Pure Trade a enveloppé le Soin Noir de Givenchy d’un élégant packaging revêtu d’un papier noir soft touch. Sa cale est habillée d’un cache-cale également en papier soft touch.
Le logo 4G de Givenchy, gauffré et marqué à chaud, souligne avec luxe et sobriété l’identité forte de la marque. Ce packaging offre une expérience consommateur multisensorielle, où la vue et le toucher précèdent le plaisir du soin.
Depuis 22 ans, Pure Trade conçoit les articles de packaging, bagagerie et accessoires haut de gamme qui valorisent les marques de prestige international de la beauté et de la cosmétique.
Pure Trade emballe Le Soin Noir de Givenchy
22 nouveaux adhérents rejoignent Cosmetic Valley
Le Conseil d’administration de Cosmetic Valley, réuni le 7 février 2020 à Chartres, a validé l’adhésion de 21 nouveaux membres, et 1 partenaire associé.
Le Pôle de compétitivité étant présent sur l’ensemble du territoire national, les acteurs ayant rejoint le réseau sont implantés dans différentes régions : Auvergne-Rhône-Alpe, Centre-Val de Loire, Hauts-de-France, Ile-de-France, Normandie, Nouvelle-Aquitaine et territoires d’outre-mer.
On note l’arrivée d’entreprises de conditionnement et packaging secondaires, de nouveaux adhérents proposant des matières premières biosourcées qui répondent à la tendance de la naturalité et aux circuits courts. Ainsi que d’une entreprise d’outre-mer qui a pour mission le développement de la filière des ingrédients naturels et écoresponsables de la Guyane française.
Informations sur : www.cosmetic-valley.com/annuaire
Le jade et le quartz rose sont les vedettes des outils de massage Gua Sha et flacons roll-on de Quadpack
Verescence accélère ses engagements RSE et rejoint l’initiative Science Based Targets
Verescence, leader mondial du flaconnage en verre pour la Parfumerie et la Cosmétique, annonce aujourd’hui rejoindre l’initiative Science Based Targets (SBTi) en s’engageant à fixer d’ici 2022 un objectif de réduction des émissions de gaz à effet de serre (GES) aligné sur les préconisations de la communauté scientifique.
Quatre ans après l’entrée en vigueur de l’Accord de Paris, adopté à la suite de la COP 21, qui a vu les Etats s’accorder à lutter contre le réchauffement climatique, 798 entreprises du secteur privé ont rejoint l’initiative Science Based Targets. Verescence est le premier groupe verrier pour la parfumerie et la cosmétique de luxe à s’engager.
Fruit d’une collaboration entre le CDP (Carbon Disclosure Project), WRI (World Resources Institute), WWF (World Wildlife Fund) et le Global Compact des Nations Unies, l’initiative Science Based Targets encourage les entreprises à définir des objectifs de réduction des émissions de gaz à effet de serre basés sur des données scientifiques, afin de tenir les objectifs de l’Accord de Paris : maintenir d’ici la fin du siècle l’augmentation des températures mondiales à un niveau bien inférieur à 2°C et poursuivre les efforts pour limiter le réchauffement à 1,5°C.
Après avoir fixé une première série d’objectifs de réduction de ses émissions de CO2 (Scope 1 : émissions directes & Scope 2 : émissions énergies fournies) pour la période 2016-2022, Verescence a l’ambition d’aller encore plus loin en s’engageant à fixer des objectifs de réduction de ses émissions alignés sur les recommandations de la communauté scientifique.
Thomas Riou, Président Directeur Général de Verescence, a déclaré : « Conformément à nos engagements de longue date en matière de développement durable, notre Groupe franchit une étape supplémentaire en rejoignant l’initiative Science Based Targets. Verescence est une entreprise engagée et souhaite lutter contre le réchauffement climatique. Notre stratégie RSE est un vecteur de motivation et d’innovation pour nos collaborateurs en donnant plus de perspective à notre contribution et nos actions. »
Alain Thorré, Directeur RSE de Verescence, a commenté : « À la suite de cet engagement, nous allons définir des objectifs de réduction de nos émissions de gaz à effet de serre -principalement de CO2 – sur la base des dernières données scientifiques. Ces cibles seront ensuite soumises à l’initiative SBT pour validation. Cela nous permettra de compléter et de valider par la science les objectifs existants et futurs. »
Forte progression pour les cosmétiques français à l’export
Les chiffres 2019 des Douanes ont été publiés ce matin et annoncés par le Secrétaire d’Etat au commerce extérieur. L’industrie cosmétique réalise en 2019 une belle performance à l’international : la filière a exporté près de 16 Mds € de produits, soit une progression de plus 9% par rapport à 2018. Cette progression, qui perdure depuis plus de 10 ans, fait de la cosmétique le deuxième secteur exportateur de France. L’Europe reste le premier marché pour les produits cosmétiques français, devant les Etats-Unis. On note un essor spectaculaire de la Chine : + 48% d’exportation en un an. Les soins de la peau, suivis des parfums et eaux de toilette, représentent les produits les plus appréciés dans le monde. La filière, dynamique et innovante, exporte plus de 50% de sa production, et cette seule activité export représente 130 000 emplois en France.
