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Coverpla confirme son ouverture à la fragrance de niche grâce à son partenariat avec Estal

Marine Coton - Coverpla - Estal

Coverpla accompagne le lancement du parfum de textile Marine Coton. Marine Rautureau, la fondatrice de cette jeune marque, a créé une ligne qui insuffle une routine particulière : le parfumage du linge, inspiré du doudou parfumé de son enfance. Son concept : une dose déposée dans la machine et le linge nous emporte tout au long de la journée vers des sillages de souvenirs. Composée de trois fragrances (Accord Infini, Paradis nomade et Soleil absolu), la gamme entend bousculer les codes de la parfumerie par une expérience olfactive moderne.

Souhaitant une fabrication responsable et de proximité, Marine Rautureau a choisi le flacon Philos (format 100 ml) proposé par Coverpla, fabriqué en Europe au même titre que sa pompe. Conçu pour la cosmétique, le home care et la home fragrance, ce modèle s’adapte à diverses typologies de produits (compte-gouttes, pompes, bagues pour diffuseurs, capots à vis…). Il est également proposé en formats 50, 250 et 500 ml, et en deux types de verre (Flint et Wild).

Phalos est un flacon élégant conçu par Estal, partenaire de Coverpla. À peine quelques mois et quelques salons après la signature de son partenariat avec l’entreprise espagnole, Coverpla voit ainsi son engagement conforté par l’intérêt des marques pour un packaging différenciant et une approche toute particulière du luxe.

Un rouge à lèvres vieux de près de 4000 ans découvert en Iran

Un rouge à lèvres vieux de près de 4000 ans découvert en Iran

Une petite fiole en chlorite, découverte dans la région de Jiroft, dans la province de Kerman, au sud-est de l’Iran, contient une préparation cosmétique d’un rouge profond qui est probablement une peinture ou une pâte colorante pour les lèvres. 

Grâce à une recherche analytique impliquant des analyses XRD (diffraction des rayons X), SEM-EDS (microscopie électronique à balayage – spectroscopie à dispersion d’énergie) et HPLC-MS (chromatographie liquide à haute performance – spectrométrie de masse), les composants minéraux de la substance rougeâtre ont été identifiés comme étant de l’hématite, assombrie par de la manganite et de la braunite, et des traces de galène et d’anglésite, mélangées à des cires végétales et à d’autres substances organiques. 

Le mélange ainsi observé ressemble aux recettes des rouges à lèvres contemporains. Les résultats situent le pigment au début du 2e millénaire avant notre ère.

C’est ce que révèlent des chercheurs auteurs de l’article “A Bronze Age lip-paint from southeastern Iran” publié dans la revue Scientific Reports (https://www.nature.com/articles/s41598-024-52490-w)

Selon les auteurs de l’étude publiée le 1er février 2024, la fiole serait datée d’entre 1936 et 1687 avant J.-C. et représenterait l’un des plus anciens tubes de rouge à lèvres jamais découvert.

Le tube et son contenu ont été récupérés en 2001, lorsque la rivière Halil (province de Kerman) a inondé des anciens cimetières de la région, délogeant des artefacts des sépultures. Ils ont été depuis conservés au musée archéologique de Jiroft, avant de retenir l’attention de chercheurs.

Une nouvelle expérience olfactive avec des brumes à base d’huiles essentielles

Umus

Umus, une jeune marque établie en Gironde, propose une collection de quatre brumes visant à créer des expériences olfactives authentiques, alliant tradition locale et innovation.

« Chez Umus, nous croyons en l’importance de créer des expériences olfactives significatives. Nos brumes ne se contentent pas de sentir bon ; elles sont le résultat d’une collaboration étroite avec un aromathérapeute, assurant leur efficacité et leur impact sur le bien-être », déclare Aude Badia, cofondatrice d’Umus.

Ces brumes 100 % naturelles, « conçues pour la joie, la respiration, la méditation et le sommeil », entendent apporter des bienfaits concrets sans se contenter de parfumer l’air. Chaque brume a été créée avec une intention spécifique, offrant aux utilisateurs une expérience sensorielle adaptée à leurs besoins.

Au cœur de la philosophie d’Umus figure la conviction que l’odorat joue sur les émotions et le bien-être mental, permettant aux utilisateurs de s’accorder un précieux moment de pause.

