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Concept éditorial

Industrie cosmétique - L'Oréal

Industries Cosmétiques est devenue la nouvelle publication de référence dans les domaines de la conception, de l’élaboration, de la production et de l’emballage en parfumerie cosmétique.
La revue s’adresse à tous ces professionnels qui travaillent dans les laboratoires de R&D ou dans les centres de production.

Industries Cosmétiques est une revue trimestrielle (en français) et un hors-série international (en anglais) chaque année.

Industries Cosmétiques c’est :
• une publication ancrée dans une industrie en mouvement aux opportunités nombreuses,
• une exploration du monde des fournisseurs des industries cosmétiques,
• la veille technologique du secteur, des partenariats exclusifs avec les incontournables du secteur (syndicats professionnels, sociétés savantes…),
• des rubriques claires et concises,
• l’image de marque, le sérieux et le professionalisme de l’équipe de Contrôles Essais Mesures.

Industries Cosmétiques c’est à chaque numéro :
• les actualités produits et marchés,
• une plongée au coeur de l’innovation,
• la rencontre avec une personnalité,
• un dossier pour faire le point sur un sujet transversal (ingrédients, formulation, packaging, innovation technologique…),
• nos avis d’experts pour assurer un transfert de connaissances (réglementation, technologies, cosmétologie, histoire des cosmétiques, etc.)
• des outils pratiques.

Pour consulter un numéro découverte, cliquez ici

« La filière cosmétique est solidaire des entreprises du secteur verrier »

site-industries-cosmetiques Une femme en blazer bleu les bras croisés fait partie de l'industrie cosmétique solidaire en collaboration avec des entreprises du secteur du verre.

 À l’occasion de la visite que la Ministre déléguée auprès du Ministre de l’Economie, des Finances et de la Relance, chargée de l’Industrie, Mme Agnès Pannier-Runacher, effectuait, ce matin, en Eure-et-Loir, auprès de plusieurs des adhérents du Pôle de Compétitivité (Guerlain, Expanscience, Alban Muller) et de startups de son accélérateur national Beauty Hub (La Bouche Rouge, 900.care, CocoriCosmetic, DWS, Bio Inspir, Abomey Labs…) Cosmetic Valley et la Fédération des Entreprises de la Beauté (FEBEA) lui ont remis une déclaration rappelant que « Les entreprises du secteur cosmétique sont solidaires du secteur verrier ». 

Ce texte, issu d’un travail commun, est signé de la plupart des grands acteurs du marché : Biologique Recherche, Chanel, Clarins, Coty, Guerlain, Hermès, Kenzo Parfums, Interparfums, L’Oréal, Parfums Christian Dior, Parfums Givenchy, Puig, Shiseido, Sisley, Sarbec et Sothys. Ce rassemblement inédit souligne l’importance et l’urgence que soit préservée, dans chacune de ses composantes, l’industrie cosmétique française, et particulièrement sa branche parfumerie. Fondée sur le « Fabriqué en France » et occupant 246.000 salariés, cet écosystème unique génère le deuxième excédent commercial de notre pays. Véritable tissu industriel, il relie tous les maillons de sa chaîne de valeur, depuis la production des ingrédients et les centres de recherche jusqu’à la distribution des produits finis, en passant par le développement et la fabrication des articles de conditionnement. L’industrie verrière, dont les signataires soulignent la qualité des produits, l’excellence des savoir-faire et les capacités des usines situées dans l’Hexagone et en Europe, en fait partie intégrante. 

Dans la période actuelle, marquée par la crise sanitaire et ses conséquences économiques, les signataires de la déclaration souhaitent, dans le prolongement des efforts qu’ils ont déjà mis en oeuvre depuis plusieurs mois et dans le respect des règles de concurrence, optimiser autant que possible les délais de paiement ou éviter les stocks non appelés au bénéfice des entreprises verrières. Ils confirment vouloir, pour faire face aux effets économiques et sociaux de la pandémie, privilégier les acteurs français dans leurs approvisionnements, maintenir la qualité et l’ampleur de leurs coopérations avec l’industrie verrière française et faciliter la trésorerie des sociétés qui la composent. 

Les signataires rappellent également d’une part l’importance que les fournisseurs verriers favorisent l’innovation durable, en particulier par la mobilisation des moyens du Plan de Relance et, d’autre part, que les pouvoirs publics, pour accompagner l’amélioration de la compétitivité du site France, confortent une filière stratégique pour l’économie française, en mettant à sa disposition les outils, marque collective à l’internationale et comité de filière, indispensables à son développement face à une concurrence étrangère de plus en plus exacerbée. 

« Dans le secteur cosmétique, fleuron de l’industrie de notre pays et champion du « Fabriqué en France », il est essentiel que soit préservé le tissu industriel qui en fait l’originalité et la force. Je salue les entreprises qui, dans une période difficile, ont fait le choix de la solidarité par cette déclaration en pariant sur le temps long, en préservant un écosystème performant et en permettant ainsi la réussite des transitions économiques et écologiques en cours. Je réunirai prochainement un comité de filière avec les acteurs du marché pour concrétiser ces avancées», a déclaré Agnès PANNIER-RUNACHER, ministre déléguée auprès du ministre de l’Economie, des Finances et de la Relance, chargée de l’Industrie. 

« La signature d’une telle déclaration est inédite. Ce texte qui manifeste la solidarité de notre industrie avec le secteur verrier est, à la hauteur de l’importance, pas toujours suffisamment soulignée, que joue, en termes d’emploi et de croissance, notre secteur dans l’économie française. Il témoigne d’une véritable coopération entre donneurs d’ordre et fournisseurs verriers. Il exprime aussi une demande raisonnable : celle que, chacun, pouvoirs publics compris, assumant ses responsabilités, l’écosystème cosmétique, second excédent commercial de la France, puisse obtenir les moyens de conserver sa compétitivité et son leadership mondial » a souligné Marc-Antoine JAMET, président du pôle de compétitivité Cosmetic Valley. 

« En exprimant sa solidarité avec le secteur verrier, le secteur cosmétique démontre une nouvelle fois son rôle moteur dans la préservation et le développement d’un tissu industriel d’excellence et la défense du « fabriqué en France ». Cette mobilisation doit se poursuivre et se prolonger à travers un comité stratégique de filière qui permettra à la cosmétique française de relever les défis de la relance, au coeur desquels celui de la transition écologique, pour consolider son rôle de leader mondial », a ajouté Patrick O’Quin, président de la FEBEA. 

Exsymol dévoile sa politique RSE en vidéo

site-industries-cosmetiques Les yeux d'une femme sortant d'une feuille dans la vidéo d'Exsymol dévoilant sa politique RSE.

Certifiée Gold par Ecovadis depuis sa première évaluation en 2017, Exsymol poursuit dans sa lancée en atteignant dès 2019 les objectifs qu’elle s’était fixés pour 2022 en terme de politique de développement durable. Produire en Principauté de Monaco, c’est surmonter des contraintes de place, d’organisation logistique et de promiscuité. Le peu d’espaces et de ressources ont induit Exsymol à se développer de manière responsable dès sa création en 1972. La conception d’actifs est réalisée depuis toujours sur site, impliquant l’anticipation des 12 principes de la chimie verte, et l’utilisation de procédés sécurisés.

L’attachement des collaborateurs au projet d’entreprise en matière de RSE est indéniable : des exemples forts sont par exemple la participation chaque année à la NoFinishLine, évènement sportif créé à Monaco, permettant de récolter des fonds pour des associations caritatives, mais également  au projet SERD (Semaine Européenne de réduction des déchets), qui a rencontré un franc succès cette année.

Une journée de congé supplémentaire a d’ailleurs été créée afin de récompenser les salariés pour leur investissement dans la politique RSE globale.

Aujourd’hui, ce sont les collaborateurs qui présentent le déploiement de la politique RSE à Exsymol dans une vidéo à retrouver.

Les équipes communication et RSE se sont associées afin de concrétiser ce projet apportant une vision en toute transparence de la politique durable d’Exsymol.

Ressources :

Tendances de la beauté à surveiller à 2021 par Quadpack

site-industries-cosmetiques Tendances de la beauté à surveiller en 2021 par Quadpack.

Le secteur de la cosmétique sera conditionné par les nouveaux comportements et attentes des consommateurs, selon le fabricant et distributeur d’emballages de produits de beauté Quadpack.
2020 a été une année pleine de défis, et les entreprises ont mis à l’épreuve leur résilience, leur innovation et leur agilité. Le bouleversement du quotidien dû à l’épidémie de COVID-19 a marqué les comportements et les attentes, et 2021 commence sur une note d’incertitude pour de nombreuses entreprises de cosmétiques, bien que des tendances se dessinent déjà. Alors que le Nouvel An se rapproche, Quadpack propose une petite sélection :

Expériences virtuelles : Les magasins physiques sont temporairement passés au second plan, mais les transactions en ligne ont explosé. Les filtres disponibles sur les réseaux sociaux pour les marques, l’essayage virtuel et les vitrines en ligne ne sont que quelques exemples de la numérisation du secteur de la beauté.
Formules propres et durables : Le souci de l’hygiène se décrispe, mais laissera sa marque, et les gens continueront de se laver les mains et le corps, sans faire de mal à la planète. Plus que jamais, les consommateurs examinent minutieusement les formules et les ingrédients.
Bien-être personnel et réconfort : Les ventes de soins pour la peau, les cheveux et le bain ont connu de bonnes performances en 2020, selon un rapport de McKinsey. Les « soins à la maison » sont une tendance importante, illustrée par la montée des ventes de bougies, savons et produits d’aromathérapie.
Produits « à appliquer soi-même » : Les salons étant fermés, ou considérés « à risque » par certains consommateurs, les produits de coloration capillaire, d’épilation et de manucure « à appliquer soi-même » gagnent en popularité.
Packs familiaux : Mintel indique que les comportements de dépense incitent les marques de la beauté et des soins personnels à adapter leur stratégie de prix dans les régions les plus touchées par la crise en explorant des options telles que les packs familiaux.
Renaissance du maquillage : Selon un rapport de NPD, 80 % des femmes disent qu’elles reprendront leurs habitudes de maquillage après le confinement. Il y a un vrai désir de revenir aux pratiques de beauté d’avant.

Parfums Virevolte, un flacon en 4 décors signé Coverpla

site-industries-cosmetiques Un flacon de parfum signé en 4 designs par Coverpla, Parfums Virevolte, posé sur une table à côté d'une fleur rose.

Dans une veine éthique et responsable, le parfum Virevolte se décline en 4 fragrances comme autant d’hommages à la femme multiple. Pour ce lancement, Coverpla a développé son flacon Antarès décliné en 4 décors.
Vert désert, Rose métamorphose, Noir délit, Orée Dorée sont les quatre effluves d’une ode à la femme multiple. Tantôt sage ou fatale, tantôt rangée ou effrontée, polaire ou solaire, la femme virevolte au gré de la journée et tout au long de sa vie.
Dans cette aventure, Coverpla a joué le jeu créatif de la marque en personnalisant un flacon standard de fabrication italienne.

Envies de naturel

La créatrice Julie Desoomer a choisi le flacon Antarès de la gamme by Coverpla en format 50 ml pour l’élégance de ses rondeurs et la pureté de ses lignes. Ce choix conforte une envie de proposer aux femmes un parfum naturel, 100 % éco-conçu et fabriqué localement.
Côté design, Coverpla a mené dans ses ateliers de Nice, un gros travail de décor réalisé en sérigraphie avec deux passes d’encre et d’émail.
Fabriqué et emballé en Provence, ce parfum en 4 actes revendique le mariage entre naturalité et sensorialité.

 

 

 

Cosfibel innove autour de la collection Noël d’Yves Saint Laurent

site-industries-cosmetiques Coffret de rouges à lèvres Yves Saint Laurent au packaging innovant par Cosfibel pour la collection de Noël.

Pour la nouvelle ligne Dress Me Wild d’Yves Saint Laurent, les coffrets de Noël ajoutent à l’ultra luxe, un design original. Partenaire de la marque Cosfibel, a mis en scène ces deux créations, sur un mode écoresponsable.

Un coffret durable,

La magie du calendrier de l’avent s’égrène au fil de luxueuses découvertes : miniatures parfum, soin, maquillage. Ce coffret est construit sur la base d’une carcasse en carton épais. Il est rembordé du papier sérigraphié et pailleté choisi, puis sobrement noir mat à l’intérieur. Les deux portes aimantées se rejoignent sous le Cassandre YSL, une découpe carton recouverte d’un papier polyester or appliqué à la main. A l’intérieur, chaque tiroir est habillé à la main. Les décors diffèrent entre motifs imprimés ou aplats noirs, numéros de tailles diverses en marquage à chaud or. S’ajoute un choix de stickers à coller par le co-packer.
Chaque coffret est livré dans un fourreau en carton noir teinté masse dont une généreuse fenêtre révèle le Cassandre au centre.

 La Bouche

Pour cette création, la marque souhaitait là aussi trouver le meilleur compromis entre un produit de luxe et une approche responsable aboutie. Destinée à recevoir une sélection de minis rouges à lèvres Pure Couture, cette boîte est une base carton habillée à la main du papier sérigraphié de paillettes rouges. A l’intérieur, la cale carton sur mesure est recouverte du même papier décoré, un développement exigeant qui a demandé de multiples ajustements. Cette cale est une signature de Cosfibel qui relève le challenge d’une forme à découpe ajustée au millimètre. Celle-ci garantit aux produits, le maintien et la résistance d’une cale plastique.

Nouvel actif capillaire anti-pollution 100 % d’origine végétale

site-industries-cosmetiques Une baie rouge sur une branche aux feuilles vertes, aux propriétés anti-pollution 100% végétales.

Berkem Extraction présentera sur in-cosmetics son nouvel actif anti-pollution : Urban’Hair

Aujourd’hui, plus de neuf personnes sur dix vivent dans une atmosphère polluée. Cette pollution est un véritable fléau invisible qui s’attaque aux organismes. La peau, les cheveux ainsi que le cuir chevelu sont particulièrement exposés, notamment lors des déplacements urbains.

Fort de son expertise en extraction végétale, Berkem a développé un extrait objectivé issu de feuilles de framboisier, Urban’Hair. Ce nouvel actif, issu d’une agriculture raisonnée, permet de lutter contre la fixation des particules de pollution sur les cheveux. Son action aide également à apaiser le cuir chevelu, qui peut être irrité par la pollution. Le cheveu est plus brillant et moins cassant, le cuir chevelu est apaisé.

À utiliser entre 1 et 3 % dans des formulations de produits capillaires (cheveux, barbes, poils…)

www.berkem.fr

La FEBEA conteste la méthodologie de 60 Millions de Consommateurs

site-industries-cosmetiques La couverture du magazine présente des produits cosmétiques.

La FEBEA regrette la méthodologie une nouvelle fois approximative et anxiogène déployée par 60 Millions de consommateurs dans son dernier Hors-Série consacré aux cosmétiques.

La Fédération des Entreprises de la Beauté (FEBEA), qui représente les entreprises cosmétiques, souhaite réagir au Hors-Série consacré aux produits cosmétiques publié par 60 Millions de consommateurs qui prétend pouvoir lister les plus « sûrs » d’entre eux.
Pour le président de la FEBEA Patrick O’Quin : « Il est parfaitement légitime que les associations de consommateurs souhaitent décrypter et/ou tester les produits de grande consommation, comme les produits cosmétiques. En revanche, une fois de plus, l’objectif ici n’est pas tant d’informer que d’inquiéter le consommateur avec des notations peu lisibles et très anxiogènes. Par ailleurs, à aucun moment l’efficacité d’un produit n’est prise en compte. Cela ne me parait pas être la bonne méthode. »

● La réglementation la plus sûre au monde

L’article indique notamment que « moins d’un tiers de produits sans toxiques, c’est toutefois trop peu », impliquant que les deux tiers des produits testés contiendraient des ingrédients « toxiques ». A cet égard, la FEBEA rappelle que tous les produits cosmétiques vendus en France respectent la réglementation cosmétique européenne, qui est la plus stricte au monde. L’ensemble des substances montrées du doigt par 60 Millions de consommateurs sont donc autorisées par la réglementation et par les autorités sanitaires, qui les réévaluent régulièrement, a fortiori lorsque leur innocuité est potentiellement remise en cause, comme le reconnaît d’ailleurs le magazine lui-même.

● Une méthodologie approximative qui ne permet pas vraiment de tirer des conclusions pertinentes

Le hors-série publié par 60 Millions de consommateurs reconnaît lui-même plusieurs limites à son exercice: « pour évaluer le risque d’utilisation d’un cosmétique, il faudrait connaître la concentration exacte des substances qui le compose. Or la liste des ingrédients ne donne que leur nature, en les classant par ordre décroissant de concentration. Cela nécessiterait en outre de tenir compte de l’exposition au cosmétique évalué, mais aussi aux autres produits de consommation (produits d’entretien, vêtements, aliments) contenant les mêmes substances. ». Difficile d’évaluer précisément l’impact d’une substance dans ces conditions…

De même, le magazine limite parfois lui-même la portée de sa critique, par exemple à propos des allergènes : « même si leur présence dans un cosmétique n’induit pas que le consommateur va forcément développer une allergie. Environ 3 % de la population serait sensible aux allergènes de parfum. » Est-il donc pertinent de qualifier de « toxiques » des produits qui ne présenteraient des inconvénients que pour les personnes allergiques, sensibilisées et donc vigilantes sur la composition des produits qu’elles utilisent ?

Les entreprises cosmétiques mobilisées pour une plus grande transparence

Afin de répondre au besoin légitime de transparence des consommateurs sur les produits cosmétiques, la FEBEA a lancé mi-novembre une application, CLAIRE, permettant d’en décrypter les ingrédients.
Développée avec la Société Française de Cosmétologie, CLAIRE propose des informations sur plus de 25000 ingrédients présents dans les produits cosmétiques. Destinée en priorité aux professionnels du secteur (comme les conseillères de ventes), elle est également proposée aux consommateurs, pour leur permettre d’effectuer un choix libre et éclairé. Plus d’informations sur CLAIRE

Patrick O’Quin conclut : « Les entreprises cosmétiques sont dans la recherche permanente de l’amélioration de leurs formulations pour garantir à la fois l’efficacité et l’innocuité de leurs produits. Elles s’inscrivent par ailleurs dans une démarche de transparence pour permettre à leurs consommateurs de choisir leurs produits en connaissance de cause. Enfin, elles reposent sur une réglementation stricte, édictée et contrôlée par les autorités de santé françaises et européennes, auxquelles il est essentiel de faire confiance. »

[podcast] Corpo35 Perfume Awards : les lauréats sont connus (1/3)

Graphiques vectoriels - Illustration

Dans ce nouvel épisode, place aux lauréats !

Les prix ont été remis dernièrement et les créations ont été célébrées.

Rencontre avec l’ensemble des lauréats, des partenaires et des organisateurs dans une série de trois épisodes. Le premier vous attend !

Tous nos podcasts sont disponibles sur les principales plateformes de téléchargement et directement sur notre site..

Obvious, un nouveau concept de luxe durable

site-industries-cosmetiques Un flacon de parfum avec un bouchon en liège, incarnant un nouveau concept de luxe évident et durable.

Le label de parfumerie de niche Différentes Latitudes lance une nouvelle gamme écoresponsable avec un capot en liège du fabricant et distributeur d’emballages de produits de beauté Quadpack.
Le parfumeur français David Frossard eut une révélation lors d’un voyage en Inde il y a quelques années. Lassé de la ville, il prit un rickshaw pour aller à la plage et profiter de la nature, mais fut déçu lorsqu’il atteignit le bord de mer, couvert de plastique et de déchets. « Il devint évident pour moi que, si mon métier était de créer de superbes parfums haut de gamme, leur impact sur la nature devait être aussi réduit que possible, » se souvient-il.
Obvious est le nouveau lancement de Différentes Latitudes, le label de parfumerie de niche de Frossard, qui s’aventure sur le terrain prometteur des parfums de luxe. Lancée en novembre après une campagne de financement participatif couronnée de succès, la gamme Obvious propose sept parfums. Des ingrédients jusqu’au packaging extérieur, tout a été méticuleusement conçu pour éviter les déchets : la formule avec de l’alcool bio et biodégradable, la boîte en papier certifié FSC™ et en coton, le flacon recyclable contenant 30 % de verre recyclé et le capot monomatériau en liège de Quadpack, issu de forêts durables. « L’impact du capot en dit long sur le produit : c’est nouveau, tendance, naturel et moderne à la fois, » dit-il.
Entièrement fabriquée en Europe, la gamme Obvious a été créée pour ce que Frossard appelle « le style européen ». « Aujourd’hui, le marché de la parfumerie de luxe s’adresse principalement aux clients haut de gamme d’Amérique, d’Asie et du Moyen-Orient, en termes de positionnement de prix et de marketing. Je voulais un produit qui renouerait avec l’Europe, » explique-t-il.
Vendue initialement à travers la plateforme de financement participatif Ulule, la nouvelle gamme s’est adaptée à la « nouvelle normalité » : les clients peuvent recevoir les échantillons des sept parfums chez eux, choisir leur préféré, puis se faire livrer le flacon. L’expérience en magasin est aussi possible : Différentes Latitudes dispose un bar à parfums à Paris.

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