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L’Occitane accélère sa transformation digitale dans le domaine du packaging grâce à Veeva

site-industries-cosmetiques L'Occitane accélère sa transformation numérique avec Veeva pour le packaging.

La société Veeva, spécialiste de la qualité et des affaires réglementaires pour les acteurs de l’industrie, a été sollicitée par L’Occitane, groupe familial de rayonnement international qui fabrique et commercialise des produits de cosmétique et de bien-être à base d’ingrédients naturels. Objectif affiché : accélérer sur l’analyse des problématiques essentielles comme l’élimination du plastique, le recyclage des emballages ou les nouveaux usages en matière de cosmétiques.

Ce n’est un secret pour personne, la crise sanitaire liée au Covid-19 a rebattu les cartes pour nombre d’industries. En ce qui concerne le secteur des cosmétiques, les préoccupations d’ordre sanitaire ont vu la tendance au healthy, mais aussi à l’éthique, au bio et à la transparence – déjà en vogue auparavant – grimper en flèche. Autant de valeurs que porte L’Occitane en Provence.

« L’Occitane est plus que jamais une marque engagée, resitue David Bayard, directeur développement technique packaging du groupe. Nos premières boutiques étaient déjà pourvues de systèmes de consignes qui permettaient de récupérer les emballages en verre. Notre engagement en faveur de la protection de la nature et de la réduction de l’empreinte environnementale, est naturel… »

Un groupe engagé

Le groupe L’Occitane figure parmi les leaders mondiaux dans le marché des cosmétiques à base d’ingrédients naturels et biologiques. Il se démarque par la diversité et l’abondance de son offre, et exerce ses activités sous six marques différentes, dont celle historique de L’Occitane en Provence, mais aussi Melvita, Erborian, L’Occitane au Brésil, LimeLife et Elemis. Le groupe compte aujourd’hui plus de 3 400 points de vente, dont plus de 1 600 boutiques en propre.

Depuis 1997, le groupe a élargi son ancrage territorial à 90 pays, en s’appuyant sur des biosystèmes — c’est-à-dire des écosystèmes vertueux, à la fois naturels et humains. L’Occitane est un pionnier du « multi-local » : cette approche, nourrie d’esprit entrepreneurial, est hautement créatrice de valeur économique, environnementale et sociétale pour l’ensemble des territoires où le groupe est investi.

« Face aux nouveaux enjeux sociétaux, notamment la notion de développement durable devenue de plus en plus prégnante au cours de ces dernières années, nous avons su nous montrer audacieux, et faire évoluer notre stratégie tout en restant en phase avec nos principes fondamentaux, explique David Bayard. Nous avons pris certains engagements drastiques pour réduire notre empreinte, comme ceux d’éliminer complètement le plastique non-recyclé de nos emballages, et de produire ces derniers exclusivement à partir de matières recyclées d’ici 2025. Nous nous engageons en outre à donner une seconde vie à toutes les composantes qui ne sont pas recyclables localement. Ceci a constitué un véritable focus pour nous ces trois dernières années. »

Signataire de la Fondation Ellen McArthur en faveur de l’économie circulaire à l’instar d’un grand nombre d’entreprises de premier plan tous secteurs confondus, les initiatives du groupe en ce sens sont systématiquement rendues publiques. Certaines d’entre elles, telles la récente mise sur le marché du premier tube en aluminium recyclé, ou encore la généralisation du système des éco-recharges, ont contribué à faire évoluer positivement l’impact environnemental de L’Occitane.

Course contre-la-montre et course d’obstacles réglementaires

« Mais ces initiatives ont un revers à leur médaille, poursuit David Bayard. Les contraintes, notamment d’ordre réglementaire, sont nombreuses. La mise au point de nouveaux produits, comme les shampoings et après-shampoings solides que nous sortirons prochainement, ou de nouveaux modes de distribution comme le remplissage en boutique des flacons d’eau de toilette, engendre des complications diverses, liées par exemple aux bactéries. Or, notre mission fondamentale en tant que producteur est de garantir le risque zéro pour la santé du consommateur. Aucun acteur ne peut se permettre de transiger avec cette question de la conformité. »

Un véritable marathon pour celui qui est en charge de l’optimisation continue des packagings chez L’Occitane. « Nous devons bouger énormément de choses. Quand nous sortons un nouvel emballage en aluminium recyclé, pour reprendre cet exemple, étant donné que nous cherchons toujours à nous inscrire sur un projet de transformation durable et une vision à long terme, il nous faut appliquer cette nouveauté à l’ensemble de nos gammes, à travers le monde entier et tout en tenant compte des stocks préexistants. Cela prend forcément un temps considérable. »

Une mosaïque exponentielle d’indicateurs

Dans le but de contrôler sa progression, les équipes à la manœuvre au sein du groupe doivent manipuler une quantité très importante de données. Quel pourcentage de tel matériau part où, quel est le taux de gaspillage pour tel produit, etc. ; les indicateurs nécessaires à la transformation de l’entreprise se sont démultipliés au fur et à mesure de son évolution, rendant leur gestion extrêmement compliquée. C’est ainsi qu’un besoin de centralisation et de pilotage de ces données est devenu un impératif.