La marque embrasse aussi le patrimoine de l’Occitanie et souhaite « insuffler une essence locale dans chaque flacon » : les brumes sont fabriquées par un laboratoire du Gers qui sélectionne ses matières premières pour proposer des huiles essentielles biologiques de très haute qualité dans le respect de la nature et du bien être de chacun. 

Photo extraite du profil Instragram d’Umus.

Le marché des cosmétiques durables selon Ecovia Intelligence

Le marché des cosmétiques durables selon Ecovia Intelligence

Ecovia Intelligence, société de conseil établie à Londres, spécialiste des marchés éthiques, a publié ses prévisions pour l’année 2024 en matière de cosmétiques durables.

Concernant les produits durables, les cosmétiques naturels et biologiques sont les mieux établis, leur part de marché approchant les 10 % aux États-Unis, en Allemagne et en Suisse. Globalement, la gamme de produits cosmétiques dotés d’attributs de durabilité devrait continuer à s’étendre. De nouveaux produits seront lancés avec des attributs écologiques. Les produits anhydres (barres de shampoing, crèmes hydratantes solides, masques en en tissu) continueront à progresser cette année. Et d’autres produits durables – tels que les  produits respectueux du microbiome et les produits rechargeables – gagnent en popularité. 

Autre tendance : le nombre de labels éthiques dans l’industrie cosmétique va continuer d’augmenter. Les labels naturels et biologiques sont les plus établis ; Cosmos et Natrue sont les principaux standards, avec respectivement plus de 35 000 et 6 400 produits certifiés. Parmi les autres labels écologiques populaires, figurent Nordic Swan, Fairtrade, Non-GMO et Climate Neutral. 

De plus en plus de consommateurs adoptent par ailleurs un mode de vie vegan et/ou réduisent leur consommation de produits d’origine animale et recherchent des cosmétiques à base de plantes. Un nombre croissant de marques devrait commercialiser des produits vegans. 

Les ingrédients cosmétiques sont de plus en plus souvent fabriqués à l’aide de la fermentation de précision, de cellules végétales et de nouvelles technologies. 

En outre, selon Ecovia Intelligence, il faut s’attendre à voir davantage d’entreprises utiliser la capture de molécules de carbone pour fabriquer des ingrédients cosmétiques, des emballages et des produits finis. 

Les préoccupations croissantes des consommateurs à l’égard de la déforestation encouragent par ailleurs les entreprises à mettre au point des ingrédients verts. L’année dernière, Palmless, alternative à l’huile de palme a été lancée aux États-Unis ; chimiquement presque identique à l’huile de palme, ce produit est commercialisé comme étant exempt de déforestation. En Europe, NoPalm Ingredients et Äio créent des alternatives à l’huile de palme à partir de sous-produits agricoles. D’autres ingrédients de ce type devraient être lancés cette année.

Quid des emballages ? L’abandon des plastiques à usage unique encourage les marques de cosmétiques à expérimenter de nouveaux matériaux. Le bambou, la cire d’abeille, les copeaux de bois, les fibres agricoles et d’autres matériaux d’origine biologique trouvent leur place dans les emballages cosmétiques. Certaines marques envisagent des emballages solubles et compostables.

Enfin, les allégations vertes feront l’objet d’examens plus approfondis à mesure que qu’une nouvelle législation sera adoptée. Ecovia note que le Parlement européen a donné son feu vert à une nouvelle directive qui obligera les entreprises à justifier leurs allégations environnementales ou de durabilité.

Ecovia Intelligence présentera ces évolutions lors des Sustainable Cosmetics Summit. L’édition nord-américaine aura lieu à New York du 4 au 6 juin 2024, l’édition européenne à Paris du 28 au 30 octobre, et l’édition Asie-Pacifique à Hong Kong les 11 et 12 novembre.

Photo : © Aesthetic Journey / Pixabay

Groupe GM collabore avec Fragonard pour ces produits destinés aux hôtels

Groupe GM collabore avec Fragonard pour ces produits destinés aux hôtels

Groupe GM, spécialiste mondial des produits d’accueil, annonce sa collaboration avec Fragonard, l’une des plus anciennes maisons de parfum de Grasse. La marque s’associe au Groupe GM pour lancer deux gammes de produits pour les hôtels : la ligne « Vrai » offre des produits d’accueil qui reflètent le caractère de la Méditerranée alors que la ligne « Figuier Fleur » rend hommage à la Provence, berceau de Fragonard. 

Avec Vrai, Groupe GM entend allier l’élégance au charme de la Côte d’Azur. « Autour d’un parfum distinctif, des notes fraîches et florales se mélangent pour créer une atmosphère toute en sophistication, qu’une touche de verveine vient ponctuer. L’esthétique de la ligne, marquée par des tons neutres et un design épuré, se décline dans des produits petits formats ou sous forme d’un savon solide et gravé à base d’ingrédients responsables », indique-t-on au sein de Groupe GM.

Des références grands formats sont également disponibles, notamment l’Ecofill, un distributeur en aluminium de 300 ml. Ce distributeur innovant, rechargeable et traçable, ainsi que les poches de recharge de gel douche, shampooing, après-shampooing, lait pour le corps et savon pour les mains garantissent l’origine et la traçabilité du produit et évitent la contamination bactérienne, tout en réduisant l’impact sur l’environnement.

Vrai se décline aussi dans un autre distributeur grand format, le Ghost de 400 ml à base de canne à sucre. Celui-ci est fixé sur un rail caché créant l’illusion que le produit est en lévitation.

Inspirée par l’essence de la Provence, la ligne Figuier Fleur offre, selon Groupe GM, « un parfum enchanteur aux senteurs subtiles. Cette ligne associe les notes fraîches de la bergamote, du néroli et de la feuille de figuier aux notes florales du magnolia et du freesia, couronnées par une base boisée et sophistiquée de mousse de chêne et de cardamome épicée. » Proposée en petits et grands formats, cette gamme est également disponible sous forme de l’innovation rechargeable Ecofill en 400 ml et d’Ecopump en 300 ml fabriqué à partir de plastique recyclé et dont les pompes sont à base de résine biosourcée, principalement issue de la canne à sucre.

Les lignes Vrai et Figuier Fleur s’inscrivent dans la démarche du programme « Care about Earth » de Groupe GM, reflètant son engagement écoresponsable. Le spécialiste des produits d’accueil cherche à réduire son impact sur l’environnement, à contribuer à des pratiques durables et à préserver la planète. Il privilégie l’utilisation de ressources vertes, la réutilisation et la réduction des plastiques à usage unique. L’écoconception est au cœur du programme « Care about Earth » afin de réduire drastiquement les déchets et l’utilisation de ressources rares. 

« Nous sommes ravis de travailler avec une maison emblématique telle que Fragonard et de proposer à nos clients des produits plus respectueux de l’environnement, sans compromis sur les niveaux de luxe et de qualité qui sont la promesse du Groupe GM. Ces deux lignes, qui reflètent pleinement nos valeurs fondamentales, permettront aux hôtels du monde entier de choyer leurs clients en leur offrant des produits d’accueil parfumés, issus par un des plus grands noms de la parfumerie artisanale mondiale », souligne Laurent Marchand, président de Groupe GM.

Le luxe et développement durable : Collistar confie à Quadpack la réalisation d’un flacon monomatière

Collistar - Quadpack

« Parmi nos principaux objectifs de développement durable figurent ceux liés à l’emballage et à l’écodesign. En particulier, nous nous engageons à ne mettre sur le marché que des emballages rechargeables ou recyclables d’ici à 2025. Cela implique une réduction de la complexité et de la quantité des matériaux, favorisant les choix monomatière pour garantir que nos emballages, une fois éliminés correctement par le consommateur, pourront être récupérés et recyclés par des technologies de recyclage standard. En choisissant le flacon Gala monomatière, le correcteur Lift+ a été repensé de façon moderne et écologique pour s’aligner sur nos objectifs », explique Matilde Rossi Scota, Head of Sustainable Development chez Collistar, marque italienne fondée à Milan en 1983.

Composé à 95 % d’ingrédients d’origine naturelle, le nouveau Lift HD+ Correcteur Liftant Lissant de Collistar vise à effacer les signes de fatigue et redonner de l’éclat. Le produit est logé dans une solution d’emballage monomatière du fabricant et fournisseur international d’emballages pour produits de beauté Quadpack : le Gala dip-in pack.

Développée par Quadpack, la solution d’emballage présente un joli flacon à parois épaisses. L’emballage est entièrement composé de polytéréphtalate d’éthylène (PET), et répond aux critères de la marque qui visent à utiliser exclusivement des matériaux recyclables. Selon Quadpack, il s’agit d’une « combinaison parfaite d’une esthétique de luxe, d’une performance de haut niveau et d’un design monomatière. » 

Après avoir pris connaissance de la sélection d’applicateurs assortis, Collistar a opté pour le modèle The Essential pour appliquer la formule. Sa spatule à extrémité arrondie présente deux réservoirs des deux côtés afin de doser la quantité adéquate de produit. La tige flexible et le bout souple permettent, selon Quadpack, « une application délicate, simple et vraiment agréable. »

Un vernis noir mat a été appliqué sur le capot et le logo discrètement marqué à chaud sur le haut. Le flacon est transparent afin de permettre de voir la formule et le texte est sérigraphié en noir sur le côté. Avec un aspect élégant minimaliste, le flacon Gala s’intègre ainsi dans l’identité de marque premium de Collistar. 

Pour la prochaine version, Collistar envisage l’utilisation de PET recyclé post consommation (PCR). Les analyses du cycle de vie de Quadpack indiquent qu’une conversion à une version entièrement PCR améliorerait l’indice de circularité de l’emballage de 60 %, avec une réduction de 25 % de l’empreinte carbone scope 3 de la marque.

Un collagène vegan issu de la biotechnologie

Vecollage Fortify L -Evonik

Evonik a lancé Vecollage Fortify L, un nouveau collagène vegan pour le marché de la beauté et des soins personnels, identique au collagène de la peau selon le fournisseur de spécialités chimiques. Cet actif  répond à la demande de collagène vegan, notamment pour les crèmes anti-âge et hydratantes.

« L’avenir des soins de la peau passe par le collagène issu de la biotechnologie ! Les propriétaires de marques peuvent désormais offrir aux consommateurs un collagène identique à la peau et provenant d’une source durable », a déclaré Yann d’Hervé, responsable du secteur d’activité Care Solutions d’Evonik.

Depuis des décennies, le collagène est un ingrédient recherché en cosmétique et en dermatologie pour sa capacité à améliorer la fermeté, l’élasticité et l’hydratation de la peau. Les consommateurs sont de plus en plus à la recherche d’alternatives éthiques et durables au collagène provenant traditionnellement de sources animales et marines, tandis que les marques se préoccupent des questions de sécurité d’approvisionnement. Selon Evonik, Vecollage Fortify L présente le double avantage de fortifier le collagène de la peau en prévenant la dégradation liée à l’âge et en stimulant la production de collagène par la peau elle-même.

Développé en partenariat avec la société Modern Meadow Inc, spécialiste du développement de protéines par fermentation, Vecollage Fortify L est fabriqué à l’aide d’une technologie de fermentation qui permet de produire un collège vegan de manière contrôlée avec une empreinte écologique plus faible.

agène de la peau.

L’activité Care Solutions d’Evonik, qui fait partie de la division Nutrition & Care, est spécialisée dans les concepts pour les soins de la peau, les soins solaires, les cosmétiques de couleur, les soins capillaires, le nettoyage de la peau, les ingrédients actifs, la conservation alternative et la stabilisation des produits. La division Nutrition & Care d’Evonik abrite le centre d’excellence en biotechnologie de l’entreprise qui applique les technologies de fermentation à divers marchés à forte croissance.

Données linéaires et développement des marques : l’IA pour des tâches automatisées

EasyPicky

Les marques doivent redoubler de vigilance sur le positionnement de leurs produits en magasin ainsi que sur la gestion de leurs stocks. Ce travail, plutôt fastidieux sur le terrain, nécessite de se rendre dans chaque point de vente et de recenser les articles unitairement ainsi que leurs dispositions dans les rayons. 

EasyPicky, startup montpelliéraine spécialisée dans la reconnaissance vidéo offline, propose une solution basée sur l’intelligence artificielle permettant d’optimiser le temps passé sur le terrain en collectant et analysant l’exhaustivité des données collectées.

L’idée : automatiser la détection des produits dans les rayons et améliorer le suivi des initiatives commerciales.

La startup explique sur son site que pour effectuer un relevé magasin avec EasyPicky, il suffit d’activer le mode vidéo sur un smartphone ou une tablette et de parcourir les allées du magasin. Sa solution collecte alors toutes les données et les transforme instantanément en Indicateurs Clé de Performance (KPIs), sans l’aide de réseau.

Fonctionnant 100 % offline, EasyPicky peut s’intégrer directement à un CRM ou à d’autres outils internes.

Photo extraite du site https://easypicky.com

Coty signe un nouvel accord avec Etro

Etro

Coty signe un nouveau partenariat dans le domaine des parfums et des parfums d’intérieur avec Etro, la maison de couture italienne de luxe.

L’américain Coty, l’une des plus grandes sociétés de produits de beauté au monde avec un portefeuille de marques emblématiques dans le domaine des parfums, des cosmétiques de couleur, des soins de la peau et du corps, a annoncé la signature d’un nouvel accord avec la maison de couture italienne de luxe Etro, pour produire et distribuer ses lignes de parfums et ses collections de parfums d’intérieur au-delà de 2040. 

Cet accord établit un partenariat à long terme entre Coty et Etro, ancré dans les valeurs communes des deux entreprises que sont l’innovation, l’exploration, la communauté et la créativité. Ce nouveau partenariat renforce la réputation de Coty en tant que partenaire privilégié des maisons de mode et des marques internationales qui cherchent à créer ou à améliorer leurs portefeuilles de produits de beauté.

Sue Nabi, PDG de Coty, a déclaré : « Cet accord souligne une fois de plus la priorité accordée par Coty aux licences axées sur la mode et dotées d’un potentiel multi-catégories significatif, qui trouvent un écho auprès des consommateurs de nos marchés clés. Nous sommes ravis de collaborer avec Etro, en nous appuyant sur l’offre de produits de beauté existante de la marque et en donnant vie à son identité unique à travers de nouvelles catégories et de nouveaux lancements. »

Fabrizio Cardinali, PDG d’Etro, a ajouté : « Nous sommes impatients de travailler avec l’équipe de Coty pour explorer les moyens de développer notre présence dans le domaine de la beauté d’une manière qui soit authentique pour Etro, renforçant ainsi notre capacité à répondre aux demandes dynamiques et en constante évolution de nos consommateurs sur les différents marchés. »

Coty assurera le développement, la production et la distribution de tous les parfums et fragrances d’Etro. Les deux entreprises travailleront ensemble pour explorer de nouvelles catégories et innovations afin de développer le portefeuille de produits de beauté d’Etro.

Photo extraite du site ww.etro.com.

Papiers spéciaux : Fedrigoni renforce sa position sur le marché nord-américain

Mohawk-Fedrigoni

Fedrigoni, l’un des principaux producteurs mondiaux de papiers spéciaux, de matériaux auto-adhésifs et de solutions d’identification par radiofréquence (RFID), continue son expansion à l’international. Le groupe italien annonce le rachat d’actifs de la société américaine Mohawk Fine Papers avec laquelle il avait établi un partenariat industriel en septembre 2022. 

Objectif affiché : renforcer la distribution de papiers de qualité supérieure sur le marché nord-américain. « Il s’agit de notre troisième fusion-acquisition cette année (après SharpEnd au Royaume-Uni et Arjowiggins en Chine), une étape importante dans le renforcement de notre offre de produits haut de gamme à l’attention des clients aux États-Unis, commente Marco Nespolo, PDG du groupe Fedrigoni. Grâce à l’entrée de Mohawk dans notre groupe, nous serons désormais en mesure de produire et de distribuer à nos clients une large gamme de papiers Fedrigoni à haute valeur ajoutée directement en Amérique du Nord et d’élargir l’accès aux papiers spéciaux Mohawk à l’échelle internationale. De cette façon, nous soutiendrons davantage encore les stratégies de nos clients qui préfèrent les modèles de proximité à l’approche traditionnelle axée sur les achats mondiaux, afin de minimiser l’impact environnemental et les risques de rupture de la chaîne d’approvisionnement. »

Entreprise familiale fondée en 1931, Mohawk fabrique quelques-uns des papiers spéciaux les plus connus pour les designers, les marques et les imprimeurs. l’entreprise américaine et Fedrigoni partagent des valeurs communes comme l’innovation et la réduction de l’impact environnemental pour lesquelles elles n’hésitent pas à investir.

Mohawk fait désormais partie de la division Fedrigoni Special Papers. La transaction a été finalisée par l’intermédiaire d’une NewCo constituée par Fedrigoni pour acquérir les actifs de Mohawk dans le cadre d’un processus de vente initié par un établissement financier, à la suite d’une période de difficultés financières qui a affecté l’entreprise américaine au cours des derniers mois. La transaction a entièrement libéré la nouvelle société de son endettement, ce qui a permis de préserver la majorité des emplois, des activités industrielles et des relations clients.

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