utiliser seuls ou à assembler dans des recettes que la marque partage sur son e-shop. Elle vient de réaliser une levée de fonds de 5 MC auprès de We Positive Invest 2, le nouveau fonds à impact lancé par Arkéa Capital il y a quelques semaines, et Karot Capital, spécialiste de l’investissement early stage. Cette levée de fonds a pour objectif d’accélérer le développement de l’entreprise, au moment où celle-ci lance Magic Powders, une nouvelle gamme de produits d’hygiène en poudre.

Créée en 2016 par Dieynaba Ndoye, WAAM Cosmetics,contraction de « we are all métis’ est le spécialiste de la cosmétique DiY (do-it-yourself), basée sur une approche de la beauté multiculturelle, sobre et transparente aux antipodes des pratiques du secteur. En mettant en lumière les ingrédients de la nature, inspirée par les rituels beauté du monde entier, l’entreprise française a choisi de développer une gamme de produits mono-ingrédients 100% naturels et de bases neutres, certifiés bio, végan et multi-usages, qu’il est possible d’utiliser seuls ou d’assembler afin de réaliser soi-même ses produits de beauté, en fonction de ses envies, en s’appuyant sur plus de 200 recettes formulées par WAAM Cosmetics. Ainsi, les consommateurs deviennent acteurs d’une routine beauté saine et transparente en minimisant l’impact environnemental.

WAAM Cosmetics attache une très grande importance à la sélection de ses matières premières, selon un cahier des charges très strict, privilégiant le commerce équitable et des produits majoritairement bio. La marque attache également une importance toute particulière au conditionnement de ses produits, privilégiant des flacons et pots recyclés et recyclables, fabriqués en Europe, lui permettant ainsi de limiter son empreinte carbone.

Allant plus loin pour limiter l’empreinte environnementale, WAAM Cosmetics a lancé ce 15 juin une nouvelle gamme de produits en poudre composés à 100% d’ingrédients actifs d’origine naturelle qui se transforment en mousse au contact de l’eau (dentifrice, poudre de douche, shampooing et nettoyant visage). Conditionnées dans des packagings éco-conçus à base de verre et d’aluminium, 100% recyclables et rechargeables, ces poudres actives sont développées sans eau. Une vraie innovation pour le secteur de la cosmétique où l’eau représente entre 60 et 90% des composants des produits disponibles sur le marché, et qui permet de proposer des conditionnements nettement réduits par rapport à ceux de l’industrie conventionnelle, diminuant ainsi significativement les tonnages de produits transportés, et donc l’impact environnemental.

Quant à la levée de 5 M€, cela permettra à WAAM Cosmetics d’accélérer son développement, tant commercial que produit. En effet, la société a la particularité d’internaliser le développement de ses produits, le conditionnement ainsi que tout le développement commercial et marketing. WAAM Cosmetics s’associe ainsi à deux nouveaux investisseurs, Arkea Capital et Pierre Cazaux, fondateur de l’agence Dragon Rouge, aux côtés de Dieynaba Ndoye et Karot Capital, son investisseur depuis 2020 qui souscrit également à l’opération.

Dieynaba Ndoye,Dirigeante-fondatrice de WAAM Cosmetics : « Nous sommes très fiers de bénéficier du soutien d’Arkéa Capital via son fonds We Positive Invest, qui nous conforte dans notre combat pour une cosmétique plus responsable. Nous travaillons ainsi au quotidien à imaginer des solutions visant à réduire l’impact environnemental d’une des industries les polluantes au monde. Que ce soit en excluant systématiquement les ingrédients controversés, en réduisant les packagings et en favorisant leur recyclabilité. Mais aussi en veillant à préserver au maximum les ressources naturelles, comme c ‘est le cas avec le lancement de Magic Powders, notre toute nouvelle gamme de soins en poudre qui est formulée sans utilisation d’eau, une richesse vitale pour la Planète, dont on connaît aujourd’hui la fragilité. Cette levée de fonds va nous permettre de persévérer dans cette démarche vertueuse de nouveaux lancements sont d’ores et déjà programmés pour 2023, et d’accélérer notre développement en France mais aussi à ¡International notamment en renforçant les équipes. »

Soutien au rajeunissement biotique : Care Creations de BASF lance des ingrédients de soins de la peau basés sur une bactérie présente dans une peau jeune.