« Dans notre quête de précision et de rapidité d’accès à l’information, nous nous sommes mis en recherche d’un éditeur qui puisse nous aider à obtenir davantage de rigueur et travailler plus facilement la donnée », relate encore David Bayard.

Objectif : mise en place rapide pour respecter les engagements de la marque

Avril 2019. À la recherche d’un outil facile à utiliser pour les équipes, et qui puisse être rendu opérationnel rapidement pour respecter ses engagements, L’Occitane contacte plusieurs éditeurs. C’est à ce moment que Veeva, spécialiste mondial de la modernisation des processus de production – qualité, réglementaire, marketing – pour les acteurs de l’industrie, et sa solution RegulatoryOne entrent en scène.

« Nous travaillions déjà avec Veeva pour améliorer nos performances en matière de garantie de la qualité de nos produits, mais les collaborateurs de Veeva n’avaient pas nécessairement vocation à prendre en charge l’aspect réglementaire de nos activités pour autant, indique David Bayard. Ce qui a fait la différence, c’est l’aptitude de Veeva à cerner au mieux nos besoins au préalable et à adapter leur solution. Une phase de test grandeur nature – ou POC – nous a ensuite rapidement confirmé qu’ils étaient en mesure d’y répondre et de nous faire gagner en agilité. »

Changement de dimension mais un cap durable maintenu

Désormais, les équipes de L’Occitane sont en mesure d’évaluer leurs résultats à bien mieux qu’auparavant. « Là où il nous fallait quatre semaines pleines pour observer les comportements d’une dizaine d’indicateurs à peu près, nous en sommes aujourd’hui à plus d’une cinquantaine évalués en deux jours seulement ! Cela nous a permis de passer d’un rythme annuel de monitoring à un rythme trimestriel, en plus d’affiner la data et de multiplier ces indicateurs, se félicite David Bayard, dont l’initiative a été élue projet majeur du groupe sur l’année 2020. Les circuits de validation étant de mieux en mieux maîtrisés, c’est le pilotage de notre production dans son ensemble qui s’en retrouve facilité et fluidifié. En un mot : accéléré. Les objectifs initiaux ont donc largement été atteints. »

Au total, ce sont près de 70 utilisateurs internes à l’entreprise qui bénéficient de la solution de Veeva pour leurs activités au quotidien. La marque L’Occitane en Provence est, à cette heure, la seule concernée, mais des démonstrations ont lieu dans plusieurs autres entités qui devraient lui emboîter le pas.

« En outre, il est question d’ouvrir un accès RegulatoryOne aux fournisseurs, pour permettre à ceux-ci d’entrer directement leurs données dans le système. Cette collaboration digitale sur l’ensemble des données et des documents apportera davantage de lisibilité, de sécurisation de l’information et de gains de temps pour tous ; la relation client/fournisseur en ressortira grandie, conclut David Bayard. Cela va nous permettre d’être encore plus agiles. Une dizaine de fournisseurs devraient être ajoutée au processus dès le premier trimestre de cette année. »

Vitessence de chanvre, du parfum au bien-être

site-industries-cosmetiques Un trio de baumes à lèvres de couleur orange mettant en valeur les bienfaits naturels de Vitessence de chanvre sur fond blanc.

Hydratante, nourrissante, anti-inflammatoire, anti-âge et cicatrisante : les propriétés du chanvre – tout comme son parfum à l’accent végétal, qui permettrait d’agir sur le stress, l’anxiété ou encore la dépression – séduisent l’industrie cosmétique.

Selon Timothy Evans-Lora, Manager Recherche Appliquée aux États-Unis, «les consommateurs associent le chanvre à la santé de manière holistique et l’associent à la relaxation, au fait d’être moderne et branché, ainsi qu’au bien-être émotionnel. ». C’est en effet ce que révèle une étude 1 Symrise : pour 70 % des personnes interrogées, au-delà des propriétés médicales et récréatives, le chanvre est perçu comme une plante naturelle (70 %), avec des bénéfices santé (38 %), moderne (37 %) et possédant une dimension holistique (30 %).

L’étude a également permis d’établir que pour 77 % des sondés il serait tout à fait acceptable qu’un produit cosmétique puisse être illustré avec une odeur de cannabis. Cette senteur devrait alors être perçue comme naturelle, mettant en avant des facettes herbacées, aromatiques, médicinales et aller jusqu’à être très proche de l’odeur de Marijuana.

Cette connaissance approfondie des attentes des consommateurs et de leur perception de cet ingrédient atypique, associée à une forte expertise R&D en conformité avec les restrictions légales et réglementaires dans le monde, permet désormais à Symrise de renforcer son expertise avec une offre parfum sur mesure : la Vitessence de chanvre.

Combinant son expertise en matière de développement de parfums, d’ingrédients cosmétiques et de molécules aromatiques, Symrise apporte à ses clients une solution à 360° avec trois Vitessence de chanvre afin de répondre à la tendance croissante du cannabis dans l’industrie.

