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[podcast 3/5] Luxe Pack 2021 : 3 interviews complémentaires d’exposants innovants

Nouvelle série d’épisodes pour l’émission Cosmétalks ! Nous nous sommes rendus sur le salon Luxe Pack à Monaco à la fin du mois de septembre et nous avons interrogé les exposants sur leurs stands pour qu’ils nous expliquent ce qu’ils venaient présenter au marché.

Pour ce troisième épisode de notre série de podcasts, rendez-vous avec Alpol Cosmétique qui s’inspire de la médecine traditionnelle et qui présente son cahier de tendances. Micro tendu aussi à Aptar qui a poursuivi sa croissance malgré le Covid. Et pour terminer, c’est Coverpla qui parvient à conjuguer sans peine standard et qualité.

Les interviews étant réalisées dans les allées, nous n’avons pu vous garantir un son “studio”, mais nous sommes sûrs que vous serez compréhensifs… 🙂

Un matériau biosourcé Sulapac pour les nouveaux bouchons des flacons Les eaux de Chanel

Tout a commencé par une envie. En 2018, Les eaux de Chanel a introduit un nouvel univers olfactif dans les parfums de la maison : une collection singulière, inspirée des lieux préférés de Mademoiselle Coco Chanel, nourrie par l’imaginaire et composée autour de la fraîcheur.

De manière cohérente, les flacons des parfums Les eaux de Chanel ont été conçus dans un souci de durabilité. Ses flacons en verre sont plus fins et plus légers1, ce qui signifie un plus petit volume de matières premières et un transport optimisé, et le carton ondulé habituellement caché a été transformé en un emballage extérieur propre et simple dont l’absence de pelliculage ou de revêtement brillant facilite le recyclage.

Depuis 2021, tous les flacons de 125 ml de la collection Les eaux de Chanel sont coiffés d’un bouchon biosourcé2, que Chanel a développé en partenariat avec Sulapac. Pendant deux ans, les équipes de Chanel ont travaillé main dans la main avec la startup finlandaise pour créer un bouchon inédit composé de trois couches, réalisé à partir de 91 % de matériaux biosourcés obtenus à partir de ressources renouvelables et de copeaux de bois certifiés3 FSC (sous-produits des flux secondaires industriels).

Conformément aux normes rigoureuses de la maison Chanel, chaque détail a été soigneusement étudié, notamment la nature sensorielle du matériau, sa résistance aux fluctuations de température, le son unique que le flacon émet lorsque le bouchon est mis en place, la prise en main et la profondeur de la finition mate satinée de la gravure iconique du double C. Pas moins de 48 essais ont été nécessaires pour parvenir au produit final. Ce projet s’inscrit dans une approche collaborative à long terme qui place la durabilité au centre de la recherche et du développement de Chanel.

Les normes de luxe montrent la voie

Sulapac a eu le plaisir d’accueillir Chanel, une marque leader représentant le segment du luxe le plus exigeant, parmi ses premiers investisseurs en 2018.

« Chanel est l’un des précurseurs de l’industrie du luxe, car ses équipents veulent investir dans les dernières innovations durables en matière de matériaux et de technologies. Nous avons établi une norme de très haute qualité pour notre matériau durable, avec l’ambition de remplacer les plastiques conventionnels », a déclaré Suvi Haimi, PDG et cofondateur de Sulapac, lors de l’annonce en 2018.

Aujourd’hui, Suvi Haimi déclare : « Ce premier lancement de produit de notre collaboration avec Chanel, le bouchon biosourcé Les eaux de Chanel fabriqué avec le matériau Sulapac, est une étape importante pour nous. Il prouve que Sulapac répond aux normes de qualité les plus élevées. »

1 Comparé aux autres Eaux de Toilette Chanel de même taille. 
2 Fabriqué à partir de matériaux d’origine végétale. 
3 Bois provenant de forêts gérées de manière responsable certifiées FSC et d’autres sources co
ntrôlées. 

[podcast 2/5] Luxe Pack 2021 : 3 nouvelles interviews d’exposants innovants

Nouvelle série d’épisodes pour l’émission Cosmétalks ! Nous nous sommes rendus sur le salon Luxe Pack à Monaco à la fin du mois de septembre et nous avons interrogé les exposants sur leurs stands pour qu’ils nous expliquent ce qu’ils venaient présenter au marché.

Pour ce deuxième épisode de notre série de podcasts, rendez-vous avec Procos qui passe le carton en premium, Stoelzle Masnières qui mise sur une approche globale du cycle du verre et de sa décoration pour limiter les impacts environnementaux, et Faiveley Plast qui présente un flacon rechargeable et connecté.

Les interviews étant réalisées dans les allées, nous n’avons pu vous garantir un son “studio”, mais nous sommes sûrs que vous serez compréhensifs… 🙂

Un flacon recharge inédit

Il existe peu de flacon recharge sur le marché. Créé par la société Pinard Beauty Pack, fabricant de flacons qui a récemment reçu une médaille Platinium EcoVadis, le Pin Pack se positionne au niveau expérience consommateur entre le Doypack et le Berlingot, tout en offrant un emballage 100 % recyclable.

La genèse du Pin Pack : mettre en avant un savoir-faire industriel unique en offrant la possibilité de créer des flacons aux parois ultra fines, démontrant la force principale du plastique : son rapport poids/résistance.

« Tout le cycle de vie du Pin Pack a été pensé et conçu pour minimiser son impact environnemental. Ce produit devait avoir un design fort et singulier afin de mettre en avant toutes ses qualités d’éco-conception », indique-t-on au sein de l’entreprise.

La forme du Pin Pack est avant tout le choix d’un design optimisé au style industriel et moderne qui met en avant la fonctionnalité du produit.

Son design unique le différencie des autres produits du marché. Il est en rupture avec les flacons cosmétiques traditionnels, mais suffisamment reconnaissable pour promouvoir sa fonctionnalité de recharge auprès du consommateur.

[podcast 1/5] Luxe Pack 2021 : les exposants présentent leurs innovations

Nouvelle série d’épisodes pour l’émission Cosmétalks ! Nous nous sommes rendus sur le salon Luxe Pack à Monaco à la fin du mois de septembre et nous avons interrogé les exposants sur leurs stands pour qu’ils nous expliquent ce qu’ils venaient présenter au marché.

Pour ce premier épisode de la série, rendez-vous avec Technature sur la partie « Luxe formulation » et avec Quadpack, Verpack et Texen dans la partie classique « Luxe Pack ». L’innovation ici passe par les poudres, par un nouveau standard airless, par des coffrets monomatériau ou par des propositions toujours plus green

Les interviews étant réalisées dans les allées, nous n’avons pu vous garantir un son “studio”, mais nous sommes sûrs que vous serez compréhensifs… 🙂

Plant Advanced Technologies PAT participe au projet européen de recherche InnCoCells

Plant Advanced Technologies PAT, société de biotechnologie végétale en Lorraine, annonce sa participation au projet InnCoCells, lancé officiellement en mai 2021 et coordonné par le VTT (VTT Technical Research Centre of Finland Ltd). Ce projet ambitionne de révolutionner la façon de découvrir, développer et produire des ingrédients cosmétiques validés scientifiquement.

Un projet d’envergure européenne

InnCoCells est un projet de recherche collaborative d’une durée de quatre années, et qui rassemble des compétences et expertises variées de 17 partenaires répartis sur 11 pays en Europe, composés d’instituts académiques, PME et partenaires industriels, ONG et organisations sectorielles telle que la Cosmetic Valley. La recherche est financée par la Commission européenne, avec un budget total de 7,9 millions d’euros. La participation de PAT est financée à hauteur de 750 k€ pour toute la durée du projet.

Les expertises du groupe PAT au service d’ingrédients cosmétiques durables

La société PAT va mettre ses expertises en matière de culture aéroponique, production d’extraits et phytochimie au profit de développement de nouveaux ingrédients cosmétiques pensés de manière durable.

Sa filiale Straticell, spécialisée dans la prestation de services d’études d’efficacité in vitro pour les produits de soins cutanés, sera également partie prenante de ce projet.

Répondre aux besoins et enjeux d’une cosmétique durable

Le projet InnCoCells s’inscrit dans le cadre d’Horizon 2020, un programme de financement européen qui cherche à développer la compétitivité de l’Europe en recherche et innovation.

Le projet collaboratif vise à utiliser des procédés de production innovants à base de plantes qui répondront à des exigences fortes en matière de protection de l’environnement et d’économie des ressources.

Les plantes sélectionnées pour les travaux, actuellement menacées de surexploitation, seront cultivées de manière durable et rentable afin de garantir que les nouveaux ingrédients ne présentent aucun risque pour la biodiversité.

Ce projet devra permettre une exploitation commerciale d’ingrédients cosmétiques validés par une approche scientifique, en utilisant des techniques de cultures variées selon les expertises de chaque partenaire, telles que les biotechnologies végétales, les procédés industriels économes et la connaissance des plantes dans le cas de PAT.

Le projet explore une approche tournée vers les consommateurs responsables afin de développer des ingrédients cosmétiques adaptés au marché et en résonance avec les aspirations de préservation de l’environnement.

Rester à la pointe en matière d’innovation

Pour Frédéric Bourgaud, directeur général délégué à la recherche : « Nous sommes ravis de prendre part au projet InnCoCells qui s’annonce ambitieux et riche d’innovations. Ce type de projet est un excellent moyen de dialoguer avec des laboratoires de pointe en Europe (VTT, Vib, List, Enea, TUDA, ILVO etc.) et de permettre à nos personnels de recherche de participer aux dernières avancées dans leurs domaines. »

Un airless rechargeable

Lablabo à développé un airless rechargeable. L’entreprise française, spécialiste de l’airless à poche, a présenté son innovation Baïa Refill lors du salon Luxe Pack 2021.

Baïa Refill allie design et élégance avec son corps en verre décliné en deux formats de 30 ml et 50 ml. 

Ce pack airless est rechargeable avec une poche PE ou Aluminium allant de 15 ml à 50 ml.

Doté d’une pompe de 0,25 ml ou 0,5 ml Baia Refill est compatible avec les crèmes très visqueuses mais aussi les liquides.

Il est également personnalisable avec de la sérigraphie et peut aussi être laqué ou dépoli.

Baïa Refill peut aisément se recharger cinq fois, ce qui permet de réduire jusqu’à 80 % la part plastique et est 100 % recyclable.

Très simple d’utilisation, ce pack airless ne nécessite pas de machines particulières pour son conditionnement.

Morgane Jouot, directrice générale France de La Prairie

Morgane jouot, 43 ans, est nommée directrice générale France de La Prairie, maison suisse de soins cosmétiques de luxe. Rattachée à Laurent Marteau, VP EMEA & Americas, elle a pris ses fonctions le 1 juillet 2021.

Morgane Jouot a déclaré : « Je suis très honorée de cette nomination et heureuse de pouvoir compter sur des équipes engagées pour continuer le déploiement de la stratégie de la maison La Prairie sur le marché français. »

Diplômée de Neoma Business School à Reims en 2000 et après une première expérience au sein du groupe de cosmétiques Johnson&Johnson, Morgane Jouot intègre le groupe Beiersdorf en 2004 où elle occupe différentes fonctions marketing & commerciales pour les marques Nivea, Labello et Florena. En 2012, elle devient directrice marketing-communication France & Benelux. À la tête d’une équipe de cinquante personnes, elle a su développer la stratégie, mettre en place des initiatives-pilotes telles que la ligne de beauté verte Naturally Good et mener la transformation digitale de ces marques sur son secteur.

« Forte d’une expérience de plus de vingt ans sur le marché du soin et des cosmétiques, Morgane Jouot est une leader axée sur la performance et une manager chevronnée. Elle saura apporter sa connaissance pointue du marché français et son expertise de la beauté dans un univers multicanal pour déployer la stratégie d’excellence « Luxury Execution » de la Maison La Prairie », indique-t-on au sein de l’entreprise.

Le CNRS se mobilise pour accompagner la filière Parfumerie-Cosmétique

Avec un chiffre d’affaires de 25 milliards d’euros, 25 % des parts de marché mondial et 170 000 salariés1, la filière Parfumerie-Cosmétique occupe, sans nul doute, la place de numéro 1 mondial. Ce marché, en pleine croissance et propice à l’innovation a aujourd’hui des besoins qui vont bien au-delà de la chimie, besoins pour lesquels le CNRS se propose de répondre.

Les enjeux de la filière Parfumerie-Cosmétique et le CNRS

Même si la formulation des produits cosmétiques reste au cœur des attentes des consommateurs (efficacité, confort…), ils recherchent de plus en plus des formules saines, naturelles et personnalisées et attendent des marques cosmétiques qu’elles s’engagent en faveur de l’environnement.

Pour répondre à toutes ces attentes, la filière Parfumerie-Cosmétique s’est fixée les défis de demain :

  • L’eBeauty afin de concevoir des outils de mesure connectés, des cosmétiques personnalisés voire adaptés aux besoins évolutifs de la peau
  • Le mouvement Blue Beauty cherchant à réduire l’empreinte environnementale par la conception d’emballages et de produits solides, en poudre formulés sans eau ou encore pour utiliser des encres d’origine végétale
  • La naturalité pour penser les produits Bio et naturels du futur ou lancer des programmes durables de culture de plantes par exemple
  • La sécurité, la qualité et la traçabilité…

Afin d’accompagner la filière parfumerie-cosmétique, les chercheurs et entreprises doivent travailler main dans la main. Dans tous ces domaines, le CNRS, travaillant déjà avec un grand nombre d’entreprises de la cosmétique française, est fortement mobilisé et force d’innovation car les enjeux cosmétiques du futur sont aussi des défis scientifiques y compris dans la recherche fondamentale. L’eBeauty par exemple, fait appel à des domaines de recherche comme ceux de la science des données, de l’intelligence artificielle, de la robotisation… Le mouvement Blue Beauty, lui, appelle un travail novateur sur la science des matériaux pour concevoir les nouveaux emballages et contenants de demain.

En complément des recherches effectuées par ses laboratoires, le CNRS propose des services aux entreprises notamment de la cosmétique…

CNRS Formation Entreprises : l’organisme de formation continue du CNRS

Pour préparer son catalogue 2022, CNRS Formation Entreprises, l’organisme de formation continue du CNRS depuis 1987, s’est penché sur les besoins des filières industrielles (tout comme des entreprises : TPE, PME, ETI et grands groupes) car c’est une réelle volonté du CNRS et notamment de sa Direction des Relations avec les Entreprises de croiser les connaissances disponibles au sein de ses laboratoires avec les enjeux de recherches des différentes filières industrielles.

Pour la filière Parfumerie-Cosmétique, l’organisme propose 5 formations phares :

Aussi, CNRS Formation Entreprises, peut organiser des formations sur-mesure, dites intra-entreprise pour mieux s’adapter aux besoins des entreprises. Cette solution est particulièrement intéressante lorsqu’une entreprise doit faire monter en compétences toute une (nouvelle) équipe ou des collaborateurs venant de différents services mais devant travailler sur le même projet. Il n’y a pas de limite sur le sujet à étudier car le CNRS dispose de 1100 laboratoires et 90 000 acteurs de la recherche dans tous les domaines possibles.

Trouver un Expert, le service de mise en relation entre les entreprises et les experts du CNRS

Créé en 2020, le service Trouver un Expert a déjà aidé des associations et grands groupes de la cosmétique française. Son rôle ? Identifier et mettre en relation acteurs du monde économique qui en font la demande avec l’expert, l’équipe ou le laboratoire du CNRS ayant les savoirs et les savoir-faire pour les aider dans leur réflexion, idée ou projet.

La demande peut par exemple concerner un état de l’art, la recherche de connaissances et compétences dans un domaine (qui parfois, n’est pas celui auquel le demandeur pense !), un besoin de caractérisation, de lever un verrou technologique, de faire valider une idée innovante d’un point de vue technique et technologique…

Véritable porte d’entrée vers les laboratoires du CNRS, le concept du service est simple : vous déposez votre demande simplement en remplissant un formulaire sur trouverunexpert.cnrs.fr, l’équipe vous recontacte pour échanger sur le projet, le préciser si besoin et se met à rechercher l’expert le plus à même de répondre à la demande. En deux ou trois semaines, vous aurez trouvé votre « perle » !

La stratégie de Filières Industrielles DRE

Dans le cadre de son contrat d’objectifs et de performance 2019-2023, le CNRS a confirmé sa volonté d’accorder une place de plus en plus importante aux relations avec le monde économique et a mis en place une stratégie d’approche des filières industrielles françaises, dont celle de la Parfumerie-Cosmétique. Le CNRS est ainsi en mesure de co-construire, avec les acteurs concernés, des feuilles de route communes de recherche qui servent de base pour identifier, proposer et conduire des projets précompétitifs en relation avec la filière mais aussi pour développer des relations bilatérales ou multilatérales avec les entreprises du secteur. Grâce aux compétences et savoir-faire de ses laboratoires, le CNRS propose des technologies d’innovation et de rupture essentielles pour conquérir ou reconquérir des parts de marché. Sous la responsabilité d’un binôme Référent Scientifique (Prof. Richard Daniellou, Chargé de mission Cosmétiques et Directeur du Groupement Cosm’actifs) – Responsable de coopération industrielle (Marie Côte, PhD) , ce service a pour mission d’être à l’écoute de la filière, de connaître les enjeux sur toute la chaîne de valeur et de traduire ceux-ci en besoins de recherche dans une dynamique de développement des partenariats, bénéficiant de la richesse transdisciplinaire qu’offre l’établissement.


Venez les rencontrer lors du Salon Cosmetic360 les 13 et 14 octobre prochains ! Ou contactez-nous à l’adresse contact-filiè[email protected] 

Pour en savoir plus sur CNRS Formation Entreprises : https://cnrsformation.cnrs.fr

Pour en savoir plus sur Trouver un Expert du CNRS : https://trouverunexpert.cnrs.fr

Pour en savoir plus sur la Direction des relations avec les entreprises du CNRS : https://entreprise.cnrs.fr 

1. https://www.bpifrance.fr/nos-actualites/la-filiere-cosmetique-une-industrie-au-parfum#:~:text=Avec%20un%20chiffre%20d’affaires,ne%20cesse%20de%20se%20d%C3%A9velopper%20

Compléments nutritionnels beauté : une usine dans l’Allier

Passionnée de cosmétiques et de nouvelles tendances, Fleur Phelipeau, créatrice de la marque de compléments alimentaires D-Lab Nutricosmétics, fonde D-Lab en 2019. L’entreprise développe et distribue des compléments nutritionnels beauté sous forme de programmes ou à l’unité. 

En 2021, place à l’usine D-Lab. « C’est avant tout une histoire d’envie. Une passion depuis l’enfance pour l’industrie. Les yeux grands ouverts quand mon père m’emmenait dans les usines de boissons et d’embouteillage de Vichy Célestins. J’ai toujours trouvé ce monde fantastique ! », indique la fondatrice.

Une usine 100% greentech Made in France

C’est pour aller encore plus loin dans la vision et les valeurs chères à l’entrepreneuse de 35 ans que le projet de l’usine est né. Il s’agit d’un espace de 2 600 m2 situé en France desrtiné à produire des compléments alimentaires avec 100% d’ingrédients issus de la Green Tech choisis pour leur naturalité et leur biodisponibilité. 

Et puisque Vichy et le Made in France font partie de l’ADN de D-Lab, c’est au cœur du Naturopôle de St-Bonnet de Rochefort, dans l’Allier, que l’usine s’implante.

Un espace dédié à la production de compléments alimentaire

7440 m2 de terrain et un bâtiment de 2610 m2 réuniront toutes les étapes du développement de compléments alimentaires : du stockage à la production en passant par le conditionnement, l’assemblage, les laboratoires et les bureaux. Cela représente un investissement de 3,5 millions d’euros pour créer l’usine de demain. 

Passer d’acteur à filière

L’usine D-Lab Industry est conçue pour avoir le moins d’impact négatif possible sur l’environnement. Utilisation des eaux de pluies pour l’arrosage, isolation eco-friendly, panneaux solaires pour viser l’auto-suffisance énergétique, optimisation des transports, politique zéro déchet… Le chantier de construction est lui-même labellisé à faible impact environnemental, pour une démarche 100 % cohérente. Avec une ambition : passer d’acteur à filière. « Nous ne voulons pas seulement produire nos propres compléments alimentaires pour une question de facilité ou de coût, nous souhaitons produire pour des acteurs qui partagent les mêmes valeurs que nous : le clean, le naturel, le local, la bienveillance et l’éthique », souligne Fleur Phelipeau.

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