Probiolift : le premier ingrédient cosmétique contenant un probiotique vivant aide à donner à la peau une apparence plus pleine et à améliorer l’apparence des rides du front.

Postbiolift : le postbiotique rend la peau plus élastique, lisse l’apparence des rides de la patte d’oie et donne l’impression d’un teint uniforme.

Les ingrédients cosmétiques exploitent les bactéries Lactobacillus crispatus qui sont abondantes dans les peaux jeunes et considérablement diminuées dans les peaux âgées

Avec Probiolift et Postbiolift, Care Creations de BASF présente deux nouveaux ingrédients biotiques qui favorisent un vieillissement sain et harmonieux de la peau. Contrairement aux autres biotiques existant sur le marché des cosmétiques, les ingrédients nouvellement développés sont les premiers à utiliser une bactérie que l’on trouve naturellement dans la peau : Lactobacillus crispatus (L crispatus), une bactérie anaérobie à bâtonnet Gram positif dont on a constaté qu’elle diminue avec l’âge.

« Les consommateurs sont de plus en plus conscients des avantages pour la santé qu’offrent les ingrédients biotiques, qu’ils soient pré, pro ou postbiotiques. Cette tendance trouve son origine dans l’industrie alimentaire« , a déclaré Cécile Kalem, responsable du lancement des ingrédients actifs de BASF en Europe. « Ce qui est une pratique courante dans ce domaine a été, jusqu’à présent, l’une des tâches les plus difficiles pour l’industrie des soins personnels : incorporer des bactéries cutanées vivantes dans les formulations cosmétiques et les maintenir actives. Avec Probiolift, nous avons trouvé une solution à ce défi – une véritable percée de nos équipes de recherche et développement.« 

De nouvelles perspectives sur les changements du microbiome facial lors du vieillissement

En complément des recherches existantes qui indiquent que la diversité du microbiote de la peau change avec l’âge, BASF a mené une nouvelle étude sur la différence de composition du microbiome facial des personnes jeunes et âgées. L’équipe de recherche a constaté que les bactéries lactiques, dont les Lactobacilles, diminuent sensiblement dans la peau mature. L’espèce L. crispatus, en particulier, a diminué dans la zone sous-oculaire et n’était pas détectable dans le creux des rides des volontaires plus âgés. Cette découverte a conduit les chercheurs de BASF à supposer que L. crispatus, isolé de la peau humaine, pourrait être la clé d’une peau d’apparence plus jeune. BASF a développé deux ingrédients cosmétiques issus du même processus de biofermentation : Probiolift, le probiotique avec des cellules dormantes de L crispatus vivant, et Postbiolift, le surnageant de fermentation contenant les métabolites sécrétés par L. crispatus.

Probiolift™ pour une peau plus pleine avec une réduction de l’apparence des rides.

Probiolift est composé de bactéries L. crispatus vivantes mais dormantes qui se réveillent au contact de l’eau sur la peau. L’ingrédient débloque ainsi un potentiel jusqu’ici largement inexploité dans le secteur de la beauté biotique. Il favorise un vieillissement cutané harmonieux en donnant à la peau une apparence plus pleine et en améliorant l’apparence des rides du front.

Vingt-neuf femmes volontaires âgées de 45 à 65 ans, qui présentaient des rides ou des ridules sur le front, ont participé à l’étude clinique. L’efficacité d’une crème de base contenant du Probiolift à 0,05 % a été évaluée en comparaison avec une crème de base placebo. Le Probiolift a permis à la peau des volontaires d’apparaître plus pleine après deux mois. Bien que l’apparence des rides du front soit plus difficile à atténuer que celle des pattes d’oie, le nouveau probiotique a offert une correction visible dans cette zone également, permettant une réduction de 5 % de l’apparence des rides par rapport au placebo. Les résultats cliniques ont été étayés par les propriétés biologiques de L crispatus démontrées lors de tests in vitro avancés.

Postbiolift pour une peau d’apparence plus élastique, lisse et uniforme

Postbiolift est un nouvel ingrédient postbiotique unique contenant des métabolites bénéfiques sécrétés par L. crispatus. Il contribue à l’amélioration des propriétés mécaniques de la peau afin de la rendre plus élastique, de lisser l’apparence des rides autour des yeux et de créer une apparence de teint uniforme.