Afin de recréer une odeur de chanvre au plus proche de celle de l’ingrédient pur, les scientifiques et les parfumeurs de Symrise ont analysé plusieurs espèces de chanvre du monde entier afin de déterminer laquelle était la plus intéressante d’un point de vue olfactif. Ils ont ainsi sélectionné le Sour Space Candy en provenance du Colorado aux États-Unis. Grâce à la technologie Vitessence, Symrise a recréé une essence synthétique, proche de la plante séchée, ayant un profil olfactif vert, balsamique, terreux, herbacé et boisé. Cette Vitessence de chanvre ne contient ni tétrahydrocannabinol (THC) ni cannabidiol (CBD).

« La plupart des clients qui achètent des produits à base de chanvre veulent des produits naturels. Sans oublier ceux qui sont attentifs et décryptent les étiquettes », explique Fabien Calvet, ambassadeur développement durable Symrise Beauty Care. C’est pourquoi Symrise propose également cette Vitessence de chanvre en version 100 % naturelle (ISO 9235) et en version certifiée Cosmos Natural.

Les Vitessences de chanvre contiennent une molécule de synthèse Symrise, aux facettes de pamplemousse, de rhubarbe et de jacinthe. Celle-ci permet de booster en tête les citrus et les notes aqueuses. Elle est également reconnue pour ses propriétés relaxantes.

« La Vitessence de chanvre offre aux fragrances une bouffée de légèreté naturelle grâce à sa fraîcheur pétillante. Captivante et mystique, elle renforce les éléments citrus verts et aromatiques tout en complexifiant l’esprit des notes boisées », note Jerry Padoly, parfumeur.

Respectueuse de la nature, la technologie Vitessence a pour but de recueillir les propriétés olfactives de tout ingrédient naturel sans lui nuire. L’air parfumé autour de la plante, aussi appelé «head space», est capturé par un processus non-invasif. Les molécules odorantes sont identifiées par le biais d’une chromatographie en phase gazeuse et le résultat ensuite partagé avec le parfumeur pour une reconstitution au plus proche de la nature, ce qui n’est pas toujours le cas avec d’autres méthodes d’extraction. Une technologie d’autant plus intéressante qu’elle permet de gérer au mieux les questions de sourcing, de prix et de réglementation.

Ces Vitessence de chanvre, développées par la division Consumer Fragrance de Symrise, sont utilisées aussi bien dans les cosmétiques, les produits pour la maison et les applications pour animaux de compagnie comme les litières pour chats. Elles permettent ainsi aux consommateurs de se créer un environnement apaisant, enclin au bien-être émotionnel. Elles rejoignent les offres d’huile de graines de chanvre (division Cosmetic Ingredients) et de Canapure (division Aroma Molecules).

[podcast] La beauté, le secteur aux 118M de tweets par an

site-industries-cosmetiques Une femme choquée vérifiant son téléphone devant un fond orange.

Nouvel épisode de Cosmétalks, notre podcast dédié aux acteurs de la parfumerie-cosmétique. Cette fois-ci, c’est Patrick Calmels, en charge de l’équipe Luxe pour Twitter qui prend la parole en répondant aux questions de Nicolas Gosse.

patrick- Management - Info marché

Cet ancien de chez L’Oréal explique en quoi les marques cosmétiques peuvent trouver en Twitter des insights pour nourrir leurs innovations et améliorer leur veille. Pour lui : « Twitter est le plus grand focus groupe du monde. » Les 192 millions de personnes qui utilisent ce réseau social chaque jour ont généré l’an dernier plus de 118 millions de tweets relatifs au secteur de la beauté. Une plateforme de conversation vers toutes les parties prenantes du secteur…

À écouter directement sur notre site ou sur les principales plateformes de podcast.

Un instrument pour mesurer le taux d’évaporation des larmes

site-industries-cosmetiques Une femme utilise un appareil pour favoriser l'évaporation sur son visage.

Le Eye-VapoMeter est, selon Delfin Technologies, le premier et le seul instrument portable pour mesurer facilement le taux d’évaporation des larmes (TER pour Tear Evaporation Rate). Ce taux d’évaporation peut varier suite au syndrome de l’œil sec, ou si le sujet porte des lentilles. 

« Avec le Eye-VapoMeter, l’efficacité d’un traitement est facile à constater en mesurant le TER », indique-t-on chez Delfin Technologies.

Ainsi, par exemple, dans le cadre d’études précliniques évaluant l’effect des alcanes semifluorés sur la surface oculaire et la dynamique des fluides lacrymaux (des études menées, notamment, par le département d’ophtalmologie de l’université d’Auckland, la société allemande Novaliq), le taux d’évaporation des larmes a été mesuré par évaporimétrie à l’aide d’un Delfin Eye-VapoMeter SWL5 modifié par Delfin Technologies pour les tests sur l’œil relativement petit du lapin en y fixant une lunette de natation de taille enfant à l’instrument. Les mesues de TER ont été enregistrées en double pour chaque œil et la moyenne a été calculée (moyenne de quatre mesures au total). La variation diurne et la répétabilité des mesures de TER ont été vérifiées en prenant dix lectures consécutives de TER dans chaque œil (20 par lapin) à deux moments différents le même jour sans instillation préalable d’un collyre test.