• Deuxième secteur exportateur, les ventes de la cosmétique représentent plus de 150 Airbus
Les résultats du commerce extérieur de la France en 2019 viennent d’être publiés par les Douanes. La cosmétique française affiche un remarquable succès : en 2019, elle a atteint les 15,7 Mds € de produits exportés (l’équivalent de plus de 150 Airbus), confortant la France dans sa place de leader mondial de la cosmétique. Ces excellents résultats placent la filière au deuxième rang des secteurs exportateurs en France, derrière l’aéronautique.
La cosmétique « made in France » séduit également fortement les touristes étrangers : sur 5,produits cosmétiques vendus en France, 1 produit est acheté par un visiteur étranger.
Au total, plus de 50% de la production est exportée, et la seule activité export de la cosmétique emploie 130 000 hommes et femmes, partout en France.
• La cosmétique française plébiscitée dans le monde entier
L’Europe représente la première région du monde en termes d’export. Elle est suivie par les Etats-Unis, puis par l’Asie, dont la part progresse de manière spectaculaire. Les exportations vers la Chine ont bondi en 2019 de près de 50% (+ 48%). La Chine passe ainsi du 7ème au 4ème rang des destinations pour les cosmétiques français. On note aussi une forte augmentation des exportations vers la Corée du Sud (+ 26%) et Singapour (+ 16%). Aujourd’hui, un produit cosmétique français sur 5 est vendu en Asie.
Le TOP 3 des meilleures ventes à l’export : soin de la peau, parfums et rouge à lèvres
Ce sont les produits de soins de la peau qui réalisent les meilleures ventes à l’export : ils représentent plus de 7,3 Mds €, en progression de plus de 46 % ces 5 dernières années.
Les parfums et eaux de toilette sont aussi extrêmement appréciés : leurs ventes à l’export (plus de 4,8 Mds €) ont progressé de 23% en 5 ans.
Les produits de maquillage des lèvres, dont les ventes ont progressé de près de 80% en 5 ans, atteignent plus de 730 M € au total.
• Une filière dynamique et innovante
Chaque année, plus d’un tiers des produits cosmétiques est renouvelé.
La filière innove dans deux directions majeures :
– Côté produits, on assiste à une forte percée des produits naturels et bio. De nombreuses marques, grands groupes mais aussi des PME, se sont engagées dans une démarche de reformulation de leurs produits pour les enrichir en ingrédients naturels, répondant ainsi à une attente majeure des consommateurs.
– Autre tendance forte : la personnalisation. Soins, parfums et maquillage sont toujours plus adaptés aux besoins individuels, et de nombreuses formules sont aujourd’hui élaborées avec le concours de l’IA : un « scan » de la peau du consommateur permet de lui proposer le produit correspondant exactement à son type et à sa couleur de peau, mais aussi aux conditions climatiques et au contexte dans lequel le produit sera utilisé.
– Côté packagings, le maître-mot est l’éco-conception. Les marques travaillent sur la réduction du poids et de la taille des emballages, et mettent au point des innovations majeures : tubes encarton, flacons rechargeables, contenants verre ou issus de plastiques 100% recyclés ou végétal.
La FEBEA encourage la généralisation de ces projets, notamment via le programme SPICE (Sustainable Packaging Initiative for CosmEtics), une initiative d’emballages durables pour toute la filière.
• Un succès qui perdure dans le temps, grâce à des fondations solides
Si les chiffres de l’export de la cosmétique française progressent de 10% par an en moyenne, depuis 2013, c’est aussi grâce à un écosystème performant à tous les échelons.
La France est leader sur tous les niveaux de la chaîne de valeur :
– La recherche -sur les ingrédients, les matières premières, les formulations, les packagings- se classe au premier rang mondial, grâce à l’excellence de la formation des ingénieurs et chercheurs français, et à la force de notre réseau de centres de recherche et de formation. La R&D du secteur est la plus performante de France avec 3,6 brevets déposés par million d’euros dépensé. La Cosmetic Valley constitue en la matière un pôle d’excellence reconnu.