L’efficacité de Postbiolift a été démontrée dans une étude clinique contrôlée par placebo sur 30 femmes volontaires âgées de 40 à 50 ans présentant des rides de la patte d’oie et des taches de couleur sur le visage. Après 28 jours et 56 jours de traitement avec l’ingrédient formulé à 1 % dans une crème, les paramètres élastiques ont été évalués. Les résultats ont été significatifs par rapport au placebo, avec une amélioration allant jusqu’à 10 pour cent.

En outre, à la fin de l’étude de 56 jours, Postbiolift avait considérablement réduit l’apparence des pattes d’oie et des taches de vieillesse pigmentées chez ces femmes d’âge moyen, de près de 7 % par rapport au placebo. Le mécanisme qui sous-tend les résultats cliniques observés a été mis en évidence par des études in vitro complètes.

Ensemble, ces deux nouveaux ingrédients permettent aux fabricants de cosmétiques de répondre à la demande croissante de produits biotiques, cliniquement prouvés, qui favorisent la jeunesse de la peau.

Global Beauty Consulting lance son offre de prototypage

GBC étoffe son offre de services.Proposant déjà plusieurs niveaux d’accompagnement, le laboratoire prend un nouveau virage en créant sa division GBF pour le prototypage.

De la formulation à la réglementation, en passant par la mise en place des BPF et l’aide à la création d’usines et de laboratoires, GBC offre un service complet en industrie cosmétique pour des clients de divers horizons : des indie brands aux groupes internationaux. Cette expertise nous pousse désormais vers la création de GBF, Global Beauty Factory, la division pilote semi-industrielle de GBC. GBF propose donc de réaliser un prototypage de formule à partir de 50 unités.

Deux objectifs principaux à ce nouveau service :

• Le test d’une formule auprès de son entourage, de sa communauté pour valider tous les aspects sensoriels, organoleptiques ou même marketing de son projet avant d’engager les tests réglementaires et la production finale en plus grosse quantité ; en d’autres termes, la possibilité d’interroger une cible restreinte en vue de faire certains choix cruciaux pour la réussite de son projet. L’assurance pour le client de choisir la bonne formule. Une étape de plus vers le succès !

• La fabrication d’une petite série en conditions réelles industrielles (fabrication et conditionnement à but non marchand) pour valider une transposition industrielle ou encore mettre en avant des formules d’application chez des fournisseurs de matières premières, de packagings…

L’équipement de Global Beauty Factory :

• Une salle pilote de 50 m2

• Un mélangeur sous vide de 25 l

• Une remplisseuse semi-automatique flacons (avec coulage à chaud)

• Une remplisseuse semi-automatique tubes plastiques

• Une étiqueteuse banderoleuse

• Un codeur jet d’encre

• Un convoyeur double bande

GBC, GBF… La force d’un écosystème

Un réseau établi de longue date nous permet de conseiller selon les différents besoins en termes de packaging, sérigraphie ou encore impressions. Fort de notre connaissance de l’industrie cosmétique, nous sommes aujourd’hui en mesure de relever tous les défis qui la composent. Petite quantité, réduction des temps de production ou encore suivi complet et personnalisé, tout comme pour GBC, GBF s’engage à répondre à l’ensemble des besoins.

GPA Global a créé les coffrets luxueux de Marie-Stella-Maris

GPA Global a collaboré avec la Maison de luxe néerlandaise et marque de parfums Marie-Stella-Maris, pour concevoir un duo de coffrets pour les lignes Festive et Mother’s Day en édition limitée.

De par sa conception esthétique et son expérience fonctionnelle, ce packaging génère un sentiment premium pour l’utilisateur.  Le résultat final valorise le produit, tout en étant aligné avec les valeurs environnementales et sociales de Marie-Stella-Maris.

Pour ces 2 coffrets, GPA Global a utilisé 3 gammes du fournisseur de papier néerlandais Velpa : Denimised – 50 % de fibres issues de jeans recyclés- , Cocoality – coques de fèves de cacao finement broyées -, Valorise – fibres de plants de tomates.

Afin d’offrir une fonctionnalité et une expérience utilisateur renforcées, GPA Global a positionné d’astucieuses fixations qui maintiennent les différents produits en place, et retenu un principe de boîtes à couvercles amovibles, ou pliables, en fonction du contenu. L’utilisation de soft touch ajoute à cette sensation de luxe et invite à une expérience sensorielle holistique.

Pour la ligne Fête des Mères – soins main et corps parfumé Rock Rose N°10 et un set de sticks parfumés – GPA Global a opté pour un fond blanc uni orné de pois dans différentes nuances blush. Inspiré par les douces teintes rose pétale des confettis, le design amusant et féminin des coffrets évoque le produit floral qu’il contient.