Eye VapoMeter 2- Management - Info produits

Les avantages du Eye-VapoMeter sont :
– un adaptateur rotatif adapté pour l’œil
– un champ de mesure large, jusqu’à 300 g/m2h, sans saturation
– une mesure rapide (15 à 20 secondes)
– une chambre fermée, insensible aux courants d’air
– un instrument portable qui fonctionne avec des piles, sans câbles
– un transfert des mesures sans fils
– un instrument disponible également avec adaptateurs pour les animaux

Solabia s’adapte à tous les âges en proposant des solutions biologiques dédiées

site-industries-cosmetiques Une femme utilise les solutions biologiques de Solabia pour améliorer l'apparence de son visage.

Avec l’âge, notre peau évolue. Elle subit des changements plus ou moins visibles qui affectent la perception de soi et le bien-être. À chaque étape de la vie correspond des bouleversements qu’il est important de prendre en compte afin de s’adapter au mieux à cette évolution dans une quête perpétuelle de bien-être et par extension, bien-vieillir. On parle alors de « happy-aging ».

La recherche du groupe Solabia s’est intéressée à ces changements en regardant les processus de biologie cellulaire de chaque étape du vieillissement pour s’adresser à deux principales cibles :

– les femmes et hommes actifs 35-45 ans, principalement avec des enfants à la maison, confrontés à des journées chargées et ayant le sentiment que quelque chose a changé pour leur peau et de plus faire son âge. Leurs problèmes de peau : signes de fatigue, impression de teint plus terne, et premières rides donnant un aspect rugueux. Leur mantra : « Act before it’s too late! »

– les femmes de 50-60 ans, expérimentées, traversant la ménopause et le vieillissement accéléré de leur peau avec une baisse d’estime de soi. Leurs problèmes de peau : déshydratée, plus ridée & perte de fermeté, plus fragile avec des sensations d’inconfort cutané (hypersensibilité, démangeaisons, sécheresse, etc.). Leur mantra : « Sublime authentic ageing! »

Partant de ce constat, Solabia a innové et propose des actifs dédiés. FucoLife GR est ainsi un polysaccharide de faible poids moléculaire obtenu par fermentation bactérienne disponible sous forme poudre. 

Il s’agit d’un actif éco-conçu spécialement dédié aux peaux très sèches et hypersensibles. Passage obligatoire pour toutes les femmes, la ménopause entraîne son lot de bouleversements. En effet, les fluctuations hormonales qui en découlent se traduisent par des modifications de la physiologie cutanée et de l’état émotionnel avec notamment une détérioration de l’estime de soi. Se présentant sous une forme poudre, sans conservateurs, FucoLife GR est obtenu par procédé de fermentation maîtrisé. Par sa grande pureté, ce polysaccharide favorise la régénération de la peau en agissant au cœur de la matrice extracellulaire. Ainsi, il augmente significativement l’épaisseur et la densité du derme dès les premières années de la ménopause, pour prévenir de profonds effets délétères à long terme. Réparée, la peau est plus confortable et rayonne de jeunesse. Par ailleurs, dans cette période si particulière de la vie des femme, FucoLife GR diminue les sensations d’inconforts permettant une amélioration de l’estime de soi et de l’humeur. Les femmes se sentent mieux dans leur peau, elles retrouvent, selon Solabia, jeunesse et féminité !

Essenc’Age est une poudre 100 % pure composée de fucoïdans de faible poids moléculaire obtenue à partir d’Ascophyllum nodosum biologique récolté sur l’île d’Ouessant, site unique classé réserve de biosphère par l’Unesco.

L’Ascophyllum Nodosum est reconnu pour sa richesse en fucoïdanes dont les bas poids moléculaires ont été sélectionnés par la recherche du groupe Solabia afin de créer cet actif sous forme poudre et sans conservateur. Ces derniers lui confèrent ses propriétés de réjuvénation cutanée et anti-fatigue. Grâce à son action sur la senescence des cellules, Essenc’Age agit comme un véritable protecteur cellulaire pour aider la peau à s’adapter aux changements liés au vieillissement et à l’environnement. Selon Solabia, Essenc’Age réduit significativement les premiers signes de l’âge par un effet visible sur les rides globales, lutte efficacement contre les signes de fatigue grâce à une meilleure résilience de la peau. Avec une peau lissée/renforcée, l’âge physiologique et l’âge biologique se resynchronise. Le teint est reposé, frais & éclatant. 

Emul’Spheres : des perles de beauté 100% personnalisables qui permettent d’incorporer des ingrédients lipophiles dans une émulsion sans émulsifiant pour ne garder que le soin de la peau.