– La distribution de cosmétiques à la française présente, de son côté, une complémentarité unique au monde : le fait de posséder quatre réseaux de distribution bien distincts (GMS/ pharmacies/ parfumeries/ salons) a permis aux marques de développer des gammes spécifiques performantes dans chaque format de distribution.
« Ce succès repose aussi sur le dynamisme entrepreneurial du secteur, ajoute Patrick O’Quin, président de la FEBEA. Chaque année, 170 nouvelles entreprises cosmétiques sont créées dans la filière, nourries par l’innovation foisonnante du secteur. Aux côtés de grands groupes mondialement reconnus, notre filière regroupe près de 85% de PME, réparties dans toute la France. Notamment, dans les territoires qui ont su valoriser leur savoir-faire historique en matière de parfums – la Provence par exemple- ou encore leurs richesses naturelles : la Bretagne notamment, grâce au succès des ingrédients cosmétiques issus de la mer ».
Cette performance à l’export permet à la filière cosmétique française de détenir aujourd’hui 23% de parts de marché mondiales. Le « made in France » reste un atout essentiel pour le secteur et pour l’ensemble de notre économie.
Fila adopte le Surlyn pour le design du capot de sa dernière eau de parfum
A l’image de ses collections, le packaging de la dernière eau de parfum de la marque italienne de vêtements de sport Fila séduit par son design classique, le choix de matériaux de haute qualité et sa praticité. Très sobre, le flacon de l’eau de parfum éponyme est réhaussé d’un capot réalisé en Surlyn PC 2000, de forme cubique et d’une transparence parfaitement cristalline malgré son importante épaisseur. A l’intérieur du capot de ce flacon androgyne, un insert polypropylène rose ou bleu vient différencier les fragrances femmes de celles des hommes et fait écho visuellement au marquage du flacon. Le Surlyn permet de donner de l’éclat et créer un effet de profondeur à l’insert qui prend un relief particulier et distinctif. Annalisa Longoni, Sales Manager en Italie du Groupe Medicos, qui a réalisé la fabrication du capot, explique « le Surlyn permet de premiumiser ce flacon extrêmement simple destiné à un public jeune et qui correspond à la tendance du flat design d’aujourd’hui. Pour la fabrication de ce capot très massif, nous n’avions pas d’autre choix que d’utiliser le Surlyn. Seule cette résine peut nous permettre de réaliser des pièces transparentes avec une épaisseur si importante et un rendu parfait, sans fantôme apparent. Réalisée en une seule injection, ce capot massif donne l’impression d’être en verre. Le Surlyn possède en plus toutes les propriétés requises en termes de résistance chimique, d’excellente solidité aux rayures et à l’abrasion, et de qualités haptiques.»
Incassable, branché tout en étant élégant, ce capot en Surlyn d’excellente qualité a répondu parfaitement au cahier des charges de la marque Fila pour un packaging destiné à un public plutôt jeune.
[podcast CosméTalks #2] « Le marché de la beauté est toujours en mouvement » (Jean-Paul Agon, L’Oréal)
Dans ce nouvel épisode de notre émission CosméTalks, notre journaliste Yaël Landau a participé à l’inauguration de la nouvelle école de L’Oréal Real Campus by L’Oréal. Cette nouvelle école propose une formation de type Bachelor pour former aux métiers de la coiffure, revaloriser la profession qui cherche à former bien sûr mais aussi à revaloriser les métiers de la coiffure et à faire des coiffeurs des entrepreneurs. Pour le PDG de L’Oréal, Jean-Paul Agon, cette école sera l’occasion « d’être toujours lié au marché de la beauté et à ses évolutions, car c’est un marché toujours en mouvement. »
Explications exclusives par Jean-Paul Agon, président-directeur général de l’Oréal ; Nathalie Roos, directrice générale de la division des produits professionnels de L’Oréal ; Franck Provost, coiffeur, entrepreneur et président du Conseil national des entreprises de coiffure (CNEC).
Écoutez notre podcast « L’école du 1er Bachelor Coiffure & Entreprenariat » directement ci-dessous et sur les principales plateformes de téléchargement.
En attendant que le player soit réparé, vous pouvez écouter le fichier directement ci-dessous. Toutes nos excuses pour ce problème technique…
PSB Industries en négociations exclusives en vue de l’acquisition de Qualipac et de ses filiales
PSB Industries annonce être entré en négociations exclusives avec le groupe familial Pochet en vue de l’acquisition de son pôle d’emballage plasturgie et métal Qualipac.