Pour la ligne de parfums Festive No 12, GPA Global a adopté une approche audacieuse, choisissant un fond laminé noir doux, en contraste avec une encre blanche et un design doré scintillant, obtenus à la feuille d’or en écho à la touche dorée des produits contenus dans les différents coffrets : une bougie or, un set-cadeau bougie et sticks parfumés et un set de sticks parfumés.

GPA Global a imprimé les listes d’ingrédients ainsi que les instructions d’utilisation directement sur l’emballage, tout comme le logo et même l’énoncé de la « mission d’entreprise » que porte Marie-Stella-Maris.

L’industrie de la parfumerie-cosmétique reconnue comme « filière stratégique » en Île-de-France

En décidant de faire de la filière cosmétique une priorité de son « Schéma régional de
développement économique, d’innovation et d’internationalisation 2022-2028 » (5RDEII), le
Conseil régional d’Ile-de-France, ne s’est pas trompé. Il mise, en effet, aussi bien sur
l’extraordinaire potentiel de développement et d’attractivité de la filière, en termes d’emploi et de croissance, que sur le soft-power que représente un secteur emblématique de l’art-de-vivre à la française et de l’excellence européenne. C ’est un signe de reconnaissance qui était attendu par la profession qui l’a aussitôt salué. Après le Centre-Val de Loire, la Nouvelle-Aquitaine, la Normandie, la Guyane, alors que les Hauts-de-France et la Martinique pourraient emprunter le même chemin, cet accord entre le pôle de compétitivité et la première région économique d’Europe ouvre la voie avec d’autres régions à d’autres partenariats public-privé tous essentiels à la préservation, par la cosmétique française, de son statut de leader mondial. Il conforte Cosmetic Valley dans la mission que lui a confiée le Gouvernement de fédérer et de rassembler dans l’hexagone l’ensemble des acteurs qui composent ce secteur stratégique pour notre commerce extérieur.

Avec 3 200 entreprises, dont 80% de PME, 246 000 emplois directs et indirects, 45 milliards
d’euros de chiffre d’affaires, la filière cosmétique est un acteur essentiel de l’économie
française. Elle représente un marché global de 600 milliards d euros et bénéficie d’une
croissance annuelle d’environ 5%, tirée principalement par l’Asie. Fortement exportatrice, à
tous les maillons d’une chaîne de valeur solidement installée sur le territoire national, ce que
l’on dit trop rarement, elle est à l’origine du deuxième excédent commercial de notre pays juste derrière l’aéronautique.

Son écosystème unique ne fonctionne bien que parce qu’au-delà du rêve qu’il incarne, fondé
sur un patrimoine et des savoir-faire sans égal, il est porté par un fort dynamisme qui s’appuie sur la recherche, l’innovation, un système de formation et d’éducation supérieure d’excellence. Il est toutefois, aujourd’hui, confronté aux quatre mutations majeures que sont la transition écologique avec le défi du développement durable. les impératifs de décarbonation, de traçabilité. de respect de la biodiversité et de promotion de l’économie circulaire : la transition digitale avec l’utilisation du big data, de l’intelligence artificielle, des achats en ligne, des objets connectés et des tutoriels ; la transition géopolitique marquée non seulement par une concurrence internationale toujours plus forte exercée par des challengers de plus en plus ambitieux, mais aussi par des bouleversements puissants qui menacent ses approvisionnements et son organisation logistique : la transition technologique qui amène les entreprises à aborder la 4e révolution industrielle, les relocalisations, le télétravail. C’est cette dynamique composite que l’Île-de-France a voulu soutenir.

Quoi de plus naturel ? Partout dans le monde, en Corée, au Japon ou en Chine notamment, les industries cosmétiques qui nous disputent des parts de marché sont soutenues, par des autorités publiques, souvent régionales, qui reconnaissent l’énorme potentiel de la filière cosmétique et la nécessité, pour le concrétiser, de la soutenir et mettre en place des partenariats public/privé.

