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Évolution des produits rechargeables de Quadpack pour les formules solides

Le nouveau Infinite PP Panstick du fabricant et fournisseur international d’emballages destinés aux produits de beauté  Quadpack représente une évolution du panstick original en plastique. Entièrement composé de PP, un matériau recyclable, il est désormais disponible en format rechargeable. Polyvalent, le produit fait partie de la nouvelle génération des emballages de la marque Quadpack et répond aux besoins écologiques des marques de recourir à des matériaux durables pour le maquillage, les parfums et les soins de la peau. 

Grâce à sa éco-conception, Infinite PP Panstick a réduit ses émissions de carbone de 43 % par rapport à la version originale et son indice de circularité a triplé*, ce qui indique une amélioration en matière de durabilité et une réduction des impacts environnementaux, selon une Analyse du cycle de vie du produit. L’évolution vers un emballage monomatière rechargeable a fait progresser le produit, en le faisant passer d’un niveau de durabilité minimum à un niveau avancé dans l’évaluation PIP de Quadpack. 

L’emballage s’adapte aux tendances de solidification des produits, motivées par des raisons environnementales, qui poussent les marques à réduire ou à éliminer l’eau présente dans les formules en adoptant des sticks comme formats alternatifs et encourageant l’adoption de différents gestes et applications. 

En plus d’être durable, le produit est polyvalent : il convient à différentes formules au format solide comme les fonds de teint, les perfecteurs de teint, les produits solaires, les sérums et les parfums solides. Grâce au pratique système enclipsable, le Infinite PP Panstick peut être facilement rechargé et offre des options de remplissage par le haut ou par le bas.

Le produit est disponible en diametre de cupule de 18,2 mm (10 g et 4,5 g) et de 21,3 mm (15 g) et propose différentes options de décorations internes.

*Infinite PP Panstick 4,5g comparé à un panstick basique de 4,5 g

Texen Mayet célèbre ses 50 ans

Texen Mayet, l’un des 5 sites français du groupe Texen, fer de lance de la fabrication de mascaras, célébrait voilà quelques jours son 50e anniversaire ; L’occasion de parler d’histoire et de partager l’énergie et la fierté des salariés pour leur entreprise.

À l’occasion de ses 50 ans, le site de Texen Mayet accueillait salariés en famille et habitants voisins pour une journée festive et commémorative.
Initialement basés à Saint Lupicin (39), les « Établissements Mayet » ont été fondés en 1910 par André Mayet, agriculteur jurassien. Entre 1950 et 1970, l’usine profite de l’essor des thermoplastiques injectés pour le secteur de l’automobile et l’industrie.

De l’automobile à la cosmétique
Le 1° avril 1970, un établissement secondaire fondé par Édouard Grandmottet et s’implante à Pierre de Bresse et l’activité démarre avec une dizaine de salariés.
Dans les années 80, la fabrication de pièces automobile cède du terrain à la cosmétique « Made in France ». Le site de Pierre-de-Bresse en profite. Par la suite, la conjoncture économique se dégradant, des 4 usines des Établissements Mayet (St Lupicin, Dole, Pierre-de-Bresse, Meyzieu), seule, celle de Pierre-de-Bresse garde un potentiel. Edouard Grandmottet et son épouse Jeanne Mayet la rachètent et fondent en 1988 une nouvelle société « Mayet Pierre-de-Bresse ». En 1996, la production de mascara démarre avec l’arrivée de la première machine d’injection-soufflage. En 2001, le groupe PSB Industries rachète l’entreprise, la restructure et apporte les investissements nécessaires pour maintenir la compétitivité du site. En 2004, un nouveau bâtiment logistique et mécanique complète le réaménagement du bâtiment principal.

En 2018, la ligne « mascara 4.0 » voit le jour. Cette ligne intégrée, 100 % automatisée, de mascaras à l’entreprise de franchir un nouveau palier vers l’excellence industrielle.

Adaptée à des mascaras multiformat et à différents types de décors, cette ligne permet un gain de temps grâce à sa haute cadence, une sécurisation des pièces vernies traitées en vase clos, une réduction des manipulations et des transports et une empreinte made in France.
Le concept Smart, développé par Texen, est la solution optimale relevant les enjeux RSE d’une industrie agile. En effet, la modularité des dernières générations de lignes Smart propose aux clients partenaires un compromis responsable entre compétitivités, optimisation des surfaces industrielles, limitations des stocks intermédiaires et des déchets induits jusqu’à l’usage de vernis haut extrait sec.