Qualipac a réalisé un chiffre d’affaires mondial de l’ordre de 239 M€ en 2019 et emploie plus de 2 300 collaborateurs. Il dispose d’une expertise internationalement reconnue en transformation et décoration des plastiques, de l’aluminium et du zamak ainsi qu’en trading, notamment à travers la société Priminter. Ces savoir-faire complémentaires permettent à Qualipac de proposer à ses nombreux clients prestigieux une large palette de produits pour le Parfum, le Maquillage et le Soin.
Cette opération envisagée constitue une étape stratégique majeure dans le développement et le renforcement du pôle Luxe & Beauté de PSB Industries.
L’opération sera présentée pour consultation aux instances représentatives du personnel concernées, puis soumise à l’autorisation par les autorités de concurrence compétentes. Cette acquisition serait financée grâce à la trésorerie disponible de PSB Industries et à l’utilisation de lignes de crédits.
G.Pivaudran teste l’aluminium recyclé
g.pivaudran, société française, conçoit et réalise des objets en métal sur-mesure et innovants principalement en aluminium pour le marché mondial de la parfumerie, de la cosmétique et des spiritueux.
Chez g.pivaudran, le métal est utilisé dans sa forme la plus pure.
S’appuyant sur des années d’expérience et une technologie parfaitement maîtrisée, la société teste depuis plusieurs mois la possibilité d’intégrer de l’aluminium recyclé dans sa production.
L’aluminium, un matériau recyclable à l’infini
Aux côtés de ses fournisseurs d’aluminium, g.pivaudran a engagé des réflexions et des essais techniques pour vérifier dans quelles proportions il serait pertinent d’intégrer de l’aluminium recyclé dans les pièces embouties produites, sans altérer les possibilités qu’offre ce matériau du point de vue du façonnage.
Des premiers résultats encourageants
« Les choses s’accélèrent et nous pouvons annoncer aujourd’hui que les premiers essais réalisés par nos équipes sur de nouveaux rouleaux d’aluminium, nous permettent de franchir un cap de plus. Nous progressons. Nous sommes dans une deuxième vague d’essais et continuons à travailler afin de pouvoir garantir à nos clients une production fiable, de qualité et durable pour des solutions tout en aluminium recyclé », précise Marc Pivaudran, Président g.pivaudran.
L’aluminium recyclé intéresse les marques
« En travaillant très en amont avec nos clients, nous pourrons bientôt proposer aux marques des produits en aluminium recyclé dans le secteur du luxe responsable » ajoute Marc Pivaudran. « L’enjeu aujourd’hui, et après les premiers tests encourageants, est d’accélérer le développement de solutions responsables innovantes et d’oser casser certains codes dans le secteur du luxe », explique Hervé Delaigue, Directeur Commercial & Développement g.pivaudran.
A l’occasion de sa participation au salon PCD, et même si cette filière reste encore à organiser, g.pivaudran présentera quelques premières pistes sur ce nouveau champ de perspectives.
Texen lance Beautifull Skin, une nouvelle routine de soin
Après la gamme d’applicateurs Beautifull Lips présentée l’année passée, Texen lance un produit soin baptisé Beautifull Skin ; un pot et son applicateur Mucell pour un usage deux en un.
Associé à un pot standard produit par le site de Rose, le capot joue double jeu. Outre sa fonction de bouchage, il met la texture et la densité du Mucell, au service d’un nouveau geste cosmétique.
Une fois la formule déposée sur la peau, il suffit de repositionner le bouchon sur le pot et de saisir l’ensemble pour faire pénétrer les actifs, stimuler en douceur la micro-circulation, gommer, exfolier, détendre…. Pour cette raison, Beautifull Skin convient aux soins riches.
Petit plus esthétique, l’injection en Mucell peut aisément suivre le décor choisi par la marque.
Mucell, une technologie exclusive
Le Texen Lab poursuit le développement d’application à partir de la technologie Mucell dont le groupe a l’exclusivité cosmétique. Cette matière à la texture modulable permet de servir les objectifs des marques sur des modes d’application ciblés.
Un applicateur responsable
Selon une logique d’éco-conception, la partie applicateur du couvercle se désolidarise de sa base, facilitant le recyclage du pot et du capot. Ensuite totalement repositionnable, cette applicateur est facile à nettoyer d’une utilisation à l’autre.
Beautifull Skin sera présenté sous forme de prototype à l’occasion du salon PCD conditionné avec le gommage Caviar végétal de Agrimer.