En France, c’est à Cosmetic Valley, devenue pôle de compétitivité en 2005. reconnue par l’Etat coordinateur national de la filière, qu’échoit la tâche de favoriser ces partenariats entre secteurs public et privé et au sein des acteurs de l’écosystème cosmétique. Depuis 28 ans. elle s’en acquitte avec succès en soutenant l’innovation collaborative entre recherches publiques et privées, l’open innovation entre grands groupes et TPE/PME/ETI l’internationalisation des entreprises en partenariat avec Business France, et la co-construction de stratégies gagnantes avec les territoires. Les régions partenaires du pôle incluaient, jusqu’ici, les régions Centre Val de Loire. Nouvelle Aquitaine. Normandie, et la Guyane – sans compter les régions d’autres Etats membres de l’Union européenne que le pôle a réunies, dans le cadre du projet « Go4 Cosmetics » de la Commission européenne, parce ce que chacune a décidé de miser sur le potentiel de l’industrie cosmétique, aussi bien en matière d’investissements, d’innovation que de recherche. En Région Île-de-France. Cosmetic Valley déploie déjà des actions significatives avec l’organisation, chaque année, au mois d’octobre, à Paris au Carrousel du Louvre, du salon international de l’innovation cosmétique « Cosmetic 360 » – auquel contribue, depuis 2021. la région Île-de-France à travers Choose Paris Region – et de nombreux partenariats dans le domaine de l’enseignement supérieur et de la recherche. On ne compte plus les congrès, les colloques, les symposiums accueillis par les sept départements de Paris, de la petite et de la grande couronne. Manquait toutefois une stratégie ambitieuse, fédératrice et structurante pour
la première région cosmétique française qui concentre 70% de son chiffre d’affaires. 41% de
ses emplois salariés, l’essentiel de ses sièges sociaux, un tissu important de sites de production, de logistique et de R&D. ainsi que des écoles spécialisées de très haut niveau.

L’inscription de la filière cosmétique comme filière prioritaire du SRDEII répond à cet enjeu et
à un intérêt mutuel bien compris entre la région et le secteur cosmétique. Feuille de route de
l’action régionale, le SRDEII définit les orientations en matière d’aides aux entreprises, de
soutien à l’internationalisation, et d’aides à l’investissement immobilier et à l’innovation des
entreprises, ainsi que les orientations relatives à l’attractivité du territoire régional. Il doit
mobiliser, sous l’impulsion de la Région, tous les acteurs économiques et institutionnels, afin
d’assurer leur développement et leur ancrage sur le territoire francilien, avec quatre grands
objectifs : investir sur son attractivité ; développer la compétitivité de son économie ;
développer l’esprit d’entreprendre et d’innover ; agir collectivement au service des entreprises, de l’emploi et des territoires. Pour la filière cosmétique, les perspectives, comme les parties prenantes sont nombreuses et différents projets ont déjà été évoqués avec la Région.

Ce rapprochement est historique et prometteur. C’est, avec la création en 2021 du « Comité de filière cosmétique » initié par Cosmetic Valley, un tournant dans la stratégie d’intensification des partenariats public-privé nécessaires au développement du secteur.

Pour Marc-Antoine Jamet. président de Cosmetic Valley :

« Une place de leader mondial ne se conserve pas. Elle se gagne et elle se défend. Il faut pour cela une stratégie, des objectifs et des alliés. Le partenariat avec un acteur institutionnel de la taille et de la puissance de 1 ‘Ile-de-France, dont les compétences sont complémentaires de celles du pôle de compétitivité, permet de mieux cerner ces enjeux. La stratégie, c’est celle du basculement vers les sciences dures que nos produits doivent intégrer. Les objectifs ce sont ceux du fabriqué en France, authenticité des ingrédients, protection du consommateur, sauvegarde de l’environnement, performance de l’innovation. Les alliés, ce sont grâce à la région les laboratoires publics, les universités, les relais à l’international. L’apport de la région Ile-de-France, première région économique d’Europe, sera ici véritablement essentiel. Elle permet le changement d’échelle, la visibilité internationale, la conquête de l’avenir. Je m’en réjouis. Nous sommes tous disposés à ce que cette nouvelle alliance se concrétise et fasse gagner la cosmétique française ».

Nouveau site internet Golgemma

Pour lancer son nouveau site internet, Golgemma a choisi le jour de l’été.

C’est donc ce 21 juin, que Golgemma producteur d’extraits naturels certifiés, révèle un nouveau site coloré et enrichi.

Découvrez tous les produits (hydrolats, huiles essentielles, macérais huileux,…) dans un catalogue en ligne au moteur de recherche puissant.

Retrouvez l’univers de Golgemma et ses expertises pour les cosmétiques, l’aromathérapie, les compléments alimentaires, l’alimentaire…

Claude Grison remporte le prix de l’inventeur européen de l’année

L’Office européen des brevets vient de révéler son palmarès : Claude Grison est la lauréate du Prix de l’inventeur européen 2022 dans la catégorie « Recherche ».

C’est lors d’une cérémonie diffusée en direct que l’Office européen des brevets a dévoilé, ce mardi 21 juin 2022 à midi, les lauréats de ses Prix de l’inventeur européen 2022. Et c’est Claude Grison, chercheuse au CNRS, directrice du laboratoire Chimie bio-inspirée et innovations écologiques du CNRS et lauréate de la médaille de l’innovation du CNRS en 2014, qui a emporté les suffrages du public. Elle est récompensée pour les méthodes d’utilisation de plantes qu’elle a développées pour extraire les éléments métalliques d’un sol pollué et utiliser ces « écocatalyseurs » pour créer de nouvelles molécules pour l’industrie. Claude Grison a créé quatre start-up dont Bio Inspir’, présente en 2019 sur le stand du CNRS à Vivatech, et collaboré avec des sociétés chimiques, pharmaceutiques et cosmétiques dont Belgarena, Colas, Klorane et Chimex.

Cosmétique responsable : quand les géants de l’industrie ouvrent la voie avec Cradle to Cradle Certified

La nouvelle gamme hybride de maquillage et de soins « Nu » d’YSL Beauté vient de recevoir la certification Cradle to Cradle Argent. C’est la première fois qu’une gamme de produits de beauté fabriquée en France reçoit cette certification très exigeante. L’eau de parfum Calvin Klein CK Everyone, de chez Coty, lui emboite le pas et vient quant à elle d’être certifiée Cradle to Cradle Or. L’économie circulaire déferle dans nos salles de bains et il s’agit d’une tendance de fond.

Aujourd’hui, les consommateurs exigent beaucoup plus : de la transparence sur l’origine des ingrédients, le respect des récoltants, la réduction de l’impact sur l’environnement, un programme de recyclage, des packagings éco-conçus… Plus qu’une prise de conscience, une réelle philosophie désormais prônée par les grandes marques qui multiplient les engagements pour développer des produits durables de manière à limiter leur impact sur l’environnement, de la conception à la fabrication, jusqu’à leur fin de vie. Mais comment accélérer le déploiement de produits durables dans toute la filière beauté et cosmétique ? Le Cradle to Cradle Products Innovation Institut fait le point sur les bonnes pratiques pour le bien-être de la peau et celui de la planète.

Objectif : économie circulaire

La façon dont les entreprises conçoivent et fabriquent les produits aujourd’hui a un impact direct sur le monde de demain. Le secteur de la beauté est donc lui aussi confronté à des enjeux environnementaux pour pérenniser ses activités, répondre aux aspirations des clients, et innover dans un contexte d’exemplarité éthique.

La loi AGEC, mise en place pour défendre une transition écologique rapide et significative, valorise l’économie des ressources, des matières premières, de l’énergie, de l’eau, la limitation des déchets et de leur réutilisation. Elle regroupe 130 articles dont 29 sont directement liés au secteur « hygiène et beauté », dont les cosmétiques.

La loi prévoit la disparition des emballages en plastique à usage unique d’ici 2040 et 100% des emballages plastiques recyclés d’ici 2025. Cela impose pour le secteur cosmétique de respecter 3 ordres : réemployer, réutiliser, recycler. Elle interdit également la destruction des invendus et oblige à sa gestion. Avec ces mesures, la Fédération des Entreprises de la Beauté (FEBEA) prévoit une économie de 8 500 tonnes de plastiques en 2025.

Dans ce cadre, les travaux d’écoconception et de réemploi des emballages s’accélèrent, et la gestion des déchets s’améliore pour promouvoir une consommation plus responsable. L’économie circulaire apparait comme l’une des solutions pour répondre à ces contraintes et réduire l’empreinte plastique.

Cradle to Cradle Products Innovation Institut : une démarche holistique

Différentes marques sont déjà engagées dans des démarches d’économie circulaire mais souvent, elles sont réduites à la seule question des déchets ou à un seul attribut de l’économie circulaire, oubliant les enjeux essentiels. Pour ancrer un modèle économique dans une démarche de sobriété durable, des solutions complètes existent comme le Cradle to Cradle Products Innovation Institut.

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