Avec le lancement de la technologie Emul’Spheres, Solabia renforce sa position en tant qu’acteur majeur dans le domaine des perles de soin. Grâce à deux gélifiants d’origine naturelle qui forment un réseau autour des micro-gouttelettes d’huile, cette nouvelle technologie de perles permet d’inclure cinq fois plus d’ingrédients lipophiles (huile végétale, actif huileux, émollient, etc.) que dans les perles de doin première génération, créant ainsi une émulsion sans émulsionnant au sein de chaque perle précieuse. Plus riches, plus douces et plus soyeuses, les Emul’Spheres sont ainsi idéales, selon Solabia, pour les peaux sèches ou sensibles dont elles renforcent le film hydrolipidique et améliorent le confort tout en offrant une sensorialité optimisée. Aujourd’hui présentée au travers des Emul’Spheres Jojoba Oil, prototype contenant plus de 95 % d’ingrédients d’origine naturelle, la technologie Emul’Spheres est également totalement personnalisable et se décline donc selon les souhaits du client pour une perle 100 % sur mesure !

Ecoskin est un pro-postbiotique qui constitue un substrat préférentiel pour l’alimentation des microorganismes commensaux cutanés. En agissant directement sur la biosélectivité du microbiome cutané, Ecoskin sublime l’éclat du teint et atténue les sensations d’inconfort caractéristiques des peaux sensibles à tendance grasse.

Ecoskin est un actif associant deux prébiotiques et deux bactéries postbiotiques sous forme inactivée. Source de carbone, les gluco-oligosaccharides -obtenus par synthèse enzymatique- et les fructo-oligosaccharides issus du pressage des tubercules du Yacon- constituent un substrat préférentiel pour l’alimentation des microorganismes commensaux cutanés. Associés aux probiotiques de type lactobacille, ils ont la capacité de rééquilibrer la composition de la flore microbienne pour une meilleure défense de la peau. Ces données ont été confirmées par de nouvelles études métagénomiques menées in vivo sur le microbiote de la peau. Solabia affirme, de plus, qu’Ecoskin augmente significativement l’expression de peptides anti-microbiens de type β-défensine 2 et βdéfensine 3.

Ainsi, en agissant directement sur la biosélectivité du microbiome cutané, Ecoskin sublimerait l’éclat du teint et atténuerait les sensations d’inconfort caractéristiques des peaux sensibles à tendance grasse.

Les plantes adaptogènes : Solabia étend sa gamme de plantes adaptogènes obtenue grâce à la technologie SolaGreen Superfluids avec le Millepertuis, l’Echinacée et la Tribule terrestre. Reconnues pour leurs propriétés stimulantes et tonifiantes du corps et de l’esprit, elles boostent les systèmes de défenses pour lutter activement contre les effets néfastes des stress. Composée d’extraits standardisés et titrés, la gamme adaptogène apaise les peaux agressées et aide à prévenir du vieillissement prématuré.

Hommage à une délicatesse contemporaine

site-industries-cosmetiques Un hommage contemporain à l'élégance délicate avec une bouteille en verre avec un couvercle doré sur fond blanc.

Maison Berger Paris, marque du patrimoine français qui a fêté ses 120 ans en 2018, a créé un flacon tout en rondeurs qui s’inspire de codes classiques de la marque, tout en y apposant des détails raffinés et délicats, rendant ainsi un véritable hommage à une délicatesse contemporaine. La préciosité des matériaux et les teintes juxtaposées offrent un très bel effet graphique.

Le design a été réalisé par Rozenn Mainguené, qui crée et dessine depuis 20 ans pour l’univers du luxe et de la beauté. De la fragrance “Fleurs de Musc“ se dégage une chaleur protectrice et diffuse de la tubéreuse pour mieux sublimer la maison. 

Et c’est à Stoelzle Masnières que la marque a confié une nouvelle fois la réalisation de ce flacon à facette creusée. Un choix de verre haut de gamme (Luxe N°1) sur lequel un laquage « nude » très tendance a été apposé. 

Contenance : 350 ml

La jeune marque Krème soutient l’agriculture locale

site-industries-cosmetiques Produits de soins de la peau Kreme et huile sur une table.

Depuis la crise sanitaire, 82 % des Français privilégient l’achat de produits d’origine française. Leur principale motivation serait le soutien des agriculteurs français dans leur consommation quotidienne.

Cette tendance, de plus en plus répandue dans le secteur alimentaire, touche désormais la cosmétique. C’est dans cette optique que Krème propose une nouvelle génération de cosmétiques, produits en circuit court. « Il faut aller plus loin que le Made in France, qui ne suffit plus en cosmétique. Car à quoi bon formuler en France des soins qui ne contiennent que des ingrédients venus du bout du monde ? ». Les co-fondatrices de Krème, Juliette Lailler et Marie Belile expliquent : la préférence française dans le choix du circuit de création et de production d’un cosmétique est une valeur clé. C’est de ce constat et de cette volonté qu’elles ont créé leur gamme de soins frais, biologiques, sains et locaux.

La cosmétique grâce au circuit-court

Krème propose une cosmétique nouvelle génération et relance des productions fraîches toutes les 10 semaines ; une fréquence qui contraste avec les deux ans qui se passent en moyenne entre la fabrication et l’utilisation d’un cosmétique conventionnel. Ceci est rendu possible grâce à des actifs exclusivement sourcés en circuit-court auprès d’agriculteurs biologiques partenaires.

Ainsi, à titre d’exemple et dans une démarche de soutien aux nouvelles filières agricoles, Krème a choisi d’accompagner Aurore Cottrel, agricultrice en Normandie. Après le décès de son mari, Aurore reprend l’exploitation familiale et décide de la diversifier vers le pastel. Cette plante a fait la fortune de nombreuses villes du nord de la France au Moyen-Âge : on en tire un pigment bleu qui colorait les ciels des églises et les vêtements. Longtemps supplanté par l’indigo indien, le pastel, prisé pour ses vertus cosmétiques, commence tout juste à être réintroduit en France… et pourrait reprendre des couleurs ! Krème soutient le projet d’Aurore en l’accompagnant financièrement sur cette réintroduction, et en étudiant avec elle des voies de débouchés pour le lancement d’un produit de soin prévu en 2022.

Un engagement qui fait sens auprès des consommateurs

Depuis son lancement fin 2020, Krème ne cesse de séduire de nouveaux consommateurs. Après une campagne remarquée sur Ulule (Marque #1 d’Ulule sur le segment beauté), la jeune marque double son CA tous les mois via son site internet, en ligne depuis décembre dernier. Une croissance rapide qui lui a permis d’intégrer Station F , le plus grand incubateur du monde.

Fighting hair loss with SantEnergy™

site-industries-cosmetiques Une femme utilisant SantEnergy™ pour lutter contre la chute des cheveux devant un décor vibrant.

Reactive oxygen species (ROS) have long been known as one of the major factors contributing to premature aging. They cause the oxidation of cellular molecules, leading to DNA damage and impairing the function of cellular proteins. Eventually, this reduces cell viability and survival and in particular in hair follicles, this causes a shortening of the anagen growth phase and ultimately leads to hair loss. Mibelle Biochemistry has developed SantEnergy™ to energize hair follicle cells and protect them from the harmful impacts of ROS.

Besides the skin, also the hair and scalp are exposed to a range of harmful factors daily. Many of these cause the formation of reactive oxygen species (ROS), which further damage cellular proteins and lipids, but also cause oxidative DNA damage in the sensitive hair follicle cells. The hair follicles possess a defense system in order to remove ROS and protect the cells from protein and lipid oxidation as well as oxidative DNA damage. The master regulator of the oxidative stress response, Nuclear factor erythroid 2-related factor (Nrf2), functions as a switch to activate the synthesis of antioxidant enzymes and to replenish the pool of cellular antioxidants such as glutathione. In the scalp in particular, Nrf2 was shown to be activated upon stress and to decrease ROS levels and prevent lipid peroxidation. Thereby, Nrf2 activation reduces the premature progression to the catagen growth regression phase and ultimately ameliorates hair growth inhibition caused by oxidative stress. However, this cellular self-protection system is unable to cope with an excess detrimental chemical species and its activity was shown to decline with age.

To support the cellular self-protection system, prevent UV-induced oxidative damage and energize the hair follicles, Mibelle Biochemistry has developed SantEnergy™ based on a polyphenol-rich extract from the wild harvested aerial parts of Eriodictyon californicum, a plant also known as Yerba Santa, holy herb or mountain balm. The leaves of this plant have traditionally been used to treat upper respiratory infections and asthma and it has numerous recorded health benefits including antioxidant, anti-inflammatory, anti-bacterial and neuroprotective effects.

Several in vitro studies have been performed to investigate the effects of SantEnergy™. They showed that the active has a caffeine-like energizing effect by engaging the adenosine receptor, which is also the molecular target of caffeine. This stimulating effect was also observed upon treatment of the nematode C. elegans with SantEnergy™, which led to an increase in the worms’ mobility comparable to treatment with caffeine. Cell-based assays proved the strong antioxidant activity of SantEnergy™ both at the cell membrane and inside the cell, which was comparable to that of pure quercetin, one of the most well-known and powerful antioxidants.

Santa Herba Depositphotos 235886742 xl 2015- Management - Info produits

The beneficial effects of SantEnergy™ were further studied in isolated human hair follicles, a full mini-organ model that is ideally suited for such investigations. In the isolated hair follicles, UVB irradiation led to the depletion of Nrf2 in various distinct areas and an increase in oxidative DNA damage, reflected by the formation of the oxidative DNA adduct 8-hydroxydeoxyguanosine (8-OHdG). Treatment with SantEnergy™ increased the expression of Nrf2, thereby supporting the cellular self-protection system of the hair follicle cells, while also preventing the oxidative DNA-damage caused by UV radiation. As a result of the oxidative stress, hair follicles had prematurely transitioned to the mid to late catagen phase of the hair growth cycle upon UV radiation. Treatment with the active ingredient prevented this premature transition to the growth regression phase and thereby delayed the aging of the hair follicle, which is generally associated with hair loss.

A clinical study was performed in order to prove the efficacy of SantEnergy™ to reduce hair loss. 56 volunteers suffering from hair loss (45 women and 11 men; aged 18 to 68 years) were enrolled and separated into two groups: one group applied a hair serum containing 2 % SantEnergy™ once daily on the scalp for five months, while the other group used a corresponding placebo product. A cosmetic trichogram was performed and the analysis showed that the active ingredient induced a reduction of telogen hair by 20% and an increase of anagen hair by 31.8%. This led to an overall increase of the hair growth coefficient, the anagen to telogen ration (A/T ratio), by 68%. As the A/T ratio is a direct indicator of the proportion of actively growing hair follicles, it directly impacts on the hair density. A measurement with the Trichoscan® microcamera confirmed this: the hair density increased by 13.1% after five months of treatment with SantEnergy™.

In conclusion, SantEnergy™ is a powerful active ingredient which energizes the hair follicles and protects them from oxidative damage by upregulating the cellular antioxidant system. Together, these beneficial effects protect the hair from photo-aging and ultimately increase hair growth and density.

[étude] Bio et naturel, une arme de séduction massive sur le marché des cosmétiques

site-industries-cosmetiques Un comptoir présentant une étude de cosmétiques bio, comprenant un bécher rempli de liquide et d'herbes.

Xerfi vient de publier une étude sous le titre : « Les cosmétiques bio et naturels à l’heure du mass market – Évolution de la concurrence et perspectives de croissance du marché à l’horizon 2023 » 

Je suis élaboré à base de produits bio, d’ingrédients naturels ou d’origine naturelle et commercialisé dans des emballages recyclables, en vrac ou sous forme solide. Qui suis-je ? Un… cosmétique bio et/ou naturel. La « clean beauty » fait désormais l’objet d’un véritable engouement en France dans un secteur de l’hygiène-beauté plutôt déprimé. Au risque de parfois friser le greenwashing. Aujourd’hui, les ventes de cosmétiques bio et naturels (+8 % à 972 millions d’euros en 2020) représentent 6,4 % du marché. Demain, leur poids dans l’univers des cosmétiques augmentera de 2 points à 8,5 % en 2023 grâce à des ventes qui vont bondir de 12 % par an en valeur pour frôler les 1,4 milliard d’euros en fin de période, d’après les calculs des experts de Xerfi Precepta. Les Français veulent en effet des produits plus responsables et meilleurs pour la santé. Et les moteurs de croissance ne manquent pas entre le développement considérable de l’offre dans les circuits de distribution, le foisonnement d’innovations des laboratoires et le poids croissant des Millenials dans la population de consommateurs. Dans ce contexte, l’enthousiasme pour les cosmétiques bio et durables a toutes les chances de s’imposer comme un phénomène durable. Et les géants de l’industrie de l’hygiène-beauté conventionnelle entendent bien profiter de cette manne après une première incursion ratée sur ce créneau au début des années 2000.

Et ils ne ménagent pas leur peine pour installer leurs cosmétiques bio dans les salles de bains de l’Hexagone. Ils déclinent ainsi en bio leurs grandes marques comme par exemple Garnier Bio ou en créent de nouvelles à l’instar de La Provençale bio chez L’Oréal. Les majors du secteur rivalisent également d’initiatives en faveur de l’environnement, à l’image du nouveau programme de développement durable « L’Oréal pour le futur », dévoilé en juin. Il s’agit pour le leader mondial des cosmétiques de retrouver la confiance des consommateurs, en démontrant l’authenticité et la cohérence de sa démarche, et de tirer parti du phénomène clean beauty, avec des gammes responsables susceptibles de répondre aux attentes des consommateurs sans être aussi contraignantes que le bio.

Si les géants du conventionnel (L’Oréal avec Ushuaïa, Mixa, Cadum et Garnier ; Unilever avec Dove, Timoteï, Monsavon ; Henkel avec Vademecum, Le Chat…) redoublent d’efforts pour convertir le marché des cosmétique bio et naturels au mass market, les pionniers n’ont pas dit leur dernier mot. Ces derniers font d’ailleurs encore la course en tête en matière de parts de marché. Ils vont néanmoins devoir se retrousser les manches. D’abord, ils vont devoir augmenter leurs capacités de production pour répondre à l’essor de la demande. Léa Nature a ainsi inauguré une nouvelle usine en 2019 pour à terme de tripler sa production. Les pionniers doivent également s’attacher à élargir leur offre tout en préservant leur image de marque. Pierre Cattier a ainsi commercialisé l’an dernier sa première gamme de crème solaire, segment encore peu investi par le bio. L’adoption de modes de production vegan ou encore la mise en œuvre de filières d’approvisionnement locales figurent aussi parmi les initiatives des marques spécialisées.

En parallèle, on assiste au boom des DNVB, les digital native vertical brands, ces marques qui se développent à l’origine exclusivement sur Internet pour assurer leur promotion et leur distribution. Plusieurs facteurs expliquent l’ampleur de ce phénomène. La beauté est l’un des sujets les plus partagés sur les réseaux sociaux. La défiance des consommateurs est aussi propice à l’émergence de nouvelles marques qui peuvent se démarquer et revendiquer des valeurs fortes en faveur de la santé, de l’environnement ou encore du respect des animaux. Les plus relayées et suivies sur les réseaux sociaux suscitent alors rapidement l’intérêt des distributeurs, comme par exemple les parfumeries sélectives et les grands magasins. A titre d’exemple, la marque Respire, créée sur le web en 2016, est référencée depuis 2019 dans les boutiques Sephora et Monoprix.

La grande distribution, bientôt premier circuit

Alors que la crise dans son ensemble a plombé les ventes de produits de beauté (fermeture du circuit sélectif durant les confinements, simplification des routines de beauté…), les ventes de produits bio ont notamment pu compter sur le maintien de l’activité des magasins bio, des GMS ou encore des pharmacies (ses principaux circuits de distribution). Alors que le taux de pénétration du e-commerce sur le marché de l’hygiène-beauté était resté limité, les ventes en ligne d’hygiène-beauté des grandes surfaces alimentaires (GSA) et du circuit sélectif ont respectivement bondi de 28 % et 52 % en valeur l’an dernier. Et, sur moyenne période, les vendeurs spécialisés (magasins de cosmétiques bio, magasins bio généralistes, pharmacies et parapharmacies) ont à la fois favorisé l’émergence et tiré l’essentiel des fruits de la croissance des ventes de cosmétiques bio et naturels. Leur légitimité historique et la largeur de leur offre n’y sont bien sûr pas étrangères.

Désormais, les GSA sont en première ligne et comptent bien rattraper leur retard. Les GSA qui sont d’ailleurs le lieu d’achat qui recrute le plus grand nombre de nouveaux consommateurs. Et en effet, 45 % d’entre eux y ont effectué leur premier achat de cosmétique bio en 2020. Compte tenu de l’offensive des géants de l’industrie cosmétique sur le bio, la grande distribution dispose de solides atouts pour se hisser très prochainement au rang de premier circuit de distribution de cosmétiques bio et naturels : une offre accessible, la distribution exclusive de l’offre bio des géants de l’industrie cosmétique et le référencement des marques de certains laboratoires spécialisés dans le bio, à l’image de So’Bio Éthic ou Weleda.

Auteur de l’étude : Benoît Samarcq

Orlandi et PO Groupe propose un papier parfumé recyclable

site-industries-cosmetiques Orlandi et PO Groupe proposent un papier recyclable parfumé avec des fleurs et un flacon de parfum sur fond vert.

S’associer pour être plus fort, plus rapide et plus efficace dans le déploiement de ses politiques RSE, c’est la stratégie de durabilité mise en place par les deux PME Orlandi et PO Groupe. L’enjeu est de proposer à l’industrie du parfum des produits performants et respectueux de l’environnement en s’appuyant sur les savoir-faire de chacune.

Une alliance « gagnant-gagnant »

Aujourd’hui, l’ensemble de l’industrie parfum est mobilisée depuis la conception des formules jusqu’à la recyclabilité des packaging. « La petite taille de nos entreprises nous offre la possibilité d’être agile et donc rapide pour répondre à cet incontournable » déclarent les deux acteurs à l’unisson. « Nous n’avons pas les mêmes moyens à notre disposition que les grands groupes pour développer une stratégie RSE sur tous les fronts, il est donc primordial de s’allier pour mutualiser notre énergie, nos ressources et nos talents dans la recherche de solutions. »

L’entreprise PO Groupe détient une expertise technique pour réaliser surles supports papier ou carton, les techniques de finition par gaufrage,dorure, pelliculage, vernis, sérigraphie et découpe. Fière de son modèle artisanal, elle propose depuis 2012 une technologie innovante et une expertise technique d’impression et de parfumage de papier-carton destinée à la communication et au marketing olfactif. Une innovation caractérisée par une parfaite maîtrise des interactions entre le support, lesencres et le parfum. PO Groupe accompagne déjà certains projets de l’ensemble de la profession parmi les marques les plus prestigieuses qui apprécient sa créativité, son ingéniosité et son esprit d’innovation .

De son côté Orlandi possède un savoir-faire en matière d’échantillonnage parfumés ainsi qu’une réelle connaissance de la clientèle du secteur de la parfumerie et de la cosmétique et plus particulièrement du « luxe » qu’elle accompagne depuis plusieurs décennies dans ses stratégies de communication et de marketing olfactif sur tous les canaux de distribution.

« L’expertise en développement commercial et marketing d’Orlandi, couplée àla maîtrise des productions de PO Groupe nous permet de proposer àl’industrie parfumerie une solution de marketing olfactif capable d’accompagner leur politique RSE et de répondre au souhait des consommateurs » souligne Philippe Ughetto Senior VP d’Orlandi EMEA. 

« Nos solutions techniques ont été récemment évaluées recyclables par les clients et par le CEREC ( Comité d’Evaluation de la Recyclabilité des Emballages papier-Carton). De plus, PO dispose de 3 filiales de production en France pour la conception/fabrication et livraison de ses produits garantissant ainsi un circuit court et local made in France », précise Benoît Frassaint PDG de PO Groupe.

Cette initiative commune, qui accompagne les efforts et politiques RSE déjàmise en oeuvre par chaque partenaire , s’annonce comme un véritableaccélérateur, la promesse d’un levier de croissance et de durabilité. 

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