Penser à demain ensemble
Aujourd’hui, Texen Mayet constitue pour le groupe, une brique majeure de son innovation.
« Depuis 50 ans au service des grands groupes de la cosmétique, Texen Mayet n’a eu de cesse de développer ses process pour demeurer un acteur incontournable de la profession. Par son histoire et son implantation, Texen Mayet est une force d’animation du tissu économique local. Soucieux de conserver cette empreinte, nous tâchons au quotidien de défendre le “made in France” en développant de nouveaux marchés et de nouvelles expertises.
L’excellence industrielle et notre fort engagement environnemental font partie de nos principaux atouts
 » déclare Franck Perot, directeur du site Texen Mayet.

Un flacon Bormioli Luigi pour la première gamme de soins Mimitika

Portée par son succès sur les solaires, la jeune marque Mimitika aborde à présent le marché du soin avec Skin Juice Collection et ses 4 sérums. Pour ce développement, elle a choisi un modèle Bormioli aux formes joliment arrondies intégrant une part de PCR.

Un signal fort pour une marque 100 % engagée

Avec ses formules solaires, la marque allie la sécurité de la protection au plaisir de l’exposition. Sa nouvelle gamme baptisée Skin by Mimitika suit le même raisonnement. La peau doit être chouchoutée toute l’année : nourrie de formules efficaces et légères, protégée des rayons UV. La femme doit disposer de produits de beauté naturels, accessibles et de fabrication locale.

Premier lancement pour la marque : une ligne baptisée Skin Juice Collection. Conçus sur la base d’actifs naturels ciblés, les quatre sérums hydratent, apaisent, purifient, illuminent, lissent… tous les types de peau, en toute circonstance.

Un packaging entre séduction et raison

Mimitika a choisi de collaborer avec Bormioli Luigi pour ce développement. Elle a porté son attention sur la collection ready-to-go : des flacons clefs en main pour des développements agiles et plus vertueux. Dans le catalogue, le modèle Thalassa a été retenu pour ses épaules arrondies qu’équilibre le choix d’un format 15 ml pour une allure particulièrement féminine. Pratique à prendre en main, il s’adapte parfaitement à la gestuelle du compte-gouttes. En outre, ce flacon est composé d’une part de PCR (15 %) ; un argument supplémentaire pour l’engagement de la marque. Le modèle Thalassa se décline comme une gamme, en 3 formats de flacons (15, 30 et 150 ml et en pots de 50 et 200 ml).

Arcade Beauty Europe sous la direction de Laurent Oulès

Depuis la nomination de Carl Alain à sa direction générale, le groupe Arcade Beauty a confié la direction de l’Europe à Laurent Oulès. Basé à Paris, celui-ci a pris ses fonctions au cours de l’été.

Laurent Oules a rejoint Arcade Beauty en août 2022 en tant que directeur général de l’activité européenne. Son expérience dans le secteur de l’emballage et son expertise stratégique sont des atouts majeurs pour le groupe.

Après avoir débuté sa carrière dans le groupe Air Liquide puis au sein du cabinet de conseil en stratégie McKinsey, il a rejoint le groupe Pechiney/Alcan où il a dirigé le développement international de l’activité européenne d’emballage flexible. Il a ensuite piloté les opérations d’une unité industrielle française au sein du groupe Amcor, suite à l’acquisition d’Alcan Packaging. Après avoir rejoint Essilor en 2012 pour diriger le développement de l’ingénierie et de la technologie, il est revenu en 2015 dans le secteur de l’emballage pour diriger la transformation internationale, industrielle et commerciale du groupe Danaflex. En 2019, il a rejoint le groupe Coveris, leader de l’emballage souple, où il dirigeait le développement international auprès des clients mondiaux, axé sur les emballages haute performance et recyclables. Laurent est diplômé de l’École Polytechnique, de l’École Nationale des Ponts et Chaussées, et détient un MBA du Collège des Ingénieurs.

Roland Lescure, Ministre en charge de l’Industrie a réuni le Comité de filière Cosmétiques

Présidé – pour la première fois – par Roland Lescure, Ministre délégué à l’Industrie, le « Comité de filière cosmétiques » s’est réuni le 28 novembre, en présentiel, à Bercy, pour une troisième séance de travail depuis sa création en 2021, à la suite des « États Généraux de la Cosmétique », Organisée par le pôle de compétitivité Cosmetic Valley et la FEBEA, en présence d’une vingtaine de représentants de la filière, cette réunion a permis d’échanger avec le Ministre sur les défis rencontrés par les différents maillons de la chaîne de valeur – fournisseurs, fabricants, distributeurs -, et de soumettre au ministre des projets concrets de coopération entre les entreprises, les associations professionnelles et les pouvoirs publics.

A l’issue de la réunion, Cosmetic Valley, la FEBEA et le Médiateur des entreprises ont signé la « Charte sur les achats responsables », premier aboutissement du processus lancé début 2021 avec l’adoption, par les plus grands donneurs d’ordre du secteur, de la  « Déclaration de solidarité des entreprises cosmétiques avec le secteur verrier ». Elle formalise dix engagements entre donneurs d’ordre et fournisseurs.

Quadpack met en place un nouveau laboratoire américain pour des tests à valeur ajoutée

Les marques de produits de beauté américaines ont désormais accès à des services de test de leurs emballages dans les installations de Quadpack à Dallas, au Texas. Afin de répondre à une demande croissante, le fabricant et fournisseur international d’emballages pour produits de beauté a créé un laboratoire d’essai aux États-Unis. Celui-ci vient compléter le laboratoire central, situé au siège de l’entreprise à Barcelone, en Espagne. Ce service ajoute un niveau supplémentaire de contrôle qualité, car Quadpack cherche à offrir des solutions dans la région, pour la région.

Le laboratoire américain est doté d’équipements de haute technologie qui permettent de réaliser des tests d’étanchéité, de perte de poids, de couple, de résistance à la décoration, de scellement des tubes, de vieillissement des formules et bien d’autres encore. Ce service à haute valeur ajoutée est proposé pour accompagner les marques dans la phase de développement de leur emballage. Le site de Dallas offre également des services de stockage, de décoration et d’assemblage et gère le site de commerce électronique InStockPack.

Le laboratoire central de Quadpack en Europe est entièrement équipé pour les homologations, les contrôles de changement et les tests de compatibilité, ces derniers étant une responsabilité légale des marques de produits de beauté.

Quadpack recrute actuellement pour ses installations d’essai à Shanghai, en Chine, afin d’étendre davantage le service en Asie, mettant ainsi en place des laboratoires d’essai dans ses trois territoires clés.

Gattefossé remporte le Trophée Inpi 2022 dans la catégorie export

Gattefossé a reçu le Trophée Inpi 2022 dans la catégorie export lors de la cérémonie organisée à l’Institut de France. Une belle récompense pour Gattefossé qui a fait de l’innovation un pilier de sa croissance en menant une politique industrielle volontaire et cohérente.

Les Trophées INPI : la reconnaissance de l’innovation à la française

Créés en 1991, les Trophées Inpi (Institut National de la Propriété Industrielle) récompensent des entreprises emblématiques de l’innovation française se distinguant par l’exemplarité de leur stratégie de propriété industrielle. Cette année, les Trophées mettent à l’honneur quinze PME, start-up et Eti, qui concourent dans 5 catégories : Export, Industrie, Innovation responsable, Recherche partenariale et Start-up. Le jury de l’édition 2022 est présidé par Bernard Reybier, président du Conseil d’Administration de Fermob, entreprise lauréate des Trophées en 2013.

Une stratégie de propriété industrielle pour protéger et pérenniser ses idées

La politique d’innovation de Gattefossé est basée sur deux piliers :

• La recherche interne, menée depuis son site de Saint Priest (métropole de Lyon) et depuis ses laboratoires d’applications en Inde, en Chine et aux États-Unis par des ingénieurs et docteurs en pharmacie, chimie ou biologie

• La collaboration avec des centres de recherche publics ou privés à l’international.

« La propriété intellectuelle a toujours été au cœur de nos préoccupations et cela a commencé il y a plus d’un siècle quand mon arrière-grand-père déposait ses premiers brevets dans les années 20. Nous avons mis en place une organisation et un processus de développement qui nous permet de protéger nos innovations tout en partageant notre savoir-faire, une notion chère à l’entreprise.

Être récompensés aujourd’hui par un Trophée INPI est un honneur et une reconnaissance ses efforts fournis par nos équipes de recherche depuis des années. Nous sommes heureux et fiers de récolter les fruits de ce travail collectif » explique Ségolène Moyrand-Gros, Présidente du Groupe Gattefossé.

Cette stratégie permet de mener une grande variété de travaux simultanément, ce qui nourrit son portefeuille de nouveaux développements potentiels, et permet de répondre le plus rapidement possible aux besoins du marché.

« Les domaines d’applications de nos produits concernent la cosmétique et la pharmacie mais les savoir-faire qui leur sont liés sont variés. Il s’agit de procédés de synthèse chimique, d’extraction végétale, d’analyse chimique ou de formes galéniques pharmaceutiques diverses et de formes cosmétiques variées.

Notre stratégie d’innovation et les brevets que nous déposons englobent donc tous ces domaines d’expertise. Avoir une solide stratégie de propriété industrielle est essentiel si l’on veut être bien protégé. Nous déposons ainsi systématiquement, après une étude de liberté d’exploitation, des brevets pour tous nos nouveaux ingrédients et technologies dans tous les pays clés pour notre activité. C’est une garantie de qualité et de pérennité du produit pour nos clients» dit Jean-David Rodier, Directeur R&D Oléochimie.

A ce jour, Gattefossé possède un portefeuille de brevets constitué de 18 familles et 195 marques protégeant des produits, des procédés de fabrications et des applications pour ses deux marchés. Les brevets couvrent plusieurs pays clés comme la France, l’Allemagne, la Grande-Bretagne, les États-Unis ou encore la Chine.

Des innovations dans le développement de ses ingrédients

En avril dernier, Gattefossé a lancé un nouvel actif végétal naturel destiné à l’industrie cosmétique, le fruit d’une collaboration avec un groupe de recherche spécialisé dans l’étude des effets des stress génotoxiques. Le produit a été récompensé par l’industrie lors du salon in-cosmetics global, en obtenant le prix Bronze de l’innovation dans la catégorie meilleur ingrédient actif cosmétique.

Gattefossé a par ailleurs été l’un des premiers fournisseurs d’ingrédients cosmétiques à breveter une technologie à base de cires végétales hydrophilisées permettant d’offrir à ses clients cosmétiques des textures à la sensorialité unique. Cette innovation a elle aussi été reconnue par l’industrie en obtenant différents prix d’innovation.

En pharmacie, Gattefossé a développé l’année dernière un nouvel agent stabilisateur de phase huileuse dans les bi-gels, ce dernier a été sélectionné parmi les finalistes dans la catégorie « Formulation finie » lors du salon CPHI Worldwide au début du mois.

Matteo Moretti reprend le contrôle de la totalité du capital de Lumson

Matteo Moretti, président de Lumson S.p.A., a acheté, par le biais de la holding familiale, la totalité de la participation dans Lumson S.p.A. détenue par FSI SGR S.p.A. pour le compte du fonds  » FSI I « . La transaction permet à la famille Moretti de compléter la succession commencée en 2018 et d’accélérer le chemin de la croissance en renforçant la position de leader de Lumson S.p.A. dans le secteur de l’emballage primaire cosmétique.

Cette transaction intervient après quatre années de fort développement commun.
Lumson est une société leader en Europe dans la conception, le développement, la production et la décoration de systèmes d’emballage primaire pour le marché des cosmétiques et du maquillage.
L’entreprise de Capergnanica a dépassé les 130 millions d’euros de chiffre d’affaires, avec une marge soutenue qui reflète le fort positionnement dans le segment du soin de la peau et le haut contenu qualitatif et technologique de ses produits, vendus dans le monde entier aux groupes les plus importants de l’industrie cosmétique.
Au cours des cinq dernières années, le chiffre d’affaires de la société a doublé et, sous la direction de Matteo Moretti, la société s’est considérablement renforcée dans le segment du maquillage haut de gamme, grâce également à l’acquisition de Marino Belotti. En outre, des projets importants et innovants ont été menés à bien dans le domaine de la durabilité, une question extrêmement importante dans le monde de l’emballage et dans laquelle Lumson est désormais un leader avec un pipeline solide et une équipe de gestion dynamique.

L’objectif de la famille Moretti est d’accélérer encore la croissance de Lumson et de consolider sa position de leader dans le segment des soins de la peau du secteur de l’emballage primaire, en continuant sous la direction de son président Matteo Moretti, du directeur général Antonio Recinella et de l’équipe de direction actuelle.
Matteo Moretti, Président de Lumson Group : « Je suis très fier de la croissance de Lumson et de la valeur créée pour tous les actionnaires et parties prenantes grâce à l’engagement et à la contribution de mon père Remo – fondateur de Lumson en 1975 -, du conseil d’administration, de l’équipe de direction et de tous les employés du groupe. Lumson représente aujourd’hui un acteur majeur de l’industrie de l’emballage primaire, avec un portefeuille de produits diversifié et un accent sur la durabilité qui fait de l’entreprise un partenaire important pour les grandes marques internationales de cosmétiques. Le FSI nous a aidés à atteindre cet objectif« .

1er site de production industriel d’ingrédients naturels pour Dry4Good

Dry4Good, FoodTech industrielle spécialisée dans la production d’ingrédients à haute valeur ajoutée, inaugure ce jeudi 1er décembre sa première usine spécialisée dans la production d’ingrédients innovants pour les acteurs des industries agroalimentaires, cosmétiques et nutraceutiques. Doté d’une capacité de production de 50 tonnes d’ingrédients par an, ce nouveau site de 1000m2 réalisé par foncière spécialisée en immobilier d’entreprise Vectura permettra à la start-up de faire la démonstration technologique et industrielle, d’une production d’ingrédients au service d’une alimentation plus durable et favorable à la santé.

Du laboratoire à la première unité de production en 24 mois

Créée en 2019, Dry4Good est une start-up francilienne spécialisée dans la fabrication de produits sains et naturels, obtenus à partir de technologies innovantes spécifiques. Celles-ci permettent de conserver le goût, la couleur et la texture des matières premières, ainsi que toutes les valeurs nutritionnelles, sans aucun ajout ou modification substantielle.

Ce procédé éco-efficient de séchage de précision a été développé dans un premier temps au sein du laboratoire de La Turbine, l’Incubateur Pépinière Hôtel d’Entreprises (IPHE) de Cergy-Pontoise. Après une année de R&D, un équipement pilote a été mis en service en 2021, répondant ainsi aux premières demandes d’un marché particulièrement à l’écoute. Grâce à cet équipement préindustriel, Dry4Good est parvenue à développer une gamme d’ingrédients industriels et à séduire ses premiers clients, acteurs de l’agroalimentaire et de la cosmétique.

Un passage à l’échelle industrielle avec son site Pilote de production de 1000m2

Aujourd’hui, la start-up passe à l’étape supérieure afin de démultiplier la capacité de son activité et de répondre à la forte demande de ses clients, en inaugurant son premier site industriel de 1000m2. Intégrant trois lignes de production pour une capacité de traitement de 2 tonnes de produits frais par jour, celui-ci vient valider le passage à l’échelle industrielle de sa technologie de rupture. Elle permettra de produire l’équivalent de 50 tonnes d’ingrédients par an afin de répondre à la demande croissante, dès 2023.

« Nous sommes heureux d’inaugurer dans le Val d’Oise notre premier site de production pilote. Ce lieu conçu en un temps record et sur-mesure par VECTURA permet le passage à l’échelle industrielle et marque une étape majeure de notre développement. Le marché est là et son potentiel immense en raison de la forte croissance du secteur et des besoins grandissant des industriels, pour des formulations plus saines, performantes et respectueuses de l’environnement. », souligne Romaric Janssen, co-fondateur de Dry4Good.

Une start-up chef de file de la réindustrialisation et du développement territorial

En phase avec les ambitions de BPI France, ce premier site pilote situé à Cergy (95) participe activement au développement du secteur agroindustriel en France. L’organisme public vise en effet, la création de 100 nouveaux sites industriels par an, dans les territoires, d’ici à 2025, pour réindustrialiser la France et répondre à ses enjeux de souveraineté et d’emplois.

La chaîne de production Dry4Good se trouve également au plus proche du sourcing. La plupart des matières premières utilisées sont issus du circuit court grâce à un important réseau d’agriculteurs (producteurs et coopératives) franciliens. En favorisant les produits cultivés à proximité de son site, Dry4Good participe à son échelle au développement économique d’une filière agricole française. L’entreprise fait d’ailleurs partie des startups labélisées French Tech Agri20, et détient également le label « Produit en Ile-de-France ».

Un investissement de plus de 4 millions d’euros

Ce premier site industriel a vu le jour grâce au soutien financier de partenaires publics régionaux et nationaux fortement engagés dans le développement économique des territoires, à savoir : France Relance, France 2030, la Région Ile de France et BPI France. La startup s’est également appuyée sur le soutien d’investisseurs privés, et a bénéficié d’aides publiques en tant que lauréat du Concours I-NOV, mais également du Programme d’Investissement d’Avenir (PIA 4). Au total la startup aura déployé plus de 4M€, permettant la poursuite des investissements ainsi que la création de 30 emplois directs sur le territoire.

Lalique et James Turrell : Deux flacons cristal en éditions limitées

Purple Sage & Range Rider, deux flacons de parfum en éditions limitées.
Cette collaboration donne naissance au premier parfum créé par un artiste pour Lalique.

Lalique a dévoilé sa nouvelle collaboration avec l’artiste américain James Turrell, connu pour créer des œuvres qui incitent le public à se confronter aux limites et à la magie de la perception humaine en jouant avec la lumière et l’espace.

C’est la première fois que le célèbre artiste-lumière travaille sur des pièces de petite dimension. Cette rencontre unique entre deux « artistes de la lumière » est le fruit de plus de quatre ans d’étroite collaboration et survient au moment où Lalique célèbre le lOOème anniversaire de sa manufacture alsacienne. La collection, qui a été présentée lors de l’édition 2022 de Paris+ par Art Basel, se compose de 42 panneaux lumineux en cristal et de deux flacons de parfum en éditions limitées à 100 exemplaires chacun. C’était la première fois que Lalique Art était partenaire officiel de la célèbre foire d’art moderne et contemporain.


James Turrell a tout d’abord imaginé deux flacons de parfum. Fasciné par l’Égypte et les formes de stûpa que l’on trouve en Asie, il s’est inspiré de leur structure architecturale qui en font des monuments de haute valeur spirituelle où la lumière joue un rôle essentiel.

Combinant à la fois sensibilités artistiques et olfactives, les deux flacons Range Rider et Purple Sage sont inspirés du livre de Zane Grey, Riders of the Purple Sage et de la volonté de l’artiste de recréer la beauté de l’Ouest américain. Le résultat est éblouissant : les flacons sont de véritables prismes qui diffusent et diffractent la lumière. Entièrement fabriquées à la main, ces pièces présentaient un défi majeur pour les artisans Lalique : obtenir une épaisseur uniforme de cristal, laquelle permet d’obtenir une homogénéité et la bonne densité de couleur.

En travaillant avec les parfumeurs de Lalique, Turrell a aussi donné vie aux premiers parfums créés par un artiste pour Lalique. Le premier d’entre eux, Range Rider, encapsule les senteurs naturelles de l’Arizona, terre d’origine de l’artiste : sauge pourpre et cuir frotté, poivre, ambre et agrumes. Son architecture olfactive évoque les ranchs baignés de soleil de l’Ouest américain.

Oscillant entre force et délicatesse, le second parfum, Purple Sage, nommé d’après la délicate variété de sauge qui règne sur l’Arizona, offre une autre interprétation de la relation de Turrell avec sa région. Avec ses courbes subtiles, le flacon rend hommage à l’éternelle forme féminine. Le parfum en lui-même se caractérise par une senteur délicatement fruitée et musquée qui révèle des notes de sauge pourpre, de mandarine, de pamplemousse et de rhubarbe.
La collaboration est née d’une rencontre entre l’artiste et Silvio Denz, président-directeur général de Lalique, « Aussitôt j’ai pensé que Lalique devait accueillir des œuvres de James Turrell : la place de l’artiste-lumière avait tout son sens si l’on songe au fondateur René Lalique surnommé « le sculpteur de lumière ». C’est une profonde aventure artistique qui a abouti à un résultat d’une élégance et d’une modernité rares. Une véritable prouesse. Je suis à la fois fier et très heureux que ce grand nom rejoigne le cercle prestigieux des artistes ayant collaboré avec Lalique. »
James Turrell a ajouté : « La nature de mon travail, c’est la mise en forme de la lumière. La lumière, c’est le matériau et la perception, le médium. J’avais déjà entendu parler de René Lalique mais j’ignorais l’étendue de sa créativité. À la manufacture Lalique, j’étais fasciné par les maîtres-verriers et leur virtuosité technique. Ce sont de vrais artistes. C’était la première fois que je conçois des parfums et des pièces en cristal. Le sens olfactif suscite la mémoire plus que tout autre sens, et c’est grâce à Lalique et aux parfumeurs que j’ai pu créer cela. Créer un parfum, c’est un peu créer le monde que l’on a connu. Comme René Lalique, je cherche la lumière et je continuerai de la chercher